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Lundi dernier, le 20 janvier, au théâtre du Trianon à Paris, il n'y avait que des gagnants. Avant la prochaine étape du mécanisme d'élimination impitoyable dans la course aux César, l'ensemble des trente-deux révélations a pu se sentir encore un peu comme de futurs lauréats.

Navigant entre le psycho-killer extrêmement violent et la comédie absurdo-macabre, Mad Fate joue la carte de l’expérimentation et du mélange des genres afin de proposer au public un véritable tour de montagnes russes cauchemardesque qui s'interroge, en filigrane, sur le destin et le libre arbitre.

Hier, une nouvelle ère géopolitique a commencé. Un virage qui n'annonce strictement rien de positif, si ce n'est qu'il est à présent temps de remettre en place notre boycott de tout ce qui est américain. Ce qui sera une opportunité, espérons-le, de découvrir, voire de se familiariser avec d'autres cultures et d'autres manières de concevoir le monde.

En cette semaine de la mi-janvier, traditionnellement très chargée en termes d'actualité des prix, le Syndicat Français de la Critique de Cinéma fait durer le plaisir. Chaque jour, il annonce sur les réseaux sociaux des nommés dans les dix-neuf catégories qu'il récompense, pour certaines depuis 1946.

Si certains préfèrent miser sur le football, le tennis, le rugby ou le basketball, d’autres par contre apprécient les sports fictifs. Et dans ce...