Cannes 2018 : palmarès Un Certain Regard

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Le jury de Benicio Del Toro, accompagné de l'actrice Virginie Ledoyen, des réalisateurs Annemarie Jacir (Le Sel de la mer) et Kantemir Balagov...

Cannes 2018, carnet de bord, septième partie

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Nouveau très gros coup de coeur en compétition officielle, et il s'agit à nouveau d'un long-métrage issu du continent asiatique. Burning est un...

Quinzaine 50 – un florilège de 49 années de cinéma en liberté, partie 2...

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Héritière directe de ceux qui voulaient affranchir le cinéma de ses chaînes en 1968, la Quinzaine célèbre cette année sa 50e édition. L'occasion d'une...

Cannes 2018 : La tendre indifférence du monde

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Deux films en provenance du Kazakhstan sont à l’honneur cette année à Cannes : Ayka de Sergey Dvortevoy en Compétition, et La Tendre indifférence du monde de Adilkhan Yerzhanov à Un Certain Regard. Ce dernier défini l'industrie cinématographique de son pays par sa "tendre indifférence à l’art du cinéma", et son film semble d'ailleurs être un peu passé sous les radars cannois. . C’est par hasard qu’on s’y est rendu, faute de pouvoir voir Un couteau dans le cœur le jeudi soir : le hasard fait (très) bien les choses. Embarquons ensemble pour l’Asie centrale.

Cannes 2018 : palmarès de la Quinzaine des Réalisateurs

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De tradition, la section parallèle de la Quinzaine des réalisateurs est non compétitive. Pourtant, quelques prix sont remis lors de la soirée de...

Quinzaine 50 : entretien avec Pierre-Henri Deleau – épisode 8, à propos de la...

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Héritière directe de ceux qui voulaient affranchir le cinéma de ses chaînes en 1968, la Quinzaine célèbre cette année sa 50e édition. L'occasion d'une...

Cannes 2018 : The house that Jack built

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Le cinéaste danois fait son grand retour à Cannes après avoir été ostracisé pendant sept ans. Un retour hors compétition, qui dit tout ce qu'il pense de l'humanité avec, entres autres réjouissances, mutilations et infanticides. "Avertissement : certaines scènes ou images violentes peuvent choquer les spectateurs" indiquait le programme quotidien du Festival de Cannes. De la part de Lars Von Trier, on n'en attendait pas moins !

Critique : Solo – A Star Wars Story

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Star Wars (1977) : assis à la table d’un bouge, La Cantina de Mos Esley, sur une planète aux confins de la galaxie, un homme se présente comme le capitaine du vaisseau le plus rapide de la galaxie. Quelques minutes plus tard, il élimine un homme de main un peu trop insistant. En quelques phrases, avec sa dégaine et ses expressions, Han Solo s’impose comme un charismatique contrebandier, avec une « gueule » et du bagout, qui en l’espace d’une trilogie (puis d’un baroud d’honneur trente ans plus tard) devient un des plus célèbres personnages du grand écran, indissociable de son acteur. Drôle d’idée donc, en 2018, de vouloir expliquer les origines de ce simili cow-boy, dans un film sans Harrison Ford. Si les épisodes I, II et III de Star Wars émanaient de la volonté du papa de la trilogie d’étendre son univers en en expliquant les origines, connaître celles de Solo était loin d’être nécessaire. Si seulement c'était son seul défaut ...

Cannes 2018 : palmarès de la Cinéfondation

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Bertrand Bonello a remis la Palme d'or du court-métrage hier soir à l'Australien Charles Williams pour Toutes ces créatures. Son jury, composé des...

Quinzaine 50 – un florilège de 49 années de cinéma en liberté, partie 1...

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Plus d'un millier de longs-métrages ont été programmés en quarante-neuf éditions de la Quinzaine. Nous avons invité divers rédacteurs, critiques et autres amoureux du cinéma à évoquer en quelques lignes des films qui ont marqué l’Histoire de la Quinzaine ou qui les touchent, qui sont devenus de grands classiques du cinéma ou simplement de leur histoire personnelle. Des œuvres qui ont su émouvoir, faire frémir et réfléchir, nous ont poussé à nous interroger sur le sens de la vie et du monde, sur notre rapport aux autres et à nous-mêmes en apportant leur pierre à un renouveau de la grammaire cinématographique ou avec des ambitions formelles plus modestes. Multiplicité de formes et d’expressions, de styles et de propos, pour un voyage purement subjectif dans les 49 premières sélections de la Quinzaine.

Quinzaine 50 : entretien avec Pierre-Henri Deleau – épisode 7 : la salle de...

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La quinzaine a mis du temps à trouver son lieu de prédilection ? La première année, on a retenu 65 films, présentés chacun une seule fois dans l'un des deux cinémas aujourd'hui disparus : le Rex (une salle de quartier dégueulasse) et l'Olympia. L'année d'après j'ai choisi la meilleure salle de la rue d'Antibes possible. Au fil des ans, on a changé plusieurs fois. Il y a eu le Français, le Star puis l'ancien palais dont j'ai hérité lorsque la sélection officielle s'est installée dans le bunker actuel. Cette salle était magnifique. J'avais supplié Jack Lang [alors ministre de la Culture] de le classer mais il m'a dit qu'Anne Marie Dupuy [alors maire de Cannes] était couverte de dettes avec la construction du nouveau palais et donc devait vendre le bâtiment. Ça a été un bonheur, pendant cinq ou six ans. Une salle de 1200 places, pas une seule mauvaise, même au balcon ou sur les côtés. Et vous sortiez sur la mer tout d'un coup !

Cannes 2018 : Une affaire de famille

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Ce n'est point à une apologie du crime et des petites combines minables que Kore-eda Hirokazu s'adonne dans son nouveau film, présenté en compétition au Festival de Cannes, mais au portrait touchant et intimiste d'une famille patchwork. Les liens forts seulement en apparence qui unissent ce groupe dysfonctionnel se défont au fur et à mesure que ses mensonges deviennent intenables, Une affaire de famille devenant alors une affaire pour les juges, lors de la dernière partie un brin trop didactique du film.

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Les sorties du 15 janvier 2025

Les différents programmes de rattrapage des grands réseaux de salles de cinéma ont beau lui faire de l'ombre, le programme des sorties de ce mercredi de la mi-janvier 2025 n'a point à rougir. Comme souvent, on y trouve des films pour tous les goûts avec, enfin, plusieurs titres destinés à un public plutôt adulte, absence de vacances scolaires pour les quatre semaines à venir oblige.

Test Blu-ray : Absolution

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Liam Neeson nous revient aujourd’hui avec Absolution, un thriller ambitieux qui lui permet de trouver un rôle fort et très éloigné de son habituelle composition de Papa Bastonneur.

Pathé Best of 2025 : 16 films à 5 € la place

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L'offre cinématographique en début d'année est-elle si rachitique qu'il y a besoin de ressortir pendant la deuxième moitié du mois de janvier les plus gros succès de l'année précédente ? Pas forcément. Pourtant, il existe en France depuis un certain temps cette tradition – pas déplaisante au demeurant – de permettre aux spectateurs moyennement assidus de se mettre à jour à moindre frais pendant une ou deux semaines.

Berlinale 2025 : la sélection Berlinale Classics

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Tandis qu'à l'autre bout du monde, la saison américaine des prix de cinéma est un peu plus propulsée dans les limbes chaque jour à cause de l'incendie ravageant Los Angeles depuis une semaine, plus près de chez nous, la 75ème édition du Festival de Berlin prend progressivement forme.

Test Blu-ray : Messiah of Evil

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Sorti dans les salles françaises en 1979, sous le titre Le Messie du mal, le film développe rapidement une ambiance très étonnante pour l’époque, enchaînant les séquences bizarres et envisageant sa narration selon une (il)logique de rêve éveillé