Critique : Le Masque arraché
La troisième édition du Festival International du Film restauré « Toute la mémoire du monde », actuellement en cours à la Cinémathèque Française, permet d’élargir la mission de cette auguste institution du cinéma sous toutes ses formes. D’abord en termes de public, puisque les salles sont remplies en semaine d’élèves adolescents, qui s’y rendent plus par devoir que par passion, et puis, surtout, parce que pendant quatre jours, nous pouvons y découvrir des trésors cachés du Septième art, à condition de ne pas être réfractaire aux restaurations numériques. Présenté dans le cadre d’un hommage à la Collection Cohen, Le Masque arraché est l’une de ces perles rares, qui nous invitent à explorer dans les meilleures conditions techniques une époque révolue du cinéma hollywoodien. Le mélodrame et le suspense y font bon ménage, sur fond de croisement de trajectoire de deux vedettes démesurées : Joan Crawford et Jack Palance.
Festival de Gérardmer 2015 : 2e jour (jeudi 29 janvier)
C'est installés dans les fauteuils usés mais confortables de la critiquefilmobile en fin de vie que la fine équipe de rédacteurs dépêchés de toute...
Livre : Dans les griffes de la Hammer
À l'occasion de l'hommage à la Hammer lors de l'édition 2015 du Festival de Gérardmer, retour sur un livre indispensable pour maîtriser la justesse...
Festival de Gérardmer 2015 : cérémonie d’ouverture
Comme à chaque nouvelle année, l'équipe de choc de Critique-film composée pour cette nouvelle édition de Pascal et de votre humble rédacteur, débarque dans...
22e Festival de Gerardmer 2015
Retrouvez sur cette page l'intégralité de notre couverture du festival du Film Fantastique de Gérardmer 2015 (ex Fantastic'Arts) : notre chronique quotidienne, les critiques de films...
Critique : Snow Therapy
Dans la mesure où le film est suédois et son sujet le couple, on ne peut s'empêcher d'y voir, toutes proportions gardées, la version 2.0 d'un film qu'aurait pu réaliser Ingmar Bergman. Il est d'autant plus dommage que ce film dont le sujet est donc à la fois très intéressant et très actuel soit entaché par un certain nombre de longueurs inutiles.
Les frères Coen co-présidents de Cannes 2015 !
C'est une première, la présidence de la 68ème édition du Festival de Cannes sera assurée par un duo : les réalisateurs, scénaristes, producteurs et...
Un avant-goût du Festival de Clermont-Ferrand
Les six courts métrages projetés en guise d'avant-goût lors la conférence d'ouverture du Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand, issus chacun d'une Compétition différente, tracent un premier itinéraire au sein d'œuvres contemporaines courtes aux cultures, aux formes et aux imaginaires variés et riches.
Le Festival du Court Métrage 2015 : conférence d’ouverture
Vendredi matin avait lieu la conférence d'ouverture de la 37e édition du Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand, qui se déroulera du vendredi 30 janvier au samedi 7 février 2015. C'est, sans conteste, la plus grosse manifestation mondiale consacrée à cette forme première du cinéma (première, mais non pas tarie) qu'est le film court. Avec une sélection de 400 films, trois compétitions, des rétrospectives thématiques et encore bien d'autres programmes, ce festival à l'enracinement auvergnat et à l'envergure internationale promet, 120 ans après la naissance du cinéma, de courtes mais de riches et multiples créations.
Festival de l’Alpe d’Huez 2015 : le palmarès
La 18e édition du Festival de la comédie de l'Alpe d'Huez qui s'est ouvert le 14 janvier s'achève aujourd'hui avec la reprise du palmarès,...
18ème édition du Festival cinéma Télérama
Une semaine après les rattrapages UGC, l'hebdomadaire Télérama propose sa sélection de films coups de cœur de l'année 2014 avec les 15 films préférés...
Critique : Félix et Meira
Face au très médiatisé Mommy de Xavier Dolan figure un autre film canadien, au sujet plus social mais au traitement intimiste, le Félix et Meira de Maxime Giroux. Récompensé par le prix du meilleur film canadien au Festival International du Film de Toronto en 2014, tourné à Montréal après un important travail de documentation, le film ose mettre en scène l'improbable relation que noue une femme juive hassidique avec un Québécois francophone et sans confession.