Critique : As I Lay Dying
Addie Bundren vient de mourir. Suite à son décès, son mari et ses cinq enfants se lancent sur la route pour aller enterrer le cercueil à Jefferson, la ville natale d’Addie. Les enfants prennent place sur la charrette, où est posé le cercueil, l’esprit encore embrumé de douleur. Durant ce voyage semé d’embûches, les blessures des uns et des autres vont progressivement se réanimer...
Venise 2020 : la compétition
l y a tout de même quelque chose de rassurant dans le fait que les annonces autour du prochain Festival de Venise tombent au rythme habituel ces derniers jours. C'est presque comme si cette 77ème édition du plus ancien des trois festivals européens majeurs était un événement cinématographique d'envergure comme les autres. Sauf que la pandémie du coronavirus en a décidé autrement, au moins en partie.
Cannes 2012 : les rumeurs, les certitudes et les incertitudes autour du festival
Voici ce que l'on sait sur Cannes dans son ensemble : des rumeurs aux certitudes, petit tour d'horizon.
Deauville, épisode 5 !
Jeudi 5 septembre. La journée s'annonce calme. Aucune star ou équipes de films à l'horizon, et des films dont je n'ai jamais entendu parlé ni lu les synopsis. Je ne m'attends donc pas à grand chose, et c'est souvent comme ça qu'arrivent les meilleures surprises...
Cannes 2017 : L’amant double
En compétition à Cannes cette année, le dernier film de François Ozon n’a fait que peu de remous. Très vite catégorisé comme un naufrage de kitsch pour la plupart, rares ont été les personnes à le considérer comme un pur plaisir explosif de cinéma. Ozon a toujours été un réalisateur au style plutôt excentrique malgré le formalisme de Frantz, son film précédent, et L’Amant double en est peut-être le représentant le plus extrême.
Berlinale 2024 : Ours d’or d’honneur à Martin Scorsese
Au dernier Festival de Cannes, Martin Scorsese avait encore refusé que son dernier film Killers of the Flower Moon soit inclus en compétition. Sans doute afin d'éviter de recevoir une deuxième Palme d'or, près de cinquante ans après celle pour Taxi Driver en 1976, voire de devoir repartir bredouille. A la prochaine Berlinale, le réalisateur américain tiendra par contre avec certitude le trophée suprême du festival entre ses mains.
Critique : Toni Erdmann
"Toni Erdmann" a malheureusement un côté bancal, plutôt jouissif pendant près d'une heure, perdant de sa superbe au fil du temps qui passe. Dommage !
Albi 2021 : Madeleine Collins
Instaurer d'entrée de jeu le trouble ou la confusion, tels sont à la fois l'enjeu et le risque de chaque thriller qui vise à tenir le spectateur en haleine du début jusqu'à la fin. Dans le cas de Madeleine Collins, présenté en avant-première au Festival d'Albi, le démarrage de l'intrigue s'effectue plutôt laborieusement.
Cannes 2017 : Happy end
Après deux Palmes d'Or d'affilée ( Le ruban Blanc en 2009, Amour en 2012), Michael Haneke est de retour en compétition à Cannes pour son film, Happy End. Comme dans son précédent long-métrage, il dresse le portrait de membres d'une famille bourgeoise et de ses névroses, mais ici, si on retrouve aussi Isabelle Huppert et Jean-Louis Trintignant, c'est une famille plus large qui est mise en scène.
Festival d’automne de Gardanne 2014 : ouverture et premier jour
La soirée d'ouverture
L'an dernier, c'est Henri, film de clôture de la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2013 qui avait fait l'ouverture à Gardanne. Cette...
Sur La Route
Au lendemain de la mort de son père, Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur, marié à la très libre et très séduisante Marylou. Entre Sal et Dean, l’entente est immédiate et fusionnelle. Décidés à ne pas se laisser enfermer dans une vie trop étriquée, les deux amis rompent leurs attaches et prennent la route avec Marylou. Assoiffés de liberté, les trois jeunes gens partent à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes
Quinzaine 50 : entretien avec Pierre-Henri Deleau – épisode 4, amitiés et coups de...
Maître d'oeuvre des trente premières éditions de la Quinzaine, Pierre-Henri Deleau est considéré comme «l'âme» de la Quinzaine, celui qui a su donner une identité à cette section marquée par son éclectisme et ses choix aventureux et un goût sur sur pour un cinéma audacieux, dénué du conservatisme qui plombait les premières années de la sélection officielle du Festival de Cannes.