À (re)voir sur Netflix : Lucky Luke / Dujardin au Far West
Ouest sauvage, 1844. Dans une modeste exploitation fermière, la famille Luke prend du bon temps, le petit John, 9 ans, s’amusant tranquillement, déguisé en sioux. Une bande de desperados arrive à l’horizon. L’affrontement inévitable laissera les parents sur le carreau et John orphelin, transi de froid, écrasé de douleur, avec le surnom de « Lucky Luke ».
Test Blu-ray : Le relais de l’or maudit
Loué soit donc Sidonis Calysta, qui nous permet aujourd’hui de (re)découvrir Le relais de l’or maudit en Blu-ray et DVD, et ainsi de constater que Randolph Scott a aussi tourné un grand western sous la direction de Roy Huggins, un scénariste / réalisateur ô combien talentueux
Test Blu-ray : Bravados
Bien (trop) souvent considéré comme une œuvre mineure au sein de la carrière d'Henry King, Bravados est pourtant un excellent western. Plus de soixante ans après sa sortie dans les salles, il mériterait franchement de se voir réhabilité et considéré à sa juste valeur. Film de vengeance implacable, le film – qui marquait la cinquième collaboration entre Henry King et Gregory Peck
Test Blu-ray : L’étreinte du destin
En 1955, avec L’étreinte du destin, George Sherman est au sommet de son Art, prenant à bras le corps cette histoire aux nombreux niveaux de lecture suivant un personnage tentant désespérément de repartir à zéro dans un endroit où personne ne veut de lui. Extrêmement fine, l’intrigue du film nous propose de découvrir des personnages à la psychologie riche...
Test Blu-ray : La belle de San Francisco
Réalisé en 1945, La belle de San Francisco était en quelque sorte un film « événement » pour la Republic Pictures, dans le sens où on célébrait cette année-là les dix ans d’existence du studio. Pour célébrer cet événement en bonne et due forme, un confortable budget de 600.000 dollars fut alloué au projet, dont la réalisation fut confiée à Joseph Kane...
Test Blu-ray : La poursuite impitoyable
La poursuite impitoyable se base sur un postulat de départ très simple : nous avons d’un côté Bobby Reeves, un taulard évadé de prison (Robert Redford), et de l’autre Barrett Calder, un shérif un rien désabusé (Marlon Brando) dont la mission est forcément de le retrouver et de l’arrêter.
Vu sur OCS : Le Salaire de la violence
Complexe du fils indigne en perspective dans ce western, qui interroge pas sans habileté quelques codes de la virilité, encore d'actualité dans les années 1950. Le triangle aux doses de testostérone inégalement réparties, composé d'un père autoritaire et de ses deux fils, qui ne ressemble pas du tout à la progéniture qu'il espérait avoir, implose en effet sans ménagement dans Le Salaire de la violence.
Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)
Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.
Critique : Il était une fois dans l’Ouest
L’exposition Sergio Leone à la Cinémathèque Française a ouvert ses portes ce mercredi 10 octobre. Une exposition qui n’est pas seulement l’occasion de se plonger dans la vie du cinéaste italien ou d’acheter une réplique du poncho de Clint Eastwood à la librairie de la fondation, mais aussi de voir ou revoir sur grand écran son œuvre. Une œuvre qui compte seulement une poignée de longs-métrages, mais plusieurs chefs-d’œuvre…
Critique : Hostiles
Les amateurs de véritables westerns ne pourront qu'être aux anges de se retrouver face à un film débarrassé de toutes les scories que le western italien avait fini par imposer dans ce genre si important du cinéma.
Critique : Brimstone
Dans un cinéma contemporain de plus en plus uniformisé, où les propositions de cinéma un peu à contre courant de ce qui fonctionne auprès du grand public, ou du moins de ce que les distributeurs pensent que le grand public veut voir, ont de plus en plus de mal à exister en dans les salles, se retrouvant la plupart du temps reléguées à la VOD ou au Direct to DVD, voir débarquer un Western sans énorme tête d’affiche, qui plus est une co-production essentiellement européenne, réalisée par un Hollandais dont aucun film n’était jusque là arrivé jusque chez nous, et où l’action n’est pas vraiment la préoccupation principale de ses instigateurs, relève de l’exception qui confirme la règle. On ne va bien évidemment pas s’en plaindre, surtout que le résultat, surprenant à plus d’un titre, a plus d’un atout à faire valoir.
Critique : Le Dernier des géants
Comme toute légende hollywoodienne qui se respecte, John Wayne dispose d’une longue et illustre carrière. Il a tourné dans tellement de films que l’on peut aisément oublier les médiocres et les mauvais pour se concentrer sur les bons, voire les chefs-d’œuvre. Cependant, John Wayne est avant tout un mythe, l’ambassadeur suprême d’une certaine conception de l’Amérique, patriote et droit dans ses bottes.