Donnie Darko
En 1988, dans une banlieue américaine paisible, le jeune Donnie Darko vient perturber la tranquillité de son entourage. Intelligent mais atteint de « troubles émotionnels », il échappe de peu à la mort alors qu’une nuit un réacteur d’avion s’écrase sur sa chambre ; somnambule, il avait suivi un homme déguisé en lapin macabre lui annonçant la fin du monde 28 jours plus tard… De cette étrange nuit vont découler des événements de plus en plus troublants…
Critique : Un beau voyou
"Un beau voyou", qui opère dans le même domaine que "En liberté !" et qui fait preuve de beaucoup plus de qualités, devrait logiquement faire un bon score dans les salles.
Critique : Strictly Criminal
Strictly criminal est le nouveau film de Scott Cooper, le réalisateur de Crazy Heart et des Brasiers de la colère dans lequel il retrace la vie de James «Whitey» Bulger, mafieux influent de Boston dans les années 70, interprété par Johnny Depp. Un triangle va se mettre en place entre son personnage, son frère politicien interprété par Benedict Cumberbatch et John Connelly un agent du FBI, ami d’enfance des frères Bulger, interprété par Joel Edgerton.
Cannes 2018 : Under the Silver Lake
Los Angeles, la ville de tous les vices imaginables, a depuis toujours été la source d'inspiration de nombreux écrivains et réalisateurs. La Cité des Anges n'est pas seulement la capitale commerciale du cinéma, elle exerce aussi un pouvoir d'aimant malsain, attirant vers elle toutes sortes de rêveurs et de fêtards, prêts à vendre leur âme en échange d'un peu de richesse et de célébrité.
Critique Express : Stars at noon
Une grande différence entre les 2 derniers films de Claire Denis : "Avec amour et acharnement" est médiocre, "Stars at noon" est carrément mauvais !
Cannes 2016 : Dog eat dog – Quinzaine
Paul Schrader a beau avoir écrit quelques chef-d’œuvres du septième art, derrière la caméra, il peine à conquérir le cœur des spectateurs depuis une vingtaine d'années. En 2014, son film La sentinelle, avec Nicolas Cage, avait été renié par les deux hommes et était sorti directement en vidéo, même aux Etats-Unis. Cependant, son nouveau film a été présenté en clôture de la Quinzaine des Réalisateurs vendredi dernier : on nous promettait un film de genre avec Nicolas Cage encore et Willem Dafoe. Quid du résultat final ?
Critique : Blood father
Mel Gibson revient de loin. De très, très loin. Le tsunami d’attention médiatique toxique qu’il a dû traverser – essentiellement par sa propre faute – pendant les années 2000 a anéanti ce qu’était jusque là une carrière brillante, qui avait fait de lui une des vedettes les plus appréciées du public international.
Le Château du dragon
Dragonwick fut le 1er film réalisé par Mankiewicz, jusqu'ici scénariste et producteur et qui accepta de remplacer son ami Ernst Lubitsch, malade.
Critique : La Voie de l’ennemi
À voir à partir de ce soir sur Canal + à 20h55, ce film noir plutôt réussi a été tourné sur le continent américain par Rachid Bouchareb qui transpose le film de José Giovanni «Deux hommes dans la ville» avec son trio inoubliable (Gabin / Delon / Bouquet) dans le cadre désertique de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.
Critique : Capitaine Phillips
Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens. La relation qui s’instaure entre le capitaine Richard Phillips, commandant du bateau, et Muse, le chef des pirates somaliens qui le prend en otage, est au cœur du récit. Les deux hommes sont inévitablement amenés à s’affronter lorsque Muse et son équipe s’attaquent au navire désarmé de Phillips. À plus de 230 kilomètres des côtes somaliennes, les deux camps vont se retrouver à la merci de forces qui les dépassent…
Les Adieux à la reine
En 1789, à l’aube de la Révolution, Versailles continue de vivre dans l’insouciance et la désinvolture, loin du tumulte qui gronde à Paris. Quand la nouvelle de la prise de la Bastille arrive à la Cour, le château se vide, nobles et serviteurs s’enfuient… Mais Sidonie Laborde, jeune lectrice entièrement dévouée à la Reine, ne veut pas croire les bruits qu’elle entend. Protégée par Marie-Antoinette, rien ne peut lui arriver. Elle ignore que ce sont les trois derniers jours qu’elle vit à ses côtés.
The Housemaid
The Housemaid est un drame réalisé par Im Sang-soo en 2010. Le film fut sélectionné en 2010 en compétition officielle pour la Palme d'Or au 63ème Festival de Cannes. Il s'agit d'un remake contemporain d'un film culte en Corée du Sud, La Servante de Ki-young Kim réalisé en 1960.