Margin Call, photo du film

Margin Call

0
Wall Street, automne 2008, au siège social d’une banque d’investissement aux airs de « Lehman Brothers ». Tout commence par un remerciement massif de 80 % des personnels de l’étage où se situe la salle des marchés, son chef, Eric Dale (Stanley Tucci), la cinquantaine, et 20 ans de maison, en tête. Reconduit fermement vers la sortie par un vigile, son carton d’objets personnels constitué à la hâte sous le bras, il a le temps de remettre à un de ses jeunes subordonnés, Peter Sullivan (Zachary Quinto), une clef USB dont le contenu va se révéler explosif.

Revu sur OCS : Entre chiens et loups

0
On ne va tout de même pas crier au chef-d'œuvre après avoir revu Entre chiens et loups dans le cadre de notre petite rétrospective personnelle des films de Alexandre Arcady sur la plateforme de vidéo par souscription OCS. Même pas du tout, puisque l'on a un très vague souvenir de l'avoir détesté au moment de sa sortie au cinéma, il y a près de dix-huit ans.

Vu sur OCS : Jar City

0
Dans le cinéma islandais, on aime surtout les comédies à l'humour caustique. Même si la production filmique de ce petit pays au nord de l'Europe n'est guère abondante, on aurait toutefois tort de la réduire à ce genre-là. Car les bons petits thrillers sombres et nihilistes y étaient déjà monnaie courante, avant que la série des Millénium ne les rende mondialement populaires à la fin des années 2000.

Critique : La Femme en ciment

0
Frank Sinatra, l’icône du divertissement à l’américaine du 20ème siècle, n’a jamais vraiment su égaler au cinéma le succès qu’il a remporté dans le domaine musical. Après les années 1940 avec ses films en arrière-plan des chansons de variété à l’origine de son statut de vedette incontestable et la décennie suivante sous le signe d’une ambition dramatique plus marquée, quoique plus mitigée en termes de consécration sans équivoque, les années ’60 marquaient le début de la fin de l’ère du nom de Sinatra en haut de l’affiche.

Critique Express : Nuit noire en Anatolie

0
Voilà un film qui permet à Özcan Alper, son réalisateur, de prendre place parmi les grands réalisateurs turcs du 21ème siècle, aux côtés de  Nuri Bilge Ceylan et de Semih Kaplanoğlu

Vu sur MUBI : Première désillusion

0
La question de la culpabilité est traitée avec une élégance typiquement britannique dans ce film de l'après-guerre, encore disponible pendant une semaine sur la plateforme de vidéo par abonnement MUBI. Écrit par le principal moralisateur chrétien de l'époque Graham Greene, le scénario de Première désillusion a certes tendance à forcer le trait sur le rôle trouble des personnages.

Martha Marcy May Marlene

0
Auréolé par le prix du meilleur réalisateur obtenu par Sean Durkin lors du Festival de Sundance 2011, Martha Marcy May Marlene, présenté à Cannes 2011 dans la sélection Un Certain Regard, aurait pu prétendre à la Caméra d’Or n’eut été la concurrence de Les Acacias. Il n’est d’ailleurs pas interdit de penser que ces 2 (premiers) films sont ce que le cinéma nous a offert de plus excitant depuis le début de l’année.
miam

Chained

0
Une femme et son jeune fils sont kidnappés par un chauffeur de taxi, qui s’avère être un tueur en série. Durant plusieurs années, il séquestre le jeune garçon…

Critique : Séance

0
Le fantastique selon Kiyoshi Kurosawa se montre le plus redoutable, lorsqu’il accentue l’étrange à travers ses manifestations abstraites, au lieu de laisser le travail de l’imagination aux effets spéciaux. Ainsi, dans Real, qui reste encore pour quelques heures le dernier de ses films à sortir en France, le réalisateur avait hélas cédé à la facilité en représentant le monstre mythologique par le biais d’une avalanche d’effets peu convaincants.
Photo du film ATM de David Brooks

ATM

0
Trois collègues rentrent ensemble chez eux, après la fête de Noël de leur entreprise, et décident d'acheter des pizzas. Pour cela, ils ont besoin de liquide et s'arrêtent à un distributeur. Ils se retrouvent coincés là, menacé par un étrange homme sombre et immense. Rapidement leur courte halte se transforme en lutte pour la vie…

Critique : Que Dios Nos Perdone

0
Que dios nos perdones se situe dans la droite lignée de ces récits d’enquêtes, où des policiers se retrouvent empêtrés dans des affaires sordides les dépassant rapidement et dans lesquels les spectateurs se retrouvent totalement captivés par des histoires violentes et en même temps, excitantes du strict point de vue du plaisir de cinéma.

Test DVD : Gone Girl

Pendant près de 2 heures 1/2, on se surprend à ne pas vouloir perdre une miette de ce film. En plus, on peut le revoir dans son intégralité, avec, sur chaque scène, en VO sous-titrée, les commentaires audio du réalisateur.

Derniers articles

Critique : Ma mère, dieu et Sylvie Vartan

A l'heure du choix de la date de sortie de Ma mère dieu et Sylvie Vartan, la Gaumont a dû se trouver face à un dilemme. Valait-il mieux profiter de la période des vacances de Pâques, propice aux entrées, ou bien attendre jusqu'à la prochaine fête des mères fin mai, afin d'inciter à ce moment-là les familles à rendre hommage à leur pilier officieux par voie de sortie au cinéma ?

Critique : Mexico 86

Présenté sous la forme d'un passionnant thriller d'espionnage et bénéficiant de l'interprétation XXL de Bérénice Béjo, ce drame sur les choix cornéliens que doit faire une mère engagée dans la résistance contre une dictature a tous les atouts pour plaire à un très vaste public.

Les sorties du 16 avril 2025

En cette semaine de festivités pascales, les sorties d'envergure se font rares. Certes, côté américain, nous avons droit à la cinquième collaboration de suite entre le réalisateur Ryan Coogler et l'acteur Michael B. Jordan. Cette fois-ci, ce sera en mode vampires dans un film de gangsters à l'ancienne.

Critique Express : Familia

"Familia" apporte une nouvelle preuve que le cinéma italien est loin d'être mort et on s'en félicite !

Critique : Le Mélange des genres

Ces dernières années, les hommes ont eu la vie plus difficile que d'habitude. Grâce à la parole des femmes qui s'est libérée tant soit peu dans le sillage du mouvement #MeToo, les propos et les comportements les plus abjects du passé de la part des hommes n'ont plus droit de cité dans l'espace public vaguement plus éclairé.