Critique : Dredd
Dans un avenir proche, les États-Unis ne sont plus qu'un immense désert irradié. Mega City One est une métropole tentaculaire rongée par le vice...
Hunger Games – L’embrasement
Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark.
Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…
Critique : Les 4 Fantastiques (Josh Trank)
Les voies du public sont impénétrables. Alors que les spectateurs se sont rués cet été sur la nouvelle épopée des Avengers, à notre humble avis franchement médiocre, ils ont réservé un accueil glacial à ce redémarrage de l’univers des 4 Fantastiques, qui a néanmoins réussi à se hisser au dessus du million d’entrées en France.
Critique : Snowpiercer – Le Transperceneige
2031. La terre n’est plus qu’une étendue gelée. Les derniers survivants sont à bord d’un train condamné à tourner autour de la terre.
Critique : Star Trek Sans limites
Espace, frontière de l'infini, vers laquelle voyage notre cher J.J. Abrams. Sa mission avait été de relancer une licence fort appréciée en la modernisant de manière à faire face aux autres univers de science-fiction que l’on peut croiser dans nos salles obscures. Finalement, le réalisateur avait tellement bien accompli son travail qu’il s’est retrouvé à la tête du nouvel épisode de la saga Star Wars. Aujourd’hui c’est à Justin Lin, réalisateur de plusieurs Fast and Furious, de nous raconter la suite des aventures du capitaine Kirk et de son équipage qui vont se retrouver face à un « gros méchant pas beau » interprété par Idris Elba (qui n’est pas laid mais a une grosse voix).
Berlinale 2018 : Invasion (Kiyoshi Kurosawa)
Tant qu'on peut en juger à partir d'un échantillon personnel forcément incomplet, le cinéma asiatique nous a plutôt déçus pendant cette Berlinale. Après avoir été laissés sur notre faim par les Coréens Hong Sang-soo et Kim Ki-duk, nous voici confrontés à un autre cinéaste prolifique en mode redondance.
Critique : Halte
Cette année, "Halte", le dernier film de Lav Diaz, faisait partie de la sélection Un Certain Regard du Festival de Cannes et, malgré sa longueur, un distributeur courageux a décidé de le sortir en salles. Espérons le même courage de la part de nombreux programmateurs. Espérons aussi que nombreux soient les spectateurs pour aller vérifier par eux-mêmes l'exceptionnelle qualité de ce réalisateur. Après tout, Halte ne dure que 4 h 39 !
Les derniers jours
Depuis la propagation d’un étrange et foudroyant virus, le monde est devenu terrifiant : sortir est désormais impossible. Dans leurs maisons, leurs bureaux, les gares, les gens sont condamnés à vivre cloitrés et doivent se battre pour leur survie. A Barcelone, Marc, piégé dans son bureau, se retrouve séparé de sa femme Julia. Contraint de faire équipe avec Enrique, son pire ennemi, il part à sa recherche dans les entrailles de la ville …
Critique : Le Congrès
Robin Wright (dans son propre rôle), se voit proposer par la Miramount d’être scannée numériquement, pour pouvoir librement exploiter son image au cinéma. 20 ans plus tard, Robin Wright est l’invitée d’honneur du Congrès de la Miramount Nagasaki qui présente sa dernière invention: vivre son film sur demande, sur simple prescription…
Critique : Renaissances
Depuis la nuit des temps, l’homme est en quête de la vie éternelle. A l’époque où la magie était très courante, des alchimistes du monde entier ont tenté d’élaborer une potion, tel l’élixir de longue vie (Elixir Vitae) qui aurait la vertu de permettre de vivre en bonne santé et de rester jeune à jamais. Aujourd’hui, c’est au tour de la science de relever le défi de lutter contre la mort. Le remède, c’est le réalisateur Tarsem Singh qui, par le biais de la société Phoenix, l’a trouvé et nous montre les effets positifs mais aussi néfastes de la voie vers l’éternité dans son film Renaissances.
Critique : World War Z
Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos... Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroît tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation…
Critique : Robocop (Paul Verhoeven)
Paul Verhoeven, le trublion de Hollywood, n’y aura fait en fin de compte que six films. Car il est à présent peu probable qu’il retourne un jour dans le cercle fermé de cette industrie, qui est dédiée autant à la philosophie mercantile qu’à la promotion du statu quo à l’américaine. Or, au fil de cette filmographie partielle, le Néerlandais pose sur les Etats-Unis un regard à la saveur ironique redoutable.