Critique : Un coup de maître
Une comédie grinçante et jouissive qui, comme l'avait déjà fait "Citoyen d'honneur", nous rappelle les grandes heures de la comédie à l'italienne des années 60 et 70
Critique : Ulysse & Mona
Sébastien Betbeder a vraiment un monde cinématographique qui lui est propre, fait d'humour très fin et de mélancolie ironique.
Critique : Les Drapeaux de papier
Pendant des décennies, la référence en termes de jeune prodige du cinéma était Orson Welles, qui avait réalisé au tendre âge de 26 ans son chef-d'œuvre intemporel Citizen Kane. Pour les générations plus contemporaines, la relève a été en quelque sorte assurée par le réalisateur canadien Xavier Dolan, le protégé favori du Festival de Cannes, qui en est déjà à son septième long-métrage, alors qu'il n'a même pas encore trente ans.
Critique : Les Estivants (Deuxième avis)
Dans "Les estivants", tous les défauts de la réalisatrice sont présents à 200 % : lourdeur, prétention, narcissisme.
Critique : L’Homme fidèle
La réalisation n'est visiblement pas la priorité professionnelle de Louis Garrel, puisqu'il a joué dans neuf films depuis la sortie de son premier long-métrage Les Deux amis en septembre 2015. Il suit donc davantage le parcours de son grand-père Maurice que celui de son père Philippe.
Critique : Les Estivants
Hystérique, névrosée, prétentieuse et narcissique : les invectives ne manquaient pas dans notre vocabulaire pour faire état de notre dédain à l'égard du travail de Valeria Bruni Tedeschi, à la fois devant et derrière la caméra, qui nous avait provoqué dans le passé autant d'ennui que d'agacement. Avec son nouveau film, son quatrième long-métrage de fiction en quinze ans, elle a néanmoins franchi un cap important, lui permettant désormais de ricaner de ses lubies tout en nous amusant considérablement.
Critique : Eric Clapton : Life in 12 bars
C'est un tour d'horizon passionnant d'une bonne partie de la musique anglo-saxonne des années 60 et 70 que nous propose "Eric Clapton : Life in 12 bars".
Critique : Premières vacances
Le versant comique du cinéma français fait une fixation pas toujours heureuse sur les vacances. Premières vacances, le premier film de Patrick Cassir, navigue avec une aisance pas sans charme à travers les hauts et les bas de son intrigue assez improbable.
Critique : Les Cinq secrets du désert
Un film tourné en plein conflit armé par l'une des parties adverses et qui a pour arrière-plan cette même guerre revêt forcément une dimension de propagande. Perçu à l'époque par bon nombre de peuples opprimés comme une brillante lueur d'espoir vers laquelle se tourner, le cinéma hollywoodien ne fait pas exception à la règle, puisqu'il a produit d'innombrables pamphlets anti-nazis au cours de la Deuxième Guerre mondiale.
Critique : Yao
Face à un certain nombre de qualités indéniables, on ne peut que regretter la réalisation trop souvent amorphe de ce road-movie tourné de façon chronologique.
Critique : L’Odyssée de Charles Lindbergh
De nos jours, l'aviation n'a plus trop de secrets pour l'humanité, avec pour seuls enjeux restants de simples questions commerciales de durée du vol et de coûts. La frontière contemporaine se trouve ailleurs, dans l'espace plus ou moins lointain, pour les touristes fortunés quelque part entre la Terre et la lune et pour les scientifiques dans une mission de plus en plus faisable et donc probable vers la planète Mars.
Critique : Ayka
A la vision de ce film, on ne peut pas s'empêcher de penser au cinéma des frères Dardenne, et, en particulier, à Rosetta, Palme d'or en 1999 : il y a 19 ans, ce film tourné caméra à l'épaule était novateur, aujourd'hui, cinématographiquement parlant, Ayka donne malheureusement une impression de déjà vu.