Critique : Le Discours
Tiens, cela aurait pu faire un drôle de lien avec l'actualité, si Le Discours avait pu sortir sur les écrans français aujourd'hui. On ne vous révèle en effet pas grand-chose en vous disant que cette comédie douce-amère commence avec l'anecdote sur le suicide raté du chanteur punk Darby Crash. Raté pourquoi ? Parce qu'il a eu lieu quelques heures à peine avant l'assassinat de John Lennon il y a quarante ans.
Critique : La Cage dorée
Maria et José Ribeiro, d’origine portugaise, vivent dans une loge d’un luxueux immeuble des beaux quartiers de Paris, avec leurs deux enfants : Paula et Pedro. Maria est concierge, José est chef de chantier. À la suite du décès du frère de José, le couple hérite d’une maison et d’une petite entreprise au Portugal. Se pose alors un dilemme de taille : vont-ils retourner au pays ? Leurs voisins et amis ont rapidement vent de la nouvelle et ne tardent pas à mettre en place des stratagèmes pour faire rester ceux qu’ils perçoivent comme des poules aux oeufs d’or.
Critique : Amadeus (1984, Milos Forman)
Amadeus est une comédie dramatique réalisée par Milos Forman sortie en 1984. Le film retrace de manière quelque peu romancée la vie du grand compositeur autrichien Wolfgang Amadeus Mozart. Amadeus est une œuvre originale car elle donne une vision inédite pour l'époque du grand musicien, plus proche d'une rock star que d'un gentilhomme. C’est à travers le récit de Salieri, compositeur de la Cour de Vienne, qu’est dépeint le grand Mozart.
Critique : Les voleurs de chevaux
Ce western contemplatif possède une grâce indéfinissable et, presque tout du long, il distille une grande tension en se servant d'un atout très rare : l'absence presque totale de musique.
Chevalier
En Europe, au XIVe siècle, William Thatcher est un modeste écuyer qui a un don inné pour l'équitation et les combats de joute, un talent qu'il décide d'exploiter après la mort de son maître Sir Ulrich von Lichtenstein. Mais ne concoure pas qui veut dans les tournois, il faut être un noble. Il prend alors l'identité de son défunt seigneur et part sur les routes de France avec ses compagnons Roland et Wat. En chemin, William rencontre Geoffrey Chaucer, un écrivain errant qui lui fabrique de faux papiers. Ces documents falsifiés lui permettent de participer aux tournois disputés par les plus grands chevaliers. En peu de temps, il se fait remarquer par son agilité et multiplie les victoires. Il attire également l'attention de la belle Jocelyn et, malheureusement, du redoutable comte Adhemar. Ce dernier est jaloux de son succès et compte bien y mettre un terme.
Critique : Mes frères et moi
"Mes frères et moi" est d'une grande sincérité dans son propos et arrive à toucher les spectateurs sans aucune mièvrerie. Une fois de plus, on est conquis par le talent de Judith Chemla, dans un rôle qui demande un judicieux mélange d'énergie, de ténacité et d'émotion.
Critique : Tomber pour Ali
"Tomber pour Ali" nous entraine à la découverte d'un amour véritable par un homme habitué au papillonnage, complétée avec bonheur par un volet documenté sur ce que vivent des réfugiés arrivés en Europe avec, parfois, un avantage à faire état de son appartenance à la communauté LGBT.
A tout jamais, une histoire de Cendrillon
A tout jamais, une histoire de Cendrillon est un film de Andy Tennant sorti en 1999, avec Drew Barrymore dans le rôle principal. L'actrice a été primée pour sa prestation, elle a reçu le Saturn Awards et le Blockbuster Entertainment Awards de la meilleure actrice. Le réalisateur nous propose ici une mise en scène originale de Cendrillon, mais cette comédie romantique réussit-elle vraiment à plaire au public ?
Toy Boy
Toy Boy est une comédie américaine sortie en 2009, réalisée par Davis MacKenzie. On y retrouve dans le rôle principal Ashton Kutcher, la star devenue célèbre grâce à That 70's Show la série télévisée déjantée. Un acteur qui enchaîne les comédies américaines légères après Jackpot, Valentine's Day et avant Kiss & Kill et Sex Friends.
Dinard 2019 : Goodbye
Ne touchez pas à la sainte Annette Bening ! Notre admiration pour l'actrice américaine est sans doute un peu exagérée, mais nous considérons qu'elle est l'une des meilleures comédiennes de sa génération.
Critique : Les leçons persanes
Vadim Perelman décortique avec talent l'évolution des rapports entre deux hommes qui n'auraient jamais dû se rencontrer.
Critique Express : Mascarade
Nicolas Bedos prouve de nouveau qu'il est un très bon directeur d'acteurs et, mieux encore, un excellent directeur d'actrices