Critique : La voix d’Aida
Le cinéma fait ce qu'il peut pour s'opposer à la folie des hommes, mais son pouvoir est limité. Il n'empêche, ne serait-ce que d'un point de vue civique et historique, il faut voir "La voix d'Aida". En plus, c'est passionnant !
Critique : La Cage dorée
Maria et José Ribeiro, d’origine portugaise, vivent dans une loge d’un luxueux immeuble des beaux quartiers de Paris, avec leurs deux enfants : Paula et Pedro. Maria est concierge, José est chef de chantier. À la suite du décès du frère de José, le couple hérite d’une maison et d’une petite entreprise au Portugal. Se pose alors un dilemme de taille : vont-ils retourner au pays ? Leurs voisins et amis ont rapidement vent de la nouvelle et ne tardent pas à mettre en place des stratagèmes pour faire rester ceux qu’ils perçoivent comme des poules aux oeufs d’or.
Critique : Love, et autres drogues
Love, et autres drogues est une comédie américaine réalisée par Edwad Zwick. Le réalisateur plutôt habitué aux films d'action (Le dernier Samouraï, Blood Diamond, Les Insurgés) n'en est pas à son premier essai dans la comédie. En effet, il a déjà mis en scène des films plus romancés tels que Légende d'automne en 1995.
Critique : Freaks (2018)
Premier film en duo pour Adam B. Stein et Zach Lipovsky (réalisateur en solo de Leprechaun origins et Dead rising : Watchtower), le projet Freaks est le résultat d’années de frustrations pour les deux aspirants-cinéastes. Ayant pris le parti de produire, scénariser et réaliser eux-mêmes « leur » film, et leur acharnement a porté ses fruits : Freaks a en effet sillonné les festivals à travers le monde, et s’est même payé le luxe d’être récompensé par plusieurs prix. En France, le film a remporté le Prix du Jury aux Utopiales (Nantes) et carrément trois prix au PIFFF (Paris International Fantastic Film Festival) l’an dernier : l’Œil d’or long-métrage, le prix des lecteurs Mad Movies, et le prix Ciné+ Frisson. La découverte du film, qui sortira le 8 janvier en Blu-ray, DVD et VOD sous les couleurs de l’éditeur Lonesome Bear (filiale de The Jokers), nous confirme que cette excellente réputation n’était pas usurpée…
Critique express : un autre monde
Dans ce film absolument remarquable, les interprètes sont, eux aussi, remarquables.
Toy Boy
Toy Boy est une comédie américaine sortie en 2009, réalisée par Davis MacKenzie. On y retrouve dans le rôle principal Ashton Kutcher, la star devenue célèbre grâce à That 70's Show la série télévisée déjantée. Un acteur qui enchaîne les comédies américaines légères après Jackpot, Valentine's Day et avant Kiss & Kill et Sex Friends.
Critique : Eugénie Grandet
Marc Dugain nous offre indubitablement une des meilleures adaptations cinématographiques de l'œuvre de Balzac.
Alice au Pays des Merveilles
Alice au Pays des Merveilles est le 17ème long métrage d'animation des studios Disney sorti en 1951. Adapté du roman de Lewis Carroll, Alice est l'un des films les plus critiqués des studios Disney, ayant connu un échec lors de sa sortie et engendré une perte sèche estimée à 1 million de dollars. Walt Disney lui-même a avoué ne pas aimer le dessin animé.
Critique : Tomber pour Ali
"Tomber pour Ali" nous entraine à la découverte d'un amour véritable par un homme habitué au papillonnage, complétée avec bonheur par un volet documenté sur ce que vivent des réfugiés arrivés en Europe avec, parfois, un avantage à faire état de son appartenance à la communauté LGBT.
Critique : Les voleurs de chevaux
Ce western contemplatif possède une grâce indéfinissable et, presque tout du long, il distille une grande tension en se servant d'un atout très rare : l'absence presque totale de musique.
L’Apprenti Sorcier
L'Apprenti Sorcier est un film fantastique réalisé par Jon Turteltaub en 2010. Surfant sur la vague des films de sorciers introduite par la saga Harry Potter, les studios Disney ont mis un budget conséquent pour réaliser ce film. Pas moins de 150 millions de dollars ont été nécessaires à la réalisation du long métrage. Un budget colossale mais qui ne signifie pas que le film est réussi, alors bon film ou pâle copie du jeune sorcier de Poudlard ?
Critique : Mes frères et moi
"Mes frères et moi" est d'une grande sincérité dans son propos et arrive à toucher les spectateurs sans aucune mièvrerie. Une fois de plus, on est conquis par le talent de Judith Chemla, dans un rôle qui demande un judicieux mélange d'énergie, de ténacité et d'émotion.