Les Boloss
The Inbetweeners (Les boloss), est avant tout une série qui cartonne en Angleterre. Diffusée sur channel 4, elle relate la vie de 4 adolescents paumés de façon ironique et décalée.
Critique : Bodybuilder
Le culturisme n'est pas un sujet à la mode dans le cinéma. Peu de longs-métrages en ont fait un sujet ou un cadre pour raconter une histoire. L'acteur Roschdy Zem s'y risque. Le projet était casse-gueule et improbable mais le pari est franchement réussi.
Festival de Gérardmer 2017 : jour 5, Grave et David Lynch The Art Life
Grave
Grave (en compétition) de Julia Ducournau. Dans la famille de Justine tout le monde est vétérinaire et végétarien. À 16 ans, elle est une adolescente...
Cannes 2014 : Adieu au langage
Qu'est-ce que la 3D ? Avec ce film iconoclaste où il renonce une nouvelle fois à toute forme de narration classique, Jean-Luc Godar3d dynamite cette nouvelle technologie en la maltraitant avec un plaisir d'enfant déluré, avec toujours le même goût pour l'aphorisme, les citations littéraires et cinématographiques et les calembours les plus éhontés.
Critique : Le Roi Arthur La Légende d’Excalibur
Quand l'heure des bilans viendra, que retiendra-t-on du cinéma de Guy Ritchie ? Qu'il n'y ait pas de malentendu macabre, nous souhaitons encore de longues années prospères au réalisateur, qui n'a même pas cinquante ans. Néanmoins, il paraît de moins en moins probable qu'un élan de renouvellement s'empare d'une filmographie après tout plutôt cohérente dans ses choix stylistiques.
La Conspiration
Robert Redford a plus souvent été devant la caméra que derrière. Pourtant, son travail en tant que réalisateur est de qualité, que ce soit pour L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux en 1998 ou Lions et agneaux en 2007. L’acteur américain revient ici avec son dernier film, The Conspirator, en compétition fiction sur le Festival du Film d’Histoire de Pessac.
Critique : A Ghost Story
Le cinéaste retrouve le duo Rooney Mara – Casey Affleck après Les Amants du Texas, pour une sorte de rêverie atmosphérique et quasiment dénuée de dialogues, se servant d’un argument poétique pour servir un propos sur la mort, le temps qui passe, et tout un tas de considérations philosophiques pouvant parler à tout un chacun. Mais est-ce que cela est suffisant pour faire un grand film ? Réponse dans les lignes qui suivent.
Critique Express : Saint Omer
Film sur notre rapport à la maternité et sur les rapports mère-fille, "Saint Omer" continue également, dans l'esprit de la réalisatrice, de creuser la veine de ses films précédents, tous des documentaires : "Offrir au corps noir la possibilité de dire l'universel"
Critique : Sème le vent
A quoi bon rentrer au bercail, quand plus rien ne vaut la peine d'y être retrouvé ? La figure du retour aux sources d'emblée rendu inutile, le cinéma l'a conjuguée sous toutes ses facettes au cours de sa longue histoire.
Festival du court métrage 2015 : la Compétition Labo
Parmi les trois grandes compétitions en lice depuis une semaine au Festival du court métrage, la compétition Labo, avec 34 films répartis en 5 programmes, donne à voir les productions cinématographiques résultant d'expérimentations décalées, inventives et ambitieuses.
Aujourd'hui samedi 7 février, le grand prix Labo a été décerné au documentaire expérimental allemand de Susann Maria Hempel, Sieben Mal am Tag beklagen wir unser Los und nachts stehen wir auf, um nicht zu träumen (Sept fois par jour nous pleurons sur notre sort et nous nous levons la nuit pour ne pas rêver).
Critique : Free Love
Années 2000. Laurel, est une brillante inspecteur du New Jersey. Sa vie bascule le jour où elle rencontre la jeune Stacie. Leur nouvelle vie s’effondre quand Laurel découvre qu’elle est atteinte d’un cancer en phase terminale. Laurel a un dernier souhait : elle veut que sa pension revienne à la femme qu’elle aime, mais la hiérarchie policière refuse catégoriquement. Laurel et Stacie vont se battre jusqu’au bout pour faire triompher leurs droits.
Dancer in the dark
Selma Jezkova, émigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l'Amérique profonde des années 60. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse a tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie pour se terminer en final tragique.