Arras 2019 : Passed by Censor
En ce moment, nous procédons chez nous à une grande opération de rangement de notre petite surface de vie parisienne, qui consiste entre autres à jeter à la benne de recyclage tous les très anciens relevés de comptes, factures et autres documents caducs.
Critique : Femmes entre elles
Clelia revient à Turin, d'où elle est originaire, afin d'y créer la succursale d'une maison de haute-couture romaine. Là, elle se lie avec un cercle de femmes issues de la grande bourgeoisie. C'est surtout le drame personnel de l'une d'entre elles, Rosetta, amoureuse désespérée du peintre Lorenzo marié à Nene, qui sollicite toute sa sensibilité. Après une première tentative de suicide, elle finit par se jeter à l'eau et se noyer.
Johnny English, le retour
8 ans après le Johnny English de Peter Howitt, Oliver Parker reprend les rênes de cette comédie, un pastiche de James Bond. Avec un budget toutefois plus conséquent que le premier épisode, un Rowan Atkinson très en forme et de nouveaux personnages pour les seconds rôles, on ne sait pas s'il faut s'attendre à l'éternelle surenchère de la suite de film ou s'il faut être content de retrouver Johnny English au cinéma.
Le Rôle de ma vie
Dix ans après Garden State, le comédien Zach Braff signe sa deuxième réalisation où les membres d'une même famille cherchent à trouver un sens à leur vie chaotique.
Critique : Pitch perfect 2
Les filles sont de retour ! Pour le plus grand plaisir des fans de ce groupe mal assorti de chanteuses hors pair et avant tout celui des producteurs qui ont récolté une triple recette pour un double investissement rien que sur le territoire américain, nous avons droit à un bis du film qui s’appelait initialement The Hit girls en France et dont la suite adopte désormais le titre original, Pitch perfect 2.
Critique : Le Dernier de la liste
Voilà un agréable petit suspens des années 60 réalisé par John Huston et qui s'inspire vaguement du célèbre Noblesse oblige ((Kirk Douglas, méconnaissable dans 3 des 4 personnages qu'il interprète, assassine les membres d'une mystérieuse liste).
Critique : Truman
Grâce à son approche pleine de franchise, grâce à l'absence totale de pathos, grâce à l'humour qui irradie son film, grâce à la justesse et la subtilité de sa réalisation, grâce à la présence de deux comédiens au sommet de leur art, Cesc Gay gratifie les spectateurs d'un film qui ne peut que les marquer profondément, de façon positive, pas seulement durant les 108 minutes de la projection mais, peut-être, tout au long de leur vie, que ce soit de façon consciente ou inconsciente.
Critique : Belle du Seigneur
Genève, 1935. Solal travaille à la Société des Nations. Séducteur affirmé, il s’éprend de la belle Arianne, une aristocrate protestante mariée à un de ses confrères, Adrien. Très vite, Arianne s’éprend à son tour de Solal. Leur amour aussi puissant que destructeur, les poussera inéluctablement vers une destinée tragique.
Un Jour
Après Love & autres drogues, Anne Hathaway s’expose dans un tout autre drame romantique aux côtés de Jim Sturgess. Un jour, c'est d’abord un best-seller sorti en 2009, avant d’être adapté au cinéma par son auteur David Nicholls. Réalisé par Lone Scherfig (Une Education), Un jour suit l’évolution sur vingt ans de deux personnages, Emma et Dexter.
Test Blu-ray : Scalps
Scalps est un western spaghetti sorti sur les écrans français à l’automne 1987. A l’époque, le western italien a rendu les armes depuis très longtemps – cela fait au bas mot cinq à six ans que plus aucun représentant du genre ne s’est plus aventuré dans les salles en France.