Critique Express : L’arbre à contes

A partir de quel âge est-il souhaitable que les enfants soient informés sur l'importance des arbres pour l'avenir de notre planète ?

Critique : La plus précieuse des marchandises

Force est de reconnaître que l'animation, parce qu'elle est dans la suggestion, est particulièrement bien adaptée à la représentation d'évènements aussi bouleversants et révoltants que la Shoah

Critique : Une famille

La première surprise d'Une famille, c’est la sincérité de la démarche. Là où je craignais profondément qu’à travers une autofiction, Christine Angot vienne se complaire dans son vécu en nous prenant un peu en otage : c’est tout l’inverse qui se produit.

Critique : A Different Man (Deuxième avis)

C’est avec un mauvais esprit revigorant que je me suis beaucoup amusé devant A Different Man. C’était une projection d’autant plus amusante que son humour noir très clivant, sert un peu de thermomètre quant à la réception du deuxième degré d’une salle de cinéma...

Critique Express : Rabia

Le traitement quasi hollywoodien du sujet arrive très vite à ôter toute crédibilité à ce que l'on voit.

Critique Express : The human surge 3

Quelques années après "The human surge", ,ous voici donc partis à nouveau sur les traces de 3 groupes de jeunes adultes déambulant dans 3 pays différents

Critique : Tatami

Efficace sans être révolutionnaire, Tatami attire énormément de sympathie par le dynamisme de sa mise en scène (malgré une économie de moyens apparente) à travers un message puissant et une foi aveugle dans le pouvoir de représentation du cinéma.

Critique Express : Toxicily

T out le monde sait que la pollution a engendré une énorme augmentation des cas de cancer et de nombreuses malformations génétiques. Tout le monde sait, mais arriver à ce que les citoyens s'expriment sur le sujet est une tâche difficile.

Albi 2024 : Se souvenir des tournesols

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Venez vivre à la campagne, c'est merveilleux ! S'il disposait de moins de qualités cinématographiques indéniables, ce documentaire pourrait passer pour de la publicité à peine larvée en faveur d'un style de vie bucolique. Or, c'est au contraire la grande liberté de ton qui rend Se souvenir des tournesols si frais et désarmant.

Critique : Hijo de sicario

Est il possible de s'opposer à la fatalité ? Est-il possible de changer de vie ?

Critique : Emmanuelle

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On peut entendre Audrey Diwan raconter en interview que c’est la lecture d’un passage du roman d’Emmanuelle Arsan et non le film de 1974 qui l’a lancée dans la réalisation d'Emmanuelle.

Critique : C’est pas moi

C’est pas moi me semble être un mélange de deux projets: une sorte de journal intime et une réflexion plus philosophique sur le cinéma. M’est avis que les deux ne se mélangent pas toujours bien et que l’on peut rester sur une impression cryptique.

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Critique Express : My sunshine

Un film qui, à un gros détail près, est en phase avec ce qu'on a coutume d'appeler l'esprit de Noël.

Critique Express : Motel Destino

Le fait d'avoir appartenu à la sélection concourant à Cannes pour la Palme d'or est-il forcément un gage de qualité ? La réponse est négative et ce nouveau film de Karim Aïnouz en apporte une nouvelle preuve.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Galaxy Quest

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A l’image de films tels que La Folle journée de Ferris Bueller et de quelques autres, Galaxy Quest (1999) fait partie de ces comédies américaines bénéficiant d’un statut de film « Culte » aux USA mais n’ayant jamais réellement déchaîné les foules en France...

Livre : Faire un film (Sidney Lumet)

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Même si « Faire un film » a été écrit il y a près de trente ans, avec la traduction française survenue assez tardivement en 2016, le livre de Sidney Lumet retient toute sa pertinence dans le paysage cinématographique actuel. La révolution numérique et l'arrivée des plateformes en ligne ont beau être passées par là, le processus de fabrication d'un film n'a pas vraiment évolué de fond en comble depuis la période d'activité du réalisateur d'Un après-midi de chien.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : The Crow

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Exit l’Harlequin romantique en moule-bite de cuir et l’architecture gothico-baroque du film d'Alex Proyas, The Crow arbore ici l’allure d’un Hooligan roumain semi-clodo avançant sans relâche, tel un zombie, et trimbalant avec lui une douleur inextinguible...