My Blueberry Nights , photo du film

My Blueberry Nights

Après une rupture douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l'Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami - un émouvant patron de bar - tout en cherchant de quoi panser son cœur brisé. Occupant des emplois de serveuse, Elizabeth se lie d'amitié avec des clients dont les désirs sont plus grands que les siens : un policier tourmenté et sa femme qui l'a quitté, une joueuse dans la déveine qui a une affaire à régler. A travers ces destins individuels, Elizabeth assiste au spectacle du véritable abîme de la solitude et du vide, et commence à comprendre que son propre voyage est le commencement d'une plus profonde exploration d'elle-même.

Critique : L’homme debout

Dans le cinéma depuis une trentaine d'années comme actrice et comme scénariste, Florence Vignon s'est enfin risquée à réaliser son premier long métrage et, devant la grande qualité de son film, on en vient à regretter qu'elle ait attendu aussi longtemps.

Critique : Le client

Scénario primé, interprétation primée, et pourtant, ce qui ressort avant tout de "Le client", ce sont la beauté des plans, l'intelligence des cadrages, la précision de la mise en scène.
Valhalla Rising

Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising

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Nicolas Winding Refn est un jeune réalisateur talentueux qui, après la trilogie Pusher et le très barré Bronson, revient pour mettre en scène un projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps : un film sur une légende viking. Autant le dire tout de suite Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising est un projet très personnel, un trip mystique qui est dès le départ un suicide commercial, mais Nicolas Winding Refn nous livre là un des plus beaux films de l'année 2010. Regardez et voyagez...

Critique : Brooklyn Village (Deuxième avis)

Dans "Brooklyn Village", Ira Sachs s'intéresse aux répercussions de problèmes économiques sur la vie intime de ses personnages, avec deux visions qui s'affrontent, celle des adultes et celle de deux jeunes adolescents.

Critique : Diógenes

Si vous avez l'esprit curieux, si vous êtes sensible à la beauté des images, si une certaine lenteur dans le déroulé du film ne vous indispose pas dans la mesure où vous sentez qu'elle s'imposait pour respecter son propos, n'hésitez surtout pas à aller voir "Diógenes",

Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)

Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.

Critique : Hinterland

A la fois film policier et film historique, "Hinterland' tire son originalité de son esthétique expressionniste qui accompagne parfaitement une action se déroulant en 1920

Critique : Le livre des solutions

On retrouve Michel Gondry avec plaisir dans un film très autobiographique dans lequel il n'hésite pas à se moquer de lui-même tout en rendant hommage à tous les gens, famille, collaborateurs, qui arrivent à supporter le rythme trépidant qu'il leur impose.

Critique express : A New Kind of Wilderness

C’est avec un regard empathique que Silje Evensmo Jacobsen semble se pencher sur le quotidien de cette famille endeuillée à grands renforts de musique folk. Un spectacle parfaitement calibré pour Sundance et d’une envie de pleurer un bon coup. Mais quel est vraiment ce regard qui filme cette famille et sommes-nous bien sûrs de le comprendre ?
Old Boy 3

Old Boy, Park Chan-wook

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Old Boy est un film coréen réalisé par Park Chan-wook, sorti en 2003. Il s’agit de l’adaptation d’un célèbre manga Japonais. Old Boy est le deuxième volet d’une trilogie initiée par le même réalisateur et qui a pour thème la vengeance. Le film a connu un succès énorme en Corée du Sud mais aussi en Europe où il à reçu le Grand Prix du Festival de Cannes 2004.

Critique : Quai des Orfèvres

On ne le dira jamais assez, Henri-Georges Clouzot est un grand et même un très grand réalisateur. Comme preuve supplémentaire, après notre découverte enthousiaste des Espions la semaine dernière, on citera Quai des Orfèvres.

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Test Blu-ray : Absolution

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Liam Neeson nous revient aujourd’hui avec Absolution, un thriller ambitieux qui lui permet de trouver un rôle fort et très éloigné de son habituelle composition de Papa Bastonneur.

Pathé Best of 2025 : 16 films à 5 € la place

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L'offre cinématographique en début d'année est-elle si rachitique qu'il y a besoin de ressortir pendant la deuxième moitié du mois de janvier les plus gros succès de l'année précédente ? Pas forcément. Pourtant, il existe en France depuis un certain temps cette tradition – pas déplaisante au demeurant – de permettre aux spectateurs moyennement assidus de se mettre à jour à moindre frais pendant une ou deux semaines.

Berlinale 2025 : la sélection Berlinale Classics

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Tandis qu'à l'autre bout du monde, la saison américaine des prix de cinéma est un peu plus propulsée dans les limbes chaque jour à cause de l'incendie ravageant Los Angeles depuis une semaine, plus près de chez nous, la 75ème édition du Festival de Berlin prend progressivement forme.

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Sorti dans les salles françaises en 1979, sous le titre Le Messie du mal, le film développe rapidement une ambiance très étonnante pour l’époque, enchaînant les séquences bizarres et envisageant sa narration selon une (il)logique de rêve éveillé

Décès du chef opérateur Roger Pratt

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Le chef opérateur anglais Roger Pratt est décédé le 31 décembre des suites de la maladie d'Alzheimer. Il était âgé de 77 ans. Un fidèle collaborateur du réalisateur Terry Gilliam, Pratt était responsable de l'aspect visuel de ses films majeurs Brazil, Fisher King Le Roi pêcheur et L'Armée des 12 singes.