Critique : Le Stratège
Après la planète sociale Facebook, le scénariste de The Social Network, Aaron Sorkin s'attaque à un autre phénomène qui fascine notre société : le sport. Plus précisément le baseball,véritable culte aux Etats Unis, à travers le parcours de Billy Beane, manager général des Oakland Athletic's. Le personnage public a révolutionné le recrutement des joueurs de baseball, le film en fait il de même ?
Camille Claudel 1915
Hiver 1915. Internée par sa famille dans un asile du sud de la France – là où elle ne sculptera plus – chronique de la vie recluse de Camille Claudel, dans l’attente d’une visite de son frère, Paul Claudel.
Critique : Les Gardiens de la Galaxie
Depuis le carton des Avengers en 2009, Marvel enchaîne les succès (Iron Man 3, Thor 2, Captain America : Le Soldat de l’hiver). Alors que les fans attendent avec impatience Avengers : Age of Ultron dont la sortie est prévue le 29 avril 2015, ce n’est ni une suite ni un spin-off qui débarque dans les salles cet été mais un vrai défi pour Marvel. Ces Gardiens de la Galaxie déboulent de nulle part -ou plutôt des comics les moins connus, et sans un casting de super stars à la rescousse. Pari osé, pari gagné ?
Vu sur OCS : La Finale
Le rire est le meilleur remède, contre tout, même les choses qui ne se prêtent à première vue pas à l'humour. Alors qu'on attend avec impatience un peu plus de dérision dans ces temps de confinement à rallonge – de la vraie dérision, pas ces encouragements d'endurance et autres témoignages de solidarité en pleine crise – , on n'aurait pas vraiment misé sur le sujet délicat et même douloureux de la maladie d'Alzheimer pour nous remonter le moral.
Critique : Tel Aviv on fire
"Tel Aviv on fire" s'avère être une comédie sympathique, basée sur un excellent scénario mais dont la réalisation manque souvent de vitalité
Critique : Los olvidados
L'Italie n'avait pas vraiment le monopole du courant néo-réaliste à l'issue de la Deuxième guerre mondiale. Ce mouvement, fait de films durs et pessimistes, y avait certes pris son élan, grâce à des réalisateurs comme Roberto Rossellini et Vittorio De Sica, mais son influence n'avait guère tardé à se propager dans d'autres pays. Y compris au Mexique, où l'Espagnol Luis Buñuel avait jeté un regard, lui aussi sans concession, sur une enfance délaissée, à mi-chemin entre le retour à l'état sauvage et une sublimation malgré tout tragique.
Critique Express : Black Flies
On se demande ce qu'un tel film, qu'on a oublié 15 jours après l'avoir vu, faisait parmi les films en compétition au dernier Festival de Cannes.
Bienvenue à bord
Après Incognito (2009), le duo Eric Lavaine/Franck Dubosc se retrouve sur le projet Bienvenue à bord. Une nouvelle comédie française détonante pour certains, médiocre pour d'autres, dans le paysage cinématographique d'octobre. Alors, le casting, les gags et les décors alléchants vus dans la bande-annonce valent-ils vraiment le détour ?
Critique : Close Encounters with Vilmos Zsigmond
Il est considéré comme l’un des directeurs de la photographie les plus réputés du Nouvel Hollywood, cette période exaltante durant laquelle plusieurs artistes, sous l’influence du cinéma européen, surent réinventer et renouveler les archétypes narratifs et formels du classicisme hollywoodien. Durant les années 70, Vilmos Szsigmond aura façonné l’esthétique picturale de quelques-uns des réalisateurs les plus talentueux d’Hollywood : Jerry Schatzberg, Robert Altman, Michael Cimino, Steven Spielberg ou encore Brian de Palma… Depuis l’annonce de son décès, le 1er janvier 2016 à l’âge de 85 ans, divers hommages consacrés à son travail ont émaillé l’agenda cinéphilique. Par ailleurs, et sous l’égide de Pierre Filmon, Vilmos Szsigmond est également l’objet d’un documentaire visant à mettre en lumière aussi bien son parcours que sa sensibilité artistique.
Intégrale Claude Berri #09 : Je vous aime (1980)
Alors que Claude Berri s’était, durant les dix premières années de sa carrière au cinéma, plutôt spécialisé dans l’exercice de l’autobiographie ou de « l’autofiction » (un terme qui n’existait d’ailleurs pas encore à l’époque de ses premiers films !), le cinéaste opère un virage à 180 degrés avec Je vous aime en 1980, dont l’intrigue est fortement inspirée de la vie sentimentale de son actrice principale, Catherine Deneuve.
Critique : Extrêmement fort et incroyablement près
Extrêmement fort et incroyablement près
Etats-Unis, 2014
Titre original : Extremely Loud And Incredibly Close
Réalisateur : Stephen Daldry
Scénario : Eric Roth, d'après l'oeuvre de Jonathan Safran...
Critique : Les opportunistes
Lors de la cérémonie des David Di Donatello 2014, les Oscars / Césars italiens, deux films se sont partagés les honneurs : La Grande Belleza et Les Opportunistes, ce dernier étant récompensé, entre autres, à la fois comme meilleur film et comme meilleur scénario. Les Opportunistes, comme La Grande Belleza, apporte en tout cas une nouvelle preuve que le cinéma italien n'est pas aussi moribond qu'on le prétend un peu trop souvent.