P-047
P-047, le dernier film du réalisateur thaïlandais Kongdej Jaturanrasmee est en compétition officielle au Festival des 3 continents. Cette histoire de “voleurs de vies” plonge le spectateur dans une douce léthargie.
Isda – Fable of the fish
Au-delà de l’histoire étrange d’une femme qui accouche d’un poisson, Fable of the fish est avant tout un conte sur l’amour parental.
The Sword Identity
Sous la dynastie Ming, au XVIe siècle, deux sabreurs débarquent sur la côte chinoise. Décidés à faire accepter leur philosophie des arts martiaux par les 4 grands maîtres locaux, ils vont devoir rivaliser d’adresse et de persévérance.
Impardonnables
Impardonnable, André Téchiné l’aurait été de ne pas nous offrir ce nouveau film.
Notre paradis
C'est un mot facile mais on est vraiment loin du paradis avec le dernier film de Gaël Morel.
Les Révoltés de l’île du Diable
La facture très classique de la mise en scène n’empêche pas ce film de toucher là où ça fait mal. Un lyrisme et même une forme de poésie emboitent le pas à la tragédie, l’humanisent pour mieux la dénoncer. Les comédiens font un sans faute dans ce décor à la froideur septentrionale qui constitue un personnage à part entière.
Flying Fish
Dans Flying fish, les seuls poissons apparents sont en lambeaux, écrasés à coups de pierres au détour d’un chemin, quand ils ne sont pas dépecés au marché. Pas de poisson volant ici, mais des personnages prisonniers de leur destin à travers trois histoires qui s’entremêlent, au point, parfois, de se confondre.
Honey PuPu
Hung-I Chen dans son film Honey PuPu saisit l’éphémère de manière philosophique. Des instants qui expirent, tout comme ses personnages. Le manque, causé par la disparition matérielle et humaine, est à venir.
Hoy no tuve miedo
Hoy no tuve miedo est le dernier long-métrage du réalisateur argentin Iván Fund. Une fiction en deux parties proche du documentaire qui dénonce le silence d’un quotidien sans ardeur.
A Colt Is My Passport
Entre courses-poursuites et fusillade mêlées de trahison et de complots, A Colt is my passport transpose le meilleur du western au pays du soleil levant.
Critique : Or noir
Banderas fait boire à Rahim Tahar l’eau rance d’Arabie en l’envoyant jouer les prophètes dans son pays. Las, Annaud s’enlise, nous ennuie avec son histoire de méchant pétrole qui va semer la zizanie chez les peuples du désert. Tout ça part en eau de bédouin et on a vraiment le droit, face à un menu aussi pauvre, de se priver de désert. Sauve qui peut !
Les Vieux chats
La dérive d’une octogénaire confrontée à une
fille
abusive, dans le huis clos d’un appartement bourgeois, à Santiago du Chili.