Charlie et la chocolaterie
Charlie et la chocolaterie a été réalisé en 2004 par Tim Burton. Cette nouvelle adaptation du roman de Roald Dahl a été remaniée à la sauce Burton : monde enfantin, décors atypiques et démesurés, humour étrange et présence de Johnny Depp et d'Helena Bonham Carter.
Critique Express : Les femmes au balcon
Les réalisatrices ont parfaitement le droit d'être médiocres, même sur des sujets qui leur tiennent à cœur.
Biarritz 2020 : Um animal amarelo
Même si l'on fait abstraction des difficultés sanitaires considérables qui accablent en ce moment le Brésil, ce pays majeur de l'Amérique latine traverse une crise politique et identitaire grave depuis quelques années déjà. A écouter le propos pas toujours très clair de Um animal amarelo, présenté en compétition au Festival de Biarritz, il aurait toujours été ainsi.
Critique : Le tout nouveau testament
Avec "Le tout nouveau testament", Jaco Van Dormael prouve, une fois de plus, combien le cinéma belge sait être inventif. Conte fantastique, comédie désopilante, film plein de saveur et d'intelligence, "Le tout nouveau testament" devrait faire un tabac dans les salles, permettant à celles et ceux qui ont un travail d'aborder la reprise post-congés avec un moral en béton. Reste à espérer que la gent religieuse, même la plus radicale, ait suffisamment d'humour pour accepter de voir Dieu en slip sale s'amuser à pourrir la vie de ses fidèles.
Le Hobbit : la Désolation de Smaug
Après avoir survécu à un périple inattendu, la petite bande s'enfonce vers l'Est, où elle croise Beorn, le Changeur de Peau, et une nuée d'araignées géantes au cœur de la Forêt Noire qui réserve bien des dangers. Alors qu'ils ont failli être capturés par les redoutables Elfes Sylvestres, les Nains arrivent à Esgaroth, puis au Mont Solitaire, où ils doivent affronter le danger le plus terrible – autrement dit, la créature la plus terrifiante de tous les temps qui mettra à l'épreuve le courage de nos héros, mais aussi leur amitié et le sens même de leur voyage : le Dragon Smaug.
Critique : Nos cérémonies
Les 3 jeunes interprètes du film, tous les 3 novices, apportent à leur jeu une grande fraicheur qui bénéficie au film et le rend recommandable malgré un certain nombre de scènes trop étirées dans le temps.
Critique : Thor – Le Monde des ténèbres
Thor : Le Monde des ténèbres nous entraîne dans les nouvelles aventures de Thor, le puissant Avenger, qui lutte pour sauver la Terre et les neuf mondes d’un mystérieux ennemi qui convoite l’univers tout entier… Après les films Marvel Thor et Avengers, Thor se bat pour restaurer l’ordre dans le cosmos, mais une ancienne race, sous la conduite du terrible Malekith, un être assoiffé de vengeance, revient pour répandre les ténèbres. Confronté à un ennemi que même Odin et Asgard ne peuvent contrer, Thor doit s’engager dans son aventure la plus dangereuse et la plus personnelle, au cours de laquelle il va devoir s’allier au traître Loki pour sauver non seulement son peuple et ceux qui lui sont chers, mais aussi l’univers lui-même.
Critique : Séance
Le fantastique selon Kiyoshi Kurosawa se montre le plus redoutable, lorsqu’il accentue l’étrange à travers ses manifestations abstraites, au lieu de laisser le travail de l’imagination aux effets spéciaux. Ainsi, dans Real, qui reste encore pour quelques heures le dernier de ses films à sortir en France, le réalisateur avait hélas cédé à la facilité en représentant le monstre mythologique par le biais d’une avalanche d’effets peu convaincants.
L’Imaginarium du Docteur Parnassus – Terry Gilliam
Aujourd’hui dans Critique-film.fr , je vais vous parler d’un coup de cœur de l’année 2009 : L’Imaginarium du docteur Parnassus. Un film particulier car il s’agit du dernier d’Heath Ledger, décédé durant le tournage.
Le Portrait de Dorian Gray
Le Portrait de Dorian Gray est l'unique roman d'Oscar Wilde. Nombreuses ont été les adaptations au cinéma mais souvent elles n'ont pas réussi à retranscrire fidèlement la complexité de ce drame fantastique.
Critique : Abracadabra
Sans être aussi jubilatoire que "Blancanieves", "Abracadabra" n'engendre pas la mélancolie et s'avère plaisant à regarder.
Critique : Mortem
Sans doute affublé d’un budget allégé, Mortem tire autant sa force de la mince mise à disposition de ses moyens que les défauts que ces derniers procurent au film. Bancal et maladroit, sans être dénué de sincérité, le film n’est pas vraiment là où on pouvait l’attendre. On en ressort étrangement déboussolé et un peu perdu face à la lecture d’une telle œuvre.