Cannes 2014 : Bird People

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Près de huit ans déjà après Lady Chatterley, César du meilleur film en 2007, Pascale Ferran revient avec un long-métrage d'une grande originalité dont il est préférable d'en savoir le moins possible pour l'apprécier à sa juste valeur.

Les âmes vagabondes

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La Terre est envahie. L’humanité est en danger. Nos corps restent les mêmes, mais nos esprits sont contrôlés. Melanie Stryder vient d’être capturée. Elle refuse cependant de laisser place à l’être qui tente de la posséder. Quelque part, caché dans le désert, se trouve un homme qu’elle ne peut pas oublier. L’amour pourra-t-il la sauver ?
Emile Hirsch et Matthew McConaughey dans Killer Joe

Killer Joe

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Chris, 22 ans, minable dealer de son état, doit trouver 6 000 dollars ou on ne donnera pas cher de sa peau. Une lueur d’espoir germe dans son esprit lorsque se présente à lui une arnaque à l’assurance vie. Celle que sa mère a contractée pour 50 000 dollars. Mais qui va se charger du sale boulot ? Killer Joe est appelé à la rescousse. Flic le jour, tueur à gages la nuit, il pourrait être la solution au problème. Seul hic : il se fait payer d’avance. Chris tente de négocier mais Killer Joe refuse d’aller plus loin. Il a des principes…jusqu’à ce qu’il rencontre Dottie, la charmante sœur de Chris.

Critique : Béliers

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Avec "Béliers", Grímur Hákonarson nous propose un film dans lequel on ne s'ennuie jamais sur un monde qui est en train de disparaître et qui est étranger à la plupart d'entre nous. Son histoire, il la raconte en utilisant souvent, de façon très intelligente, des plans séquence qui ont toujours la bonne durée, l'action se mettant à rebondir au moment précis où on pense qu'il ne va plus rien se passer.

Critique : Ana mon amour

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La vie est dure en Roumanie. Le reflet qu'en donne la sélection de films qui arrivent jusque sur les écrans français laisse en effet supposer que tout n'est que misère affective et sociale dans ce pays d'Europe de l'Est. Car même si le cinéma roumain peut se réjouir ces dernières années d'une vitalité et d'une reconnaissance rarement atteintes auparavant, la somme de ces regards depuis l'intérieur sur une culture en fait peu connue en Occident a de quoi pousser à la dépression les spectateurs les plus fragiles.

Cannes 2019 : Les Misérables (compétition)

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A chaque film sur la banlieue, ou presque, on évoque La Haine de Matthieu Kassovitz. Comme s’il s’agissait d’une référence indépassable, ou de la seule référence du genre. Il n’a pas fallu bien longtemps pour qu’on commence à entendre des comparaisons entre le film de Ladj Ly, et celui qui aura bientôt 25 ans. Pourtant, s’il s’inscrit dans ses pas, Les Misérables est bien plus qu’un énième « film de banlieue » loué à sortie et vite oublié. Au contraire, gageons qu’il va faire parler de lui, pour son regard perçant sur la situation contemporaine.

Critique : L’odeur de la mandarine

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Même si on peut regretter certaines lourdeurs dans l'utilisation parfois trop forcée de métaphores animales, "L'odeur de la mandarine" est un film qui fait honneur au cinéma français, à la fois par son scénario, par sa réalisation et, surtout, par son casting qui permet de regarder Olivier Gourmet avec un œil neuf, de découvrir au cinéma Georgia Scaliett, une grande actrice à l'aube d'une grande carrière, de confirmer le grand talent d'Hélène Vincent, tout en rendant une sorte d'hommage à de grands anciens : Romain Bouteille, Michel Robin, Fred Ulysse.
Rondo, photo du film

Rondo

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Bruxelles, été 42. Le jeune Simon voit avec horreur son père arrêté et déporté par les nazis. Il réussit à fuir en Angleterre où il rejoint son grand-père Abraham, personnage austère et distant. Dans cet exil, Simon ne trouve aucun réconfort auprès d’Abraham. Ce vieil homme érudit attaché aux valeurs de la tradition juive, méprise l’éducation laïque de Simon. Tout les oppose dans leur conception de la religion et de la vie. Quand ils découvrent l’horreur de l’holocauste et la disparition probable de leurs proches, c’est la jeunesse de Simon qui va donner au vieil homme la force d’affronter une réalité insupportable…

Cannes 2017 : Loveless (Nelyubov)

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Loveless France, Russie, 2017 Titre original : Nelyubov Réalisateur :Andreï Zviaguintsev Scénario :Andreï Zviaguintsev Acteurs : Maryana Spivak, Alexei Rozin Distribution : Pyramide Distribution Durée : 2h07 Genre : Drame Date de sortie :...

Cannes 2014 : The Search

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Un enfant qui a perdu sa famille, une jeune femme confrontée à sa détresse... En changeant de registre après le multi-primé The Artist, ichel Hazanavicius a-t-il réussi son pari ?

Cannes 2017 : Les proies

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L'avant dernier film de Sofia Coppola (si on excepte la production Netflix A very Murray christmas, moyen-métrage de Noël sorti en 2015), The bling ring, était sélectionné à Un certain regard en 2013. Avec Les proies, c'est la deuxième fois que la cinéaste concourt pour la Palme. Un long métrage au casting qu'on a déjà croisé cette année en sélection officielle : Elle Fanning et Colin Farell étaient respectivement présents dans How to talk to girls at party et Mise à mort du cerf sacré ; Nicole Kidman était elle présente dans ces deux films ! Que vaut donc ce remake du film de Don Siegel de 1971 ?
Vous n'avez encore rien vu d'Alain Resnais

Vous n’avez encore rien vu – la critique contre

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Antoine d’Anthac, célèbre auteur dramatique, convoque par-delà sa mort, tous les amis qui ont interprété sa pièce « Euridyce ». Ces comédiens ont pour mission de visionner une captation de cette œuvre par une jeune troupe, la compagnie de la Colombe. L’amour après la mort ont-ils encore leur place sur une scène de théâtre ? C’est à eux d’en décider. Ils ne sont pas au bout de leur surprise…

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Critique : En fanfare

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Un film très réussi dans lequel on a parfaitement le droit de passer du rire aux larmes et vice-versa

Critique Express : Rabia

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Le traitement quasi hollywoodien du sujet arrive très vite à ôter toute crédibilité à ce que l'on voit.

Test Blu-ray : Sans Sarah rien ne va

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Sorti sur les écrans du monde entier en 2008, Sans Sarah rien ne va jouait la carte de la rom-com excentrique jouant essentiellement sur la notion de « perte ». Il s'agissait d'une vitrine pour le scénariste / acteur Jason Segel.

Critique Express : Krishnamurti, la révolution du silence

A la fin de ce film on n'a qu'une envie : s'efforcer d'en savoir davantage sur Jiddu Krishnamurti, un homme méconnu et très particulier.

Critique : Kneecap

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Kneecap IRL : 2024Réalisateur: Rich PeppiattScénariste: Rich PeppiattCasting: Moglai Bap ; Mo Chara ; Dj ProvaiDistributeur: Wildcard distributionGenre : Biopic, Comédie, Drame, Musique Durée :...