Critique Express : Les fantômes
On est ldans un espionnage feutré, avec des espions qui ne sont pas des professionnels mais qui n'en sont pas moins particulièrement motivés dans leur recherche.
Critique Express : Matria
"Matria" se rapproche des cinémas de Ken Loach et des frères Dardenne et doit beaucoup à la prestation remarquable de María Vázquez, présente dans presque toutes les scènes du film.
Critique Express : El profesor
Pour "El profesor", film sur une lutte pour le pouvoir au sein d'une université, les réalisateurs ont choisi le genre de la comédie et, pour être plus précis, la comédie grinçante.
Critique : Maria
Avec l'avènement du mouvement #Metoo, il était prévisible que l'histoire de Maria Schneider soit un jour ou l'autre portée à l'écran. Il n'est pas anodin que "Maria" ait été réalisé par une femme qui, très jeune, à peu près à l'âge qu'avait Maria Schneider lors du tournage de "Le dernier tango à Paris", a eu l'occasion de travailler auprès de Bernardo Bertolucci
Critique Express : Mon milieu
Pour une fois dans un polar des cités, il y a de fortes chances que la très grande majorité des spectateurs va croire à ce qu'ils auront vu et entendu dans "Mon milieu"
Critique Express : Excursion
"Excursion" nous permet de faire connaissance avec une jeune comédienne absolument remarquable, Asja Zara Lagumdžija, l'interprète d'Iman.
Critique : Dissidente
Avec ce premier long métrage, un film politique et social remarquable, le canadien Pier-Philippe Chevigny vient prendre sa place auprès des plus grands réalisateurs du genre, qu'ils s'appellent Ken Loach, Stéphane Brizé ou les frères Dardenne.
Critique : Chien blanc
Adolescente, la réalisatrice avait lu le livre de Romain Gary, elle venait de le relire et elle a décidé d'en faire un film résolument moderne, en phase avec les évènements d'aujourd'hui et le mouvement Black Lives Matter.
Critique : Un jour fille
Un film comme "Un jour fille" ne peut qu'avoir une forte résonance dans une époque, la notre, où on parle beaucoup du genre, avec les personnes qui s'affirment non-binaires, avec les transgenres, avec l'écriture inclusive, avec le mariage pour tous.
Critique : Blaga’s lessons
Avec "Blaga's lessons", le réalisateur bulgare Stephan Komandarev termine brillamment sa trilogie sociale commencée il y a 7 ans.
Critique : De son vivant
Y a-t-il un genre plus casse-gueule que celui du drame de maladie ? D'entrée de jeu, l'issue en est certaine, puisque peu importe la pathologie, elle s'avère toujours plus forte en fin de compte que toutes les bonnes volontés réunies. Dès lors, il ne s'agit que d'aménager la peine des proches qui voient leur bien-aimé périr à petit feu et de rendre la peur de mourir du principal intéressé à peu près soutenable.
Critique : Le silence de Sibel
Pourquoi "Le silence de Sibel", film d'une grande force produit en 2021, a-t-il mis aussi longtemps pour arriver sur nos écrans, la question mérite d'être posée.