Sarlat 2024 : Je suis toujours là
Comme tous les pays latinoaméricains ou presque, le Brésil a dû passer par une dictature militaire à un moment assez récent de sa longue histoire mouvementée. Ce fut pendant plus de vingt ans, entre 1964 et 1985. Une période qui a certainement laissé des traces, mais qui aura également permis aux Brésiliens contemporains d'être particulièrement attachés aux bienfaits de leur jeune démocratie.
Sarlat 2024 : Black Dog
Partout où il passe, ce film chinois enthousiasme les jurys et le public. Que ce soit au Festival de Cannes ou bien auprès du comité des Gotham Awards, Black Dog remporte le genre d'adhésion unanime, qui nous laisse généralement circonspects. Or, après l'avoir découvert au Festival de Sarlat, nous ne pouvons que partager pareil engouement.
Critique : A Different Man (Deuxième avis)
C’est avec un mauvais esprit revigorant que je me suis beaucoup amusé devant A Different Man. C’était une projection d’autant plus amusante que son humour noir très clivant, sert un peu de thermomètre quant à la réception du deuxième degré d’une salle de cinéma...
Critique : Hiding Saddam Hussein
Présenté en tant que documentaire, "Hiding Saddam Hussein" est en fait un docu-fiction plein de suspens mais ... dont on connait la fin.
Critique Express : Rivière
"Rivière", malheureusement, n'arrive que très rarement à être au niveau qu'on pouvait attendre du sujet qu'il traite, les difficultés rencontrées par les adolescents d'aujourd'hui pour trouver leur place.
Critique Express : Chroniques chinoises
La deuxième partie du film le film s'apparente à un documentaire sur la façon dont la pandémie de covid19 s''est déroulée en Chine, dans le chaos et l'improvisation.
Critique : Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde
C'est en véritable maître du sucré/salé ou, plutôt, du mélange de douceur et d'âpreté, que Emanuel Pârvu nous dépeint un village situé dans un endroit paradisiaque mais que le comportement de ses habitants arrive à transformer en véritable enfer
La Roche-sur-Yon 2024 : Les Feux sauvages
Dans son nouveau film, présenté d'abord en compétition au Festival de Cannes, puis dans la section Continuités au Festival de La Roche-sur-Yon, Jia Zhang Ke fait essentiellement ce qu'il fait de mieux. C'est-à-dire de conter sur la base esthétique d'une beauté plastique à couper le souffle l'histoire aussi abstraite que collective du peuple chinois.
La Roche-sur-Yon 2024 : Pierce
Une grande sensibilité se dégage de ce premier film, présenté en compétition au Festival de La Roche-sur-Yon. Grâce à une ambiguïté considérable accordée aux personnages, Pierce sème admirablement le doute, jusqu'à une conclusion sur laquelle nous gardons toutefois quelques réserves.
La Roche-sur-Yon 2024 : La Source (Meryam Joobeur)
Non, ce n'est pas encore la fatigue de mi-festival qui parle. Mais il fallait bien que vienne l'instant où nous tombons parmi la sélection autrement exquise du Festival de La Roche-sur-Yon sur un film qui nous laisse entièrement indifférent.
La Roche-sur-Yon 2024 : Crossing Istanbul
Traverser les frontières sans jamais arriver nulle part. Être à la recherche de quelqu'un et de soi-même sans jamais trouver ni l'un, ni l'autre. Tels sont les thèmes principaux de notre entrée en la matière tout à fait réussie au Festival de La Roche-sur-Yon.
Critique : Ça arrive
De temps en temps, il arrive qu'un film vous tombe dessus sans crier gare et vous scotche de façon implacable sur votre siège tellement il est bouleversant, tellement il est passionnant, tellement il sonne juste, tellement son propos vous apparaît comme étant d'une grande importance. C'est ce qui devrait vous arriver avec "Ça arrive".