Critique : La communion
Un film qui faisait partie cette année de la sélection finale de 5 films pour l'Oscar du meilleur film international et qui parle de la foi, du pardon et du droit à une seconde chance.
Critique : Il était une fois dans l’est
Larissa Sadilova a su apporter du neuf dans la banalité du sujet traité, l'adultère, avec la description précise et pleine d'empathie des caractères et de l'évolution des comportements de chacun des protagonistes impliqués dans cet adultère, avec le volet documentaire de l'environnement dans lequel ils évoluent, avec le choix des sauts dans le temps qui permet de découvrir toutes les facettes des paysages de ce bout de Russie.
Revu sur MUBI : Fedora
Marlene Dietrich et Greta Garbo : au moment de la sortie de Fedora, ces noms évoquaient encore concrètement quelque chose aux yeux des spectateurs. Soigneusement préservées à l'abri des regards, ces actrices étaient les vestiges d'une époque définitivement révolue.
Revu sur MUBI : Grains de sable
Si on y réfléchit un peu, l'exposition du cinéma asiatique en France est quand même terriblement aléatoire. A peine s'est-on familiarisé avec un réalisateur venu de Chine, de Corée du Sud ou du Japon – pour ne citer que les pays à l'industrie cinématographique la plus robuste – que ses films suivants ne semblent plus mériter l'engagement des distributeurs indépendants les plus téméraires.
Sortie VOD : Dark waters
Dark waters
Etats-Unis : 2019
Titre original : -
Réalisation : Todd Haynes
Scénario : Matthew Carnahan, Mario Correa, d'après un article de Nathaniel Rich dans le New-York...
Vu sur le Vidéo Club Carlotta : Les Funérailles des roses
Changement radical de programme dans notre sélection de cinéma à la maison par défaut avec cet objet filmique aussi intéressant qu'irritant. Les Funérailles des roses nous offre une virée vertigineuse dans le milieu des bars gays au Japon, à une époque où pareille culture alternative sortait tout juste du placard de l'autre côté du Pacifique.
Vu sur Disney+ : La Dame de Katwe
Ce n'est pas par hasard que nous ne revenons pas plus en détail sur la mise en scène dans nos critiques officieuses de films regardés sur Disney+. La particularité des productions Disney nous paraît en effet qu'ils défendent plus un concept moral qu'une vision artistique.
Vu sur Disney+ : McFarland
Dans sa générosité incommensurable, Disney donne de temps en temps aux acteurs vieillissants qui l'acceptent la possibilité de revigorer leur carrière par voie d'un drame sportif inspirant, d'office basé sur une histoire vraie. Début 2015, c'était le tour à Kevin Costner d'endosser dans McFarland le maillot du coach au bout du rouleau, mais pas encore arrivé au bout de ses peines.
Revu sur Disney+ : Rêve de champion
Le sport et Disney, c'est toute une histoire. La dizaine de films sportifs bien édifiants comme il faut, actuellement disponibles sur Disney+, sont là pour le prouver. Or, comme pour beaucoup de sujets, le studio n'a pas fait figure de précurseur en termes de promotion d'une activité physique soutenue.
Revu sur OCS : Model Shop
Derrière son apparence trompeuse de cinéaste universel, Jacques Demy est en effet resté profondément français au fil de sa longue et illustre carrière. Ainsi, il est fort à parier que l'effort de maintien de son œuvre dans la conscience collective, entrepris d'abord par sa veuve Agnès Varda, puis par leurs enfants, n'ait porté ses fruits à l'étranger que pour les deux chefs-d'œuvre intemporels que sont Les Parapluies de Cherbourg et Les Demoiselles de Rochefort, le conte de Peau d'âne ayant essentiellement bercé l'enfance de gamins français.
Revu sur MUBI : J’ai tué ma mère
A chaque nouvelle extension de la durée du confinement, on tire notre chapeau devant les vaillants parents, qui devront s'occuper quelques semaines de plus de l'éducation et de l'enseignement de leur progéniture.
Revu sur MUBI : O fantasma
Les cinémas français sont fermés depuis plus d'un mois. Ce sevrage imposé de nos pratiques de visionnage sur grand écran n'est certes pas l'aspect le plus grave de l'épidémie. Il nous fait néanmoins regretter chaque jour un peu plus nos chères salles obscures.