Critique express : un autre monde
Dans ce film absolument remarquable, les interprètes sont, eux aussi, remarquables.
Critique : Eugénie Grandet
Marc Dugain nous offre indubitablement une des meilleures adaptations cinématographiques de l'œuvre de Balzac.
Critique : Tomber pour Ali
"Tomber pour Ali" nous entraine à la découverte d'un amour véritable par un homme habitué au papillonnage, complétée avec bonheur par un volet documenté sur ce que vivent des réfugiés arrivés en Europe avec, parfois, un avantage à faire état de son appartenance à la communauté LGBT.
Critique : Les voleurs de chevaux
Ce western contemplatif possède une grâce indéfinissable et, presque tout du long, il distille une grande tension en se servant d'un atout très rare : l'absence presque totale de musique.
Critique : Mes frères et moi
"Mes frères et moi" est d'une grande sincérité dans son propos et arrive à toucher les spectateurs sans aucune mièvrerie. Une fois de plus, on est conquis par le talent de Judith Chemla, dans un rôle qui demande un judicieux mélange d'énergie, de ténacité et d'émotion.
Critique : Les leçons persanes
Vadim Perelman décortique avec talent l'évolution des rapports entre deux hommes qui n'auraient jamais dû se rencontrer.
Critique : Les Choses qu’on dit les choses qu’on fait
L'amour, l'amour, l'amour toujours. Aucun autre sujet ne paraît préoccuper le cinéma français davantage que les éternels tourments du cœur, accompagnés d'une dose adéquate de battements de la libido, s'il vous plaît.
Critique : Haute sécurité
Les films avec Sylvester Stallone ont globalement mauvaise réputation. L’image de la vedette à peu près indémodable s’y confond avec celle de ses personnages, des héros sans faille qui remportent invariablement la mise contre des méchants caricaturaux, de préférence sur un ton faussement ironique.
Critique : Zorba le Grec
En ce moment, la Grèce ne quitte plus l’actualité pour toutes les mauvaises raisons. La réputation de Zorba le Grec en tant que grand classique, véhiculée avant tout par la séquence mythique de la danse joyeuse finale, pourrait laisser croire que ce pays avait su se montrer plus accueillant et conciliant il y a un demi-siècle. Or, au lieu d’être une publicité larvée, susceptible d’attirer des touristes à une époque où cette économie-là n’en était qu’à ses balbutiements autour de la Méditerranée, ce film retrace l’histoire plutôt sombre d’un échec. En effet, rien ne se passe comme prévu pendant le voyage d’un écrivain en panne d’inspiration sur la terre de ses ancêtres. Et pourtant, sur un ton doux-amer, le scénariste, producteur et réalisateur Michael Cacoyannis nous conte l’histoire intense d’une amitié entre deux hommes, qui n’auraient pas pu être plus différents, l’un de l’autre.
Dinard 2019 : Goodbye
Ne touchez pas à la sainte Annette Bening ! Notre admiration pour l'actrice américaine est sans doute un peu exagérée, mais nous considérons qu'elle est l'une des meilleures comédiennes de sa génération.
Sortilège
Après Le Chaperon Rouge et avant le final de Twilight (premier épisode le 16 novembre 2011), Sortilège débarque sur nos écrans. Ne vous faites point d'espoir, on est ici devant un pur produit formaté pour adolescent en manque de Robert Pattinson qui trouveront peut-être matière à idolâtrer, même si rien n'est moins sûr...
Thirteen
Thirteen est le premier long-métrage de Catherine Hardwicke. Elle y évoque la crise d'adolescence des jeunes filles aux États-Unis, un peu à la manière de Larry Clark mais avec une vision plus positive et un message d'espoir à la fin.