Critique : Vers un avenir radieux
"Vers un avenir radieux" n'est probablement pas le meilleur film de Nanni Moretti mais c'est un des meilleurs, et c'est déjà beaucoup !
Critique : Love life
Pour son 10ème long métrage, Kôji Fukada propose un mélodrame d'une grande richesse sur les us et coutumes de son pays. Cet admirateur de la Nouvelle Vague française et, tout particulièrement, de Eric Rohmer, confirme qu'il est un des meilleurs réalisateurs de la nouvelle génération japonaise.
Critique : La nuit du verre d’eau
Mélangeant histoire du Liban et ses souvenirs du passé, Carlos Chahine propose un film finalement très universel sur la situation des femmes, sur le patriarcat, sur l'amour, sur l'émancipation, sur le rejet.
Critique Express : Stars at noon
Une grande différence entre les 2 derniers films de Claire Denis : "Avec amour et acharnement" est médiocre, "Stars at noon" est carrément mauvais !
Critique : Sparta
Ewald est un homme qui se sait pédophile en puissance, qui se bat contre ce démon intérieur qui le ronge et qui arrive à ne jamais passer à l'acte.
Critique : Sublime
Mariano Biasin vient grossir l'impressionnant cohorte de réalisateurs et de réalisatrices argentin.e.s dont on attend le prochain film avec une certaine impatience.
Critique : Showing up
Avec "Showing up", la réalisatrice américaine Kelly Reichardt prouve une fois de plus qu'elle est une véritable alchimiste du cinéma, capable de transformer n'importe quelle histoire, anodine en apparence, en or cinématographique
Critique : Nos cérémonies
Les 3 jeunes interprètes du film, tous les 3 novices, apportent à leur jeu une grande fraicheur qui bénéficie au film et le rend recommandable malgré un certain nombre de scènes trop étirées dans le temps.
Critique : Amel & les fauves
L'histoire que raconte "Amel & les fauves" a offert à Mehdi Hmili l'opportunité de parler de quatre sujets qui lui tiennent particulièrement à cœur : la famille, en mettant particulièrement l'accent sur le courage des femmes tunisiennes, la culpabilité, la rédemption et, bien entendu, la corruption.
Vu sur MUBI : Light Sleeper
Ce n'est pas qu'à Paris que les poubelles s'entassent le long des rues, à cause d'une grève des éboueurs. Le même désagrément urbain avait fourni l'arrière-plan de ce drame passablement poisseux à New York au début des années 1990. Toujours autant intéressé à sonder le côté crasseux de la culture américaine, Paul Schrader demeure fidèle à ses thèmes de prédilection dans Light Sleeper.
Critique : Le bleu du caftan
Après "Adam", "Le bleu du caftan" prouve à nouveau le grand talent de Maryam Touzani, une réalisatrice experte dans l'art de l'utilisation des non-dits, une réalisatrice qui sait générer une émotion exempte de tout pathos, exempte de toute lourdeur.
Critique : Dalva (Deuxième avis)
Une certitude se dégage de Dalva : une grande réalisatrice, Emmanuelle Nicot, est à l'aube d'une grande carrière.