Gladiator
Gladiator marque le retour du peplum au cinéma alors qu'il avait disparu depuis de nombreuses années. Un retour en fanfare pour un film devenu culte depuis que tout le monde le connait et qui reste un monstre signé par le talentueux Ridley Scott au sommet de son art. Retour sur le film.
Critique : Karmapolice
Julien Paolini s'avère être un réalisateur à même de donner un sang nouveau au cinéma français.
Critique : Il était une fois dans l’est
Larissa Sadilova a su apporter du neuf dans la banalité du sujet traité, l'adultère, avec la description précise et pleine d'empathie des caractères et de l'évolution des comportements de chacun des protagonistes impliqués dans cet adultère, avec le volet documentaire de l'environnement dans lequel ils évoluent, avec le choix des sauts dans le temps qui permet de découvrir toutes les facettes des paysages de ce bout de Russie.
Critique Express : Matria
"Matria" se rapproche des cinémas de Ken Loach et des frères Dardenne et doit beaucoup à la prestation remarquable de María Vázquez, présente dans presque toutes les scènes du film.
Critique : Paradis Perdu
Lucie, une adolescente de 17 ans, vit depuis plus d’un an dans la seule compagnie de plusieurs chats et de son père, Hugo Lopez, pépiniériste du type marginal, sur un grand domaine isolé et largement à l’abandon, en Catalogne française. Sa mère, Sonia, a en effet quitté le domicile conjugal avec Manuel, le jeune ouvrier agricole qui secondait Hugo, et n’a jamais donné de nouvelles depuis. La jeune fille ne va plus au lycée et prépare vaguement son bac par correspondance, tout en s’initiant au travail paternel et en assurant les tâches ménagères. En ce début d’été, deux événements vont malmener la routine qui s’est installée entre le père et sa fille : un voisin « prête » à Hugo pour quelques jours un journalier, Akim, un jeune Marocain sans papiers, et surtout Sonia fait son retour…..
Critique : Jubilée (Derek Jarman)
Ce mercredi 21 juin sort dans un coffret DVD ainsi qu’en salle, un hommage à Derek Jarman. Cinéaste anglais, figure punk, anarchiste et militant LGBT, il aura entre autres révélé Tilda Swinton aux yeux de tous. Ce sont quatre de ses films que vous pouvez (re)découvrir : Last of England, Sebastiane, La tempête, et enfin Jubilée, son deuxième film.
Critique : American Sniper
Alors qu'on pensait finie la vague de films post 11 septembre, Clint Eastwood s'attaque à nouveau au sujet à travers le parcours du «plus grand sniper de l'histoire (américaine)». Entendez par-là, le plus efficace.
Critique : Truman
Grâce à son approche pleine de franchise, grâce à l'absence totale de pathos, grâce à l'humour qui irradie son film, grâce à la justesse et la subtilité de sa réalisation, grâce à la présence de deux comédiens au sommet de leur art, Cesc Gay gratifie les spectateurs d'un film qui ne peut que les marquer profondément, de façon positive, pas seulement durant les 108 minutes de la projection mais, peut-être, tout au long de leur vie, que ce soit de façon consciente ou inconsciente.
Cannes 2017 : Loveless (Nelyubov)
Loveless
France, Russie, 2017
Titre original : Nelyubov
Réalisateur :Andreï Zviaguintsev
Scénario :Andreï Zviaguintsev
Acteurs : Maryana Spivak, Alexei Rozin
Distribution : Pyramide Distribution
Durée : 2h07
Genre : Drame
Date de sortie :...
L’empire des rastelli
Inspiré du scandale de l'affaire Parmalat, L'empire des Rastelli se voit comme un thriller financier très proche de la réalité, mettant en scène une galerie de personnages de la vie de tous les jours.
Cinélatino 2018 : El silencio del viento
Ce n'est pas uniquement en Europe que le thème des réfugiés fait polémique, comme le montre bien ce film portoricain, présenté en compétition au Festival Cinélatino de Toulouse. Partout où l'opportunité et la nécessité se présentent d'aller chercher une vie meilleure dans un autre pays, des hommes et des femmes font des efforts considérables pour se rapprocher de ce paradis sur terre aux pieds d'argile.
Toutes nos envies
Dans Welcome, Philippe Lioret s'attaquait avec humanité à une de nos grandes questions de société : l'immigration clandestine. Il ne m'avait cependant pas trop convaincu mais le souvenir du très beau Je vais bien, ne t'en fais pas m'avait laissé l'empreinte d'une émotion si subtile et pourtant si forte, que je ne pouvais manquer Toutes nos envies.