Délivrez-nous du mal
Une vieille dame est tuée par un routier ivre. Il masque son crime et désigne un réfugié comme coupable. Ce traumatisme pour tout un village bascule dans une explosion xénophobe et violente. Une seule famille s’oppose. Mais l’enfer et le mal viendra jusqu’à sa porte.
The Cat
Seul film coréen en compétition au festival de Gérardmer 2012, on attendant beaucoup de The Cat. En effet La Corée du Sud nous avait régalé en 2011 avec Bedevilled (Grand prix) et J'ai rencontré le Diable (Prix du public, Prix du jury jeunes, Prix de la critique). La surprise sera malheureusement de taille...
Critique : Lazarus Effect
Jason Blum et Blumhouse production sont des noms qui commencent à être familiers à ceux qui s'intéressent au cinéma de genre. Cet maison de production a fait parler d'elle grâce à ses méthodes et ses résultats avec de petits budgets injectés dans des projets horrifiques, avec à la clef souvent de gros bénéfices.
The Sacrament – Festival de Gérardmer 2014
En quelques films, Ti West est devenu un réalisateur incontournable dans le genre horreur – indépendant. Ce dernier s’est imposé avec des films comme House of The Devil ou plus récemment The Inkeepers, des œuvres qui démontrent un talent formel aussi bien que la volonté de tourner le dos aux productions actuelles formatées et anonymes tout en assumant un héritage 80’s pleinement assumé . Avec The Sacrament, Ti West signe son retour au long métrage après s’être un peu perdu dans des films à sketchs gentils.
Critique : Mate-me Por Favor
L’adolescence et ses tourments ne cessent depuis toujours de fasciner les cinéastes du monde entier, y voyant à juste titre un univers propice à l’exploration de la complexité des sentiments humains, puisque cette période charnière de l’existence de tout un chacun permet d’aborder une variété de thèmes forts, et ce dans de nombreux genres à priori totalement opposés. Que ce soit le drame, la comédie, ou l’épouvante, il y a toujours un moyen d’en tirer quelque chose de marquant, tant thématiquement que formellement. Dans le film qui nous intéresse ici, la jeune cinéaste brésilienne Anita Rocha da Silveira a donc choisi le prisme de l’épouvante pour y décrire des jeunes gens angoissés mais vibrant d’une fureur de vivre que rien ne semble pouvoir atténuer, pas même des crimes sauvages survenant aux alentours, et touchant principalement des jeunes filles de l’âge des personnages principaux.
Critique : Norwejian Ninja – Festival de Gérardmer 2012
Avec Troll Hunter et Rare Exports on avait découvert la Norvège sous un nouvel angle : drôle, absurde et original. On attendant donc beaucoup de Norwejian Ninja et sa bande annonce bien barré qui laissait présagé d'un film totalement absurde.
Shaun of the Dead
Shaun of the Dead
Britannique : 2004
Titre original : Shaun of the Dead
Réalisateur : Edgar Wright
Scénario : Edgar Wright, Simon PEgg
Acteurs : Simon Pegg, Nick...
Critique : Vermines
Vu de loin, le cinéma d'horreur à la française n'a pas bonne réputation. A vrai dire, il n'a peut-être même pas de réputation tout court, tant la production de films de genre reste balbutiante dans notre pays. Pourtant, de temps en temps, il y a des films capables de prouver que le talent de faire frissonner le public n'est point une question d'origine.
A Horrible Way to Die
A même pas tente ans, le réalisateur nord-américain Adam Wingard a déjà la réputation d’innover le cinéma de genre horreur (Homme Sick, Pop Skull). A horrible way to die le prouve.
Critique : The Substance
Que les intentions de sa réalisatrice, bourrines à souhait, soient de dénoncer, de dynamiter les représentations du corps féminin ne font aucun doute. Seulement, ce postulat n’aurait pas suffi en lui-même à déployer un film iconique; en particulier quand on est comme moi allergique aux donneurs de leçons.
Critique Express : Les femmes au balcon
Les réalisatrices ont parfaitement le droit d'être médiocres, même sur des sujets qui leur tiennent à cœur.
Critique : MaXXXine
Je n’ai, à ce jour, pas vu les deux premiers opus de la trilogie de Ti West. je découvre ainsi Maxxxine vierge de certaines références, bien que je me sois senti en terrain bien connu.