Juno, Ellen Page, Michael Ceara

Critique : Juno

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Juno est de la veine de ces films du cinéma indépendant américain qui rendent frileux les grandes pontes des studios mais qui se révèlent être de véritables bijoux. C’est donc grâce à la société de production de John Malkovich que le film voit le jour.
Photo de Et si on vivait tous ensemble ? avec Guy Bedos

Et si on vivait tous ensemble ?

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Lorsqu’à l’affiche d’un film, apparaissent les noms de Guy Bedos et de Pierre Richard, vous pensez aussitôt comédie, rire, voire même « poilade ».
L'Abominable vérité

L’Abominable Vérité

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L'Abominable Vérité, de Robert Luketic (Las Vegas 21, La Revanche d'une Blonde...), est une comédie romantique sortie en salles en 2009. Une parmi tant d'autres, oui, mais avec une affiche attirante, aussi bien pour ces dames que pour ces messieurs : Gérard Butler et Katherine Heigl. Duo improbable, mais qui a peut-être fait la différence...

Critique : L’Amour ouf

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L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.

Critique : Pixels

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En 2010, le français Patrick Jean réalise un court métrage où des créatures sorties de jeux vidéos s'échappaient d'un poste de télévision et envahissaient les rues de New York, détruisant tout sur leur passage. Pac-Man et les Space Invaders pixelisent tout ce qu'ils touchent quand les formes géométriques de Tetris s'encastrent dans des immeubles pour les détruire comme dans le jeu. Arkanoid et ses balles rebondissent contre le pont de Brooklyn, Donkey Kong jette ses tonneaux du haut de l'Empire State Building en hommage au King (Kong, pas Elvis...). Après cet essai ludique de deux minutes et des pixels des poussières, Hollywood s'en empare pour un film de (pas) super-héros.
Wayne's World

Wayne’s World

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Wayne's World est un film tout droit venu des États-Unis et réalisé par Penelope Spheeris en 1992. Etant à l'origine une séquence de Saturday Night Live, une émission de divertissement et de sketchs hebdomadaires aux Etats-Unis, Wayne's World a été adapté pour la France par deux membres des Nuls, Alain Chabat et Dominique Farrugia qui se sont chargés des dialogues français destinés au doublage. Un humour absurde dans la folie des années 90.

Critique : Limbo

Sans gommer le côté tragique de la situation des demandeurs d'asile patientant sur une île écossaise, l'humour apporte une fraicheur qui, finalement, ne fait que renforcer l'empathie qu'on peut ressentir à leur sujet.

Critique : Max mon amour

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La subversion sulfureuse se manifeste exclusivement dans la prémisse de ce film faussement iconoclaste. Une femme qui tombe amoureuse d’un singe, au point de le préférer à son mari, qui est à son tour assez téméraire pour accepter cette concurrence à la fois animale et déloyale dans le foyer familial : il y aurait eu de quoi en faire une satire cinglante sur l’hypocrisie des mœurs, si seulement le scénariste Jean-Claude Carrière avait encore pu faire équipe avec son trublion de collaborateur Luis Buñuel. Puisque le maître de la provocation filmique n’était déjà plus de ce monde au milieu des années 1980, Carrière a dû se rabattre sur un autre cynique invétéré en la personne de Nagisa Oshima, lors de l’un de ses très rares films coupés complètement de la sphère japonaise. Le résultat est bien trop sage pour défrayer encore la chronique de nos jours. Même à l’époque, pareille entorse aux conventions sexuelles n’a pas non plus dû faire trop de vagues, vu comment le récit tourne obstinément autour du pot, sans jamais vraiment oser choquer le spectateur.

Critique Express : Adieu Paris

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Pensez vous qu'il soit possible de réaliser un film qui peut donner l'impression sur le moment d'être totalement vain tout en réjouissant l'esprit par son ironie et sa tendresse et qui, après réflexion, apparait comme étant beaucoup plus profond que ce que laissait penser la première impression ? La réponse est donnée par Edouard Baer dans "Adieu Paris", son 4ème long métrage en tant que réalisateur.
Bienvenue à bord avec Franck Dubosc, Gérard Darmon et Valérie Lemercier

Bienvenue à bord

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Après Incognito (2009), le duo Eric Lavaine/Franck Dubosc se retrouve sur le projet Bienvenue à bord. Une nouvelle comédie française détonante pour certains, médiocre pour d'autres, dans le paysage cinématographique d'octobre. Alors, le casting, les gags et les décors alléchants vus dans la bande-annonce valent-ils vraiment le détour ?

Critique : Le défi du champion

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"Le défi du champion" a tout pour devenir la bonne surprise cinématographique de l'été !
Case départ

Critique : Case départ

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Le duo comique Thomas N'Gijol / Fabrice Eboué débarque sur nos écrans pour une première comédie : Case départ. Un film qui traite du racisme et de l'esclavage avec le sourire, à mi-chemin entre Les Visiteurs et La case de l'oncle Tom...

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Un film qui, à un gros détail près, est en phase avec ce qu'on a coutume d'appeler l'esprit de Noël.

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Le fait d'avoir appartenu à la sélection concourant à Cannes pour la Palme d'or est-il forcément un gage de qualité ? La réponse est négative et ce nouveau film de Karim Aïnouz en apporte une nouvelle preuve.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Galaxy Quest

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A l’image de films tels que La Folle journée de Ferris Bueller et de quelques autres, Galaxy Quest (1999) fait partie de ces comédies américaines bénéficiant d’un statut de film « Culte » aux USA mais n’ayant jamais réellement déchaîné les foules en France...

Livre : Faire un film (Sidney Lumet)

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Même si « Faire un film » a été écrit il y a près de trente ans, avec la traduction française survenue assez tardivement en 2016, le livre de Sidney Lumet retient toute sa pertinence dans le paysage cinématographique actuel. La révolution numérique et l'arrivée des plateformes en ligne ont beau être passées par là, le processus de fabrication d'un film n'a pas vraiment évolué de fond en comble depuis la période d'activité du réalisateur d'Un après-midi de chien.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : The Crow

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Exit l’Harlequin romantique en moule-bite de cuir et l’architecture gothico-baroque du film d'Alex Proyas, The Crow arbore ici l’allure d’un Hooligan roumain semi-clodo avançant sans relâche, tel un zombie, et trimbalant avec lui une douleur inextinguible...