(500) jours ensemble
(500) jours ensemble est le premier film de Marc Webb, essentiellement connu pour avoir réalisé de nombreux clips vidéos.
Critique : New York Melody
La plus grande surprise ici est de découvrir le joli filet de voix de l'actrice Keira Knightley qui chante avec un talent inattendu dans les rues de New-York afin d'enregistrer un disque en plein air dans des lieux publics. Habituée à porter de belles toilettes dans des films historiques, elle revient au monde contemporain pour cette très plaisante comédie moins romantique que musicale. Mark Ruffalo, mal rasé et hirsute, est le producteur fatigué qui l'accompagne dans cette folle équipée improvisée portée par les agréables compositions de Gregg Alexander, leader du groupe pop New Radicals sur des paroles signées entre autres par le réalisateur lui-même.
Critique : Queen and Country
1952 : 7 ans se sont écoulés depuis la fin de la 2ème guerre mondiale et, depuis 2 ans déjà, une guerre est engagée en Corée. L'ONU ayant voté une résolution autorisant une intervention militaire destinée à soutenir l'armée de la Corée du Sud, la Grande-Bretagne est de nouveau en guerre, cette fois ci à l'autre bout du monde. Bill Rohan, lui, a 18 ans, il vit chez ses parents dans une île au milieu de la Tamise et, lorsque le temps le permet, il nage dans le fleuve. La vie, toutefois, n'est pas toujours un long fleuve tranquille : voici Bill, jeune homme romantique et passionné, contraint d'aller faire son service militaire. C'est là qu'il va rencontrer Percy, jeune homme déluré et farceur, et s'en faire un ami
Kaboom
Kaboom, présenté à Cannes en 2010 à la séance de minuit, est le premier film a remporté la Queer Palm (récompense du film gay). C’est le dixième long métrage de Gregg Araki, que l’on connait déjà pour le très bon Misterious Skin mais également Smiley Face.
Critique : The Descendants
Vainqueur il y a quelques jours de deux Golden Globes majeurs (Film dramatique et comédien pour un film dramatique), le nouvel opus d’Alexander Payne (Sideways) est un modèle de subtilité et de retenue où George Clooney excelle, entouré par une équipe de jeunes comédiens étonnants. De la grande classe.
Intégrale Claude Berri #16 : La débandade (1999)
Pour son retour à la chronique de mœurs à forte tendance autobiographique, Claude Berri choisit avec La débandade d’aborder le sujet – fort délicat – de la perte progressive de la virilité, et choisit à nouveau d’aborder le sujet par le biais de la comédie.
Critique : 20th Century Women
Elever seul un enfant n’a jamais été une mince affaire. Selon les époques, cette tâche parentale accrue s’est traduite par la solitude, voire l’ostracisme social, et une grande précarité. Dans son troisième film, le réalisateur Mike Mills rend un hommage appuyé à ces mères courage – car dans l’immense majorité des cas il s’agit de mères – qui jonglent entre exigences d’éducation, obligations professionnelles et une vie affective souvent anémique.
Critique : L’Amour dure trois ans
Pour ses premiers pas derrière la caméra, Frédéric Beigbeder a choisi d’adapter son roman L’amour dure trois ans. D’inspiration autobiographique, le film éponyme relate la vie et les amours d’un écrivain sous la forme d’une comédie romantique. Après l’adaptation de 99 francs de Jan Kounen et son cynisme provocateur trash, Beigbeder souhaitait revenir à quelque chose de plus intime.
Critique : Love & friendship
La grande époque des adaptations filmiques des œuvres de Jane Austen est définitivement derrière nous. Aussi populaire que l’univers de William Shakespeare à peu près au même moment, c’est-à-dire au milieu des années 1990, celui de la romancière anglaise n’a pas connu de mise à jour sérieuse au cinéma depuis.
Cannes 2016 : L’Effet aquatique – Quinzaine
L'Effet aquatique
France, Islande, 2016
Titre original : The together project
Réalisateur : Solveig Anspach
Scénario : Jean-Luc Gaget
Acteurs : Florence Loiret-Caille, Samir Guesmi
Distribution : Le Pacte
Durée : 1h25
Genre...
Critique : C’est la fin
Invités à une fête chez James Franco, Seth Rogen, Jonah Hill et leurs amis sont témoins de l'Apocalypse.
Critique : Jamais contente
Des films sur une jeune adolescente de 13 ans, on en a déjà vu beaucoup, mais il y en a peu qui peuvent revendiquer une telle fraîcheur et autant d’authenticité