Critique : L’Idéal

"l'Idéal" s'avère à la fois excitant et irritant. C'est dans le scénario que résident les défauts les plus flagrants du film, en particulier en ce qui concerne l'articulation entre les différentes séquences du film.
Harold's going stiff

Harold’s going stiff

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Harold's going stiff est une petite comédie horrifique tout droit venue d'Angleterre. Il s'agit du premier film de Keith Wright qui signe également le scénario largement tourné vers le drame, le tout filmé à la manière d'un documentaire. Un film original qui traite du sujet de la maladie sous fond de virus qui zombifie les personnes âgées. Tout un programme !

Critique : Les Crevettes pailletées

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L'histoire du cinéma gay a toujours aussi été en parallèle celle de l'homophobie. Autant les représentations filmiques de l'homosexualité jouaient et jouent encore un rôle essentiel d'affirmation et de visibilité auprès d'un public plus ou moins confidentiel, autant elles font œuvre de résistance contre l'ignorance, voire l'hostilité à l'égard des orientations sexuelles en dehors de la norme hétéro.

Vu sur Ciné + : Pinot simple flic

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A première vue, Gérard Jugnot est le maître incontesté de la ringardise dans le cinéma français. Dès son premier film en tant que réalisateur, Pinot simple flic, il s'est en effet employé à cultiver l'image d'un bonhomme bien franchouillard comme il faut.
Les Géants affiche du film de Bouli Lanners

Les Géants

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Pour son troisième long métrage, Bouli Lanners, également comédien comme dans le récent Rien à déclarer et fier d'être Belge, a décidé de baser son histoire sur trois adolescents passant leur été seuls et coincés au milieu de nul part. Alors, ce film ayant remporté 2 prix lors de la quinzaine des réalisateurs à cannes cette année, il est Géant ou pas ?
Critique : Kaboom de Gregg Araki 2010

Kaboom

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Kaboom, présenté à Cannes en 2010 à la séance de minuit, est le premier film a remporté la Queer Palm (récompense du film gay). C’est le dixième long métrage de Gregg Araki, que l’on connait déjà pour le très bon Misterious Skin mais également Smiley Face.

Critique : Les Nouveaux Sauvages

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Sous le parrainage de Pedro Almodóvar, l'un de ses producteurs, l'Argentin Damián Szifron ose avec Les Nouveaux Sauvages une comédie mordante et savoureuse qui le propulse pour la première fois sur le devant de la scène française et internationale grâce notamment à sa sélection officielle au Festival de Cannes 2014.
To Rome with Love, photo du film Ellen Page et Jesse Eisenberg

To Rome with Love

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Rome, ville d’Histoire, est une ville « où tout est histoire » claironne le récitant improvisé de la courte scène d’introduction (réglant la circulation sur une des places les plus animées de la capitale italienne, avec une gestuelle hasardeuse, entre le mime et le sémaphore). Il nous en propose quatre, en ce bel été dans la Ville Eternelle : celle de Jack, un Américain étudiant en architecture, celle d’un autre Américain, Jerry (le premier résidant à Rome, le deuxième venu avec son épouse Phyllis en vacances – et aussi pour rencontrer le fiancé italien de leur fille Hayley) et celles de deux « locaux », Leopoldo (le Romain) et Antonio (le provincial monté à la capitale).

A toute épreuve

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Un an après le triomphe inattendu des Profs, voici une nouvelle tentative de faire rire dans le milieu éducatif avec des sous-doués qui vont tenter de piquer les sujets du bac. Après un premier long-métrage d'horreur, La Traque, inégal mais prenant, Antoine Blossier change radicalement de registre avec cette comédie qui est en effet une épreuve.

Critique : Je suis à vous tout de suite

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Pas de panique, Je suis à vous tout de suite ne répète pas les erreurs fatales de Il reste du jambon ? de Anne Depetrini, l’une des dernières comédies françaises à se pencher sur le processus d’intégration de familles issues de l’immigration en France. Le premier film de Baya Kasmi se montre beaucoup trop nuancé et malicieux dans son portrait au féminin d’une vie sous le signe d’une gentillesse traîtresse pour se laisser tenter par des stéréotypes racistes comme le faisait il y a cinq ans le film précité.

Critique : Il reste encore demain

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Sensation en Italie, le film de Paola Cortellesi Il reste encore demain a remporté un grand succès en salles. Ce beau triomphe a suffit à la presse internationale pour labelliser le film de “phénomène féministe”...

Critique : Kill your friends

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Notre nostalgie des années 1990 ne s’étend pas jusqu’aux relents de l’arrivisme propre à la décennie précédente. La soif insatiable de succès professionnel, peu importe les moyens, y était pourtant encore bien présente. L’avidité était toujours gagnante parmi ces nouveaux riches, qui brassaient l’argent et la drogue.

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Un film très documenté sur le milieu des courses de chevaux mais qui souffre de la présence d'un certain nombre de scories.

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"Hyacinthe" arrive à recréer le charme de certains petits polars du passé, ces films sans prétention réalisés avec des moyens limités, des films plaisants à regarder mettant en scène des truands et des femmes de petite vertu, des films qui passent sans prévenir d'un registre de comédie à un registre faisant appel à diverses formes de violence.

Comment le cinéma et la télévision capturent l’excitation des décisions à haut risque

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Des paris de vie ou de mort aux moments décisifs, les films et séries ont une manière de rendre les décisions à haut risque...

Test Blu-ray : Zig Zig

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Zig Zig est sans aucun doute un des films les plus oubliés – et par conséquent l'un des plus méconnus – de la carrière de Catherine Deneuve. Et pour cause : il fut en son temps très mal reçu par la critique, et en n'attirant qu'un peu moins de 300.000 spectateurs dans les salles en 1975, on peut également parler d'échec commercial.

Test Blu-ray : Vaiana 2

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Vaiana 2 a littéralement explosé le box-office international en 2024, réunissant plus de huit millions de français dans les salles, et dépassant, avant même son exploitation en vidéo, la barre symbolique du milliard de dollars de recettes.