Critique : Jubilée (Derek Jarman)
Ce mercredi 21 juin sort dans un coffret DVD ainsi qu’en salle, un hommage à Derek Jarman. Cinéaste anglais, figure punk, anarchiste et militant LGBT, il aura entre autres révélé Tilda Swinton aux yeux de tous. Ce sont quatre de ses films que vous pouvez (re)découvrir : Last of England, Sebastiane, La tempête, et enfin Jubilée, son deuxième film.
Critique : Rara
Sur fond d'une histoire vraie, Pepa San Martin et sa co-scénariste Alicia Scherson ont tiré un film très juste et très pudique, un film qui sait se montrer militant sans pour autant verser dans une vision manichéenne de la situation et des personnages qui la vivent
Critique : Ava
Un pari audacieux dont le résultat est bluffant !
Critique : On l’appelle Jeeg Robot
Premier film de Gabriele Mainetti, On l’appelle Jeeg Robot, est une relecture italienne du traditionnel film de super héros américain. Le décalage ne prend pas vraiment, On l'appelle Jeeg robot s’avère très simpliste, s’apparentant à une simple série B relevée par de bien rares scènes d’action impressionnantes mais trop rares.
Critique : Ce qui nous lie (deuxième avis)
Malgré l'excellente prestation des interprètes de "Ce qui nous lie", on ressort de la projection avec l'impression mi-figue, mi-...raisin d'un film qu'on aurait souhaité aimer davantage.
Cannes 2017 : Le Redoutable
On se rappelle du triomphe qu'avait connu The Artist à travers le monde en 2011. Avant de raffler César, Oscar, et j'en passe, le film avait d'ailleurs été présenté à Cannes, et Jean Dujardin était reparti avec le prix d'interprétation masculine. Le film suivant d'Hazanavicius, présenté lui aussi en compétition officielle, avait connu un accueil beaucoup plus mitigé ... Cette année, le réalisateur des Oss 117 et de La classe américaine présente Le redoutable, film qui s'intéresse à Jean-Luc Godard, entre la sortie de son film La Chinoise (1967) et la fin de 1968, avec ce que cela implique au niveau du pays (les événements de mai, qui on directement touché le Festival de Cannes) mais aussi au niveau personnel, JLG s'étant marié à Anna Wiamzemsky entre temps.
Cannes 2017 : The Meyerowitz Stories
The Meyerowitz Stories
USA - 2017
Titre original : The Meyerowitz Stories
Réalisateur : Noah Baumbach
Scénario : Noah Baumbach
Acteurs : Adam Sandler, Ben Stiller, Dustin Hoffman
Distribution : Netflix France
Durée...
Cannes 2017 : The Square
Le précédent film de Ruben Östlund, Snow therapy, avait remporté le prix du jury Un certain regard en 2014. Ici encore il explore les rapports de force entre les personnes, cette fois-ci non pas au sein d'une famille mais au sein de la société suédoise.
Cannes 2017 : Okja
Les films coréens, ou du moins beaucoup de ceux qui sont distribués en France, nous ont habitué à mettre en scène des satires sociales, surtout concernant la société coréenne elle-même. Pour rester chez Bong Joon-ho, on peut ainsi se rappeler des policiers violents de Memories of murder ou du gouvernement réprimant les manifestations à la fin de The Host ; plus récemment, Tunnel de Kim Seong-hoon (blockbuster de l'été 2016 au pays du matin calme) nous montrait à quel point la (sur)vie d'un homme pouvait se retrouver liée à l'image que voulait se donner un gouvernement et aux intérêts d'entreprises privées.
Critique : suntan
Grâce à un scénario solide et intelligent, grâce à un bon travail de mise en scène et de mise en image, grâce à un duo de comédiens dont le naturel permet de s'attacher à leurs personnages, "Suntan" arrive à dégager un charme auquel on se laisse facilement prendre.
Critique : Les Gardiens de la Galaxie 2
Trois ans après, James Gunn revient avec la suite de Les Gardiens de la Galaxie. Le casting reste le même : Chris Pratt (Star-Lord), Dave Bautista (Drax) et Zoe Saldana (Gamora) reviennent, présents à l'écran, et Bradley Cooper et Vin Diesel prêtent toujours leurs voix à Rocket Racoon et (Baby) Groot. Deux petits nouveaux s’ajoutent à la bande, et pas des moindres, Kurt Russell dans le rôle de la planète Ego et Sylvester Stallone devient Stakar, personnage qui devrait réapparaître dans de prochains films Marvel Studios. Après la claque qu’était le premier opus, comment James Gunn a-t-il appréhendé cette suite ?
Critique : Album de famille
Un film qui, sans avoir l'air d'y toucher, avec un humour à froid qui fait penser à Kaurismäki, Jarmush ou certains réalisateurs roumains comme Corneliu Porumboiu, dit beaucoup de choses sur la Turquie d'aujourd'hui.