Vive la France
Muzafar et Feruz sont deux gentils bergers du Taboulistan… tout petit pays d’Asie centrale dont personne ne soupçonne l’existence. Afin de faire connaître son pays sur la scène internationale, le fils du président tabouli décide de se lancer dans le terrorisme «publicitaire» et de confier à nos deux bergers, plus naïfs que méchants, la mission de leur vie : détruire la Tour Eiffel ! Pour atteindre leur objectif, ils devront traverser le milieu le plus hostile qui soit : la France ! Une France, bien loin de l’Occident qu’on leur avait décrit : entre les nationalistes corses, les policiers zélés, les taxis malhonnêtes, les supporters violents, les employés râleurs, les serveurs pas-aimables, les administrations kafkaïennes et les erreurs médicales… rien ne leur sera épargné. Ils rencontreront heureusement Marianne, jeune et jolie journaliste qui, pensant qu’ils sont deux sans-papiers, les aidera à traverser ces épreuves et leur fera découvrir un autre visage de la France… Celui d’une terre d’accueil, magnifique et généreuse, où il fait si bon vivre. Vive la France !
Triple Alliance
Nick Cassavetes passe à la comédie avec ce récit d'une vengeance au féminin, avec Cameron Diaz et Leslie Mann folles de rage contre le Casanova de pacotille qui s'est moqué d'elles...
Critique : Samba
Samba, c'est le nom d'une danse brésilienne mais aussi celui de cet immigré candide en situation irrégulière, interprété par Omar Sy qui retrouve les réalisateurs d'Intouchables, le deuxième plus gros succès de l'histoire du cinéma français après Bienvenue chez les Ch'tis.
Rhum Express
Après le formidable Las Vegas Parano du génie Terry Gilliam, Johnny Depp campe à nouveau le personnage d'un roman de Hunter S. Thompson. Le problème c'est que Bruce Robinson n'est pas Terry Gilliam et Johnny Depp n'est pas non plus au sommet de sa forme, alors Rhum Express tient-il la route ?
Critique : Search Party
Cette comédie qui lorgne très visiblement du côté de Very Bad Trip est certes très inégale mais vaut un tout petit le détour, au moins le temps de sa vision (mais guère plus longtemps)...
Critique : La Vie très privée de Monsieur Sim
Bien aidé par la prestation d'un Jean-Pierre Bacri quasiment "fait" pour le rôle, Michel Leclerc a réussi à surmonter la plupart des difficultés qui l'attendaient en adaptant "La Vie très privée de Monsieur Sim" au cinéma : arriver à faire rire de temps en temps tout en proposant un film plein d'émotion et flirtant souvent avec une forme particulière de tragique.
Agathe Cléry
Agathe Cléry est une vraie working girl du XXIe siècle. Brillante directrice du marketing d'une ligne de cosmétiques spéciale "peaux claires", elle n'est néanmoins guère appréciée de ses collègues qui la trouvent dure, hautaine et la savent raciste.
Le jour où on lui annonce qu'elle est atteinte de la maladie d'Addison, maladie rarissime qui va la faire noircir, Agathe refuse de croire à une telle malédiction. Pourtant, un beau matin, elle se retrouve aussi noire que tous ceux qu'elle détestait jusqu'à maintenant.
Commence alors pour Agathe un long parcours initiatique durant lequel elle va subir moult trahisons, perdre tout ce qui lui était le plus cher, mais toutes ces humiliations vont petit à petit métamorphoser la " dure, hautaine et raciste " qu'elle était, et lui ouvrir les portes d'une nouvelle vie...
Nos pires voisins
Un conflit de voisinage observé avec humour entre un couple de trentenaires qui aspire au calme avec leur bébé dans leur première maison et une fraternité d'étudiants fêtards trop bruyants, devant la caméra de Nicholas Stoller, un protégé (un de plus) de Judd Apatow.
Critique : Il était une fois dans l’est
Larissa Sadilova a su apporter du neuf dans la banalité du sujet traité, l'adultère, avec la description précise et pleine d'empathie des caractères et de l'évolution des comportements de chacun des protagonistes impliqués dans cet adultère, avec le volet documentaire de l'environnement dans lequel ils évoluent, avec le choix des sauts dans le temps qui permet de découvrir toutes les facettes des paysages de ce bout de Russie.
La Course au jouet
La Course au jouet est une comédie de Noël pour enfant sortie en 1996. Son réalisateur Brian Levant a offert le rôle principal à Arnold Schwarzenegger que l'on avait déjà pu voir dans d'autres comédies (Un Flic à la maternelle, Junior). Il s'est également entouré de comédiens tels que Phil Hartman (La Course au jouet est l'un de ses derniers films, il est assassiné 2 ans plus tard) et Sinbad.
The Spectacular Now
Sutter est un adolescent brillant, drôle, charmant... et très porté sur la boisson. Son quotidien est chamboulé par sa rencontre avec la timide Aimee, une jeune femme totalement différente de lui.
Critique : Technoboss
celles et ceux qui aiment le cinéma décalé, les situations loufoques, le mariage des genres, trouveront dans "Technoboss" non seulement de quoi se réjouir, mais également matière à réfléchir.