Critique : La Fille de son père (Deuxième avis)
Le hasard fait parfois bien les choses. Alors qu'on n'avait pas particulièrement prévu d'aller voir La Fille de son père – à cause de la présence d'une critique déjà dithyrambique sur le site, du nombre irrattrapable d'autres films à découvrir, tout ça quoi –, on s'en serait quand même voulu d'être passé à côté de ce deuxième long-métrage jubilatoire.
Critique : Bis repetita
A la fois du côté des élèves et des enseignants, l'école va mal en France. Il suffit de regarder, au choix, les grèves récurrentes dans l'éducation nationale, le mal-être des enfants et des adolescents victimes de harcèlement et le délabrement physique des établissements pour s'en convaincre. Pas sûr qu'un film de la trempe de Bis repetita soit capable d'y changer quelque chose.
Critique : Ma vie Ma gueule
On retrouve dans ce film le goût pour l'autodérision et le côté décalé, à la fois drôle, instable et hypersensible, deux des
facettes qui ont toujours été la marque de fabrique de Sophie Fillières.
Critique : En fanfare (Deuxième avis)
Non, il n'y a pas eu d'applaudissements spontanés à l'issue de notre séance matinale d'En fanfare ! Néanmoins, pour un film qui est désormais à l'affiche depuis cinq semaines, la salle du multiplexe était tout de même remplie d'une vingtaine de spectateurs, dont certains étaient visiblement émus aux larmes par la fin de ce succès populaire indéniable.
Arras 2024 : L’Attachement
En termes de drames familiaux, le fil est ténu entre notre appréciation à leur égard ou au contraire leur rejet catégorique. Difficile de trouver le ton juste, celui qui nous fait adhérer à ces tranches de vie, tout en aménageant des espaces de singularité qui vibrent à leur propre rythme.
Critique : La Chambre d’à côté
Le Royaume
ESP - USA 2024Réalisateur: Pedro AlmodovarScénariste: Pedro AlmodovarCasting: Tilda Swinton ; Julianne MooreDistributeur: Pathé FilmsGenre : Comédie dramatiqueDurée : 1h47 minSortie FR: 8...
Critique : La Garçonnière
Parfois, Billy Wilder, ce grand cynique, avait su viser juste, entre le conte au vitriol et un regard plein de tendresse, porté sur les hommes et les femmes qui se tuent à courir après leur idéal, romantique ou matériel. Il n'avait peut-être jamais rempli son rôle de commentateur mi-amusé, mi-dégoûté de la société américaine avec plus de maestria que dans La Garçonnière, qui lui avait valu une flopée d'Oscars en 1961.
Critique : Fremont (Deuxième avis)
Frémont, c’est l’histoire de Donya, d’origine afghane, ancienne traductrice immigrée aux États-Unis et travaillant dans une usine de gâteaux porte-bonheur. Pour raconter son errance, Babak Jalali choisit un ton humoristique “sec”, rafraîchissant et sans complaisance.
Sarlat 2024 : Mon gâteau préféré
Alors que le régime des mollahs exerce fermement son contrôle sur le cinéma iranien, de temps à autre, il y a quand même des films ayant osé défier cette chape de plomb qui arrivent jusque sur les écrans de nos salles obscures.