Albi 2022 : Ailleurs si j’y suis
Il paraît que l'acteur belge Jérémie Renier – invité d'honneur de la 26ème édition du Festival d'Albi et déjà avec une filmographie imposante à son actif, malgré son jeune âge de bientôt 42 ans – envisage de prendre du recul par rapport à sa carrière devant la caméra, afin de se consacrer à la cause environnementale.
Critique : Un triomphe
S'inspirant d'une histoire vraie qui s'est déroulée en Suède il y a 35 ans, Emmanuel Courcol nous propose une réflexion très enlevée et savoureuse sur l'importance de la culture.
Critique : Les Estivants (Deuxième avis)
Dans "Les estivants", tous les défauts de la réalisatrice sont présents à 200 % : lourdeur, prétention, narcissisme.
Critique : En fanfare
Un film très réussi dans lequel on a parfaitement le droit de passer du rire aux larmes et vice-versa
Critique Express : Le tourbillon de la vie
C'est le premier long métrage d'Olivier Treiner en tant que réalisateur et il se montre aussi inventif dans son scénario que brillant dans sa réalisation.
Critique : Yao
Face à un certain nombre de qualités indéniables, on ne peut que regretter la réalisation trop souvent amorphe de ce road-movie tourné de façon chronologique.
Critique : Benjamin
Dans "Benjamin", Simon Amstell, avec un ton qui rappelle assez souvent Woody Allen, se montre manifestement narquois par rapport à lui-même tout en se moquant gentiment des milieux artistiques de Londres.
Critique : Reprise en main
Avec "Reprise en main", film social, film engagé, mais qui n'oublie pas d'être souvent drôle et émouvant, Gilles Perret se met avec talent dans les pas de Ken Loach.
Critique : La Carrière d’une femme de chambre
Pendant la deuxième moitié des années 1970, les règlements de compte doux-amers avec l'âge d'or du cinéma étaient un sous-genre plutôt répandu. Du côté anglophone, cela a donné des films comme Le Dernier nabab de Elia Kazan, Fedora de Billy Wilder et Valentino de Ken Russell.
Dinard 2019 : Denmark
Changement de régime, enfin, dans notre programme personnel du Festival de Dinard, grâce à cette comédie douce-amère sur un perdant par excellence, qui, contre toute attente, finit par retrouver goût à la vie.
Critique : Chroniques de Téhéran
Un véritable bijou à la fois très court et très fort, un film qui montre que toutes les tranches d'âge sont concernées par l'absurdité du système iranien.
Critique : Tazzeka
"Tazzeka" est un film qui donne la pêche, un film qui fait chaud au cœur. Très bien interprété, il est, en plus, magnifiquement mis en images et il recèle un certain nombre de scènes qui, d'un point de vue purement cinématographique, marquent les esprits.