Intégrale Claude Berri #04 : Le cinéma de Papa (1971)
Pour son quatrième film en tant que réalisateur, Claude Berri persévère sur la voie de l’autobiographie filmée avec Le cinéma de Papa, qui nous propose un retour sur quelques épisodes de sa vie, disséminés entre 1946 et 1962. Mais comme le titre du film l’indique, l’aspirant cinéaste et ses déconvenues sentimentales et professionnelles ne seront pas cette fois réellement au centre du film et de son patchwork de séquences à la narration volontiers décousue : le dénominateur commun y est en effet avant tout la figure paternelle.
Vu sur OCS : Battement de cœur
Il y a quelque chose de formidablement irrévérencieux dans la première partie de Battement de cœur, ce petit classique du cinéma français de l'immédiat avant-guerre, qui restera encore disponible dans une belle copie restaurée sur le replay d'OCS pour les trois semaines à venir.
Critique Express : Lads
Un film très documenté sur le milieu des courses de chevaux mais qui souffre de la présence d'un certain nombre de scories.
Critique : France
C'est un film à charge contre une certaine forme de télévision que Bruno Dumont a réalisé pour ce film plus "normal" que les précédents.
Critique : La vie de ma mère
Emotion, rires, rares sont les films qui, dans ces deux domaines, en donnent autant aux spectateurs !
Critique : Compagnons
Un beau film qui, à sa façon, entre dans la catégorie des "Feel good movies" sans être pour autant un film ne mettant en avant que des bons sentiments pleins de mièvrerie.
Berlinale 2020 : La Femme qui s’est enfuie
La compétition de cette 70ème édition du Festival de Berlin se sera en fin de compte déroulée sans que nous y ayons prêté une attention particulière. Alors que notre séjour festivalier se terminera hélas déjà bientôt, nous avons quand même daigné regarder l'un des films en lice pour l'Ours d'or du jury présidé par Jeremy Irons.
Critique : En fanfare (Deuxième avis)
Non, il n'y a pas eu d'applaudissements spontanés à l'issue de notre séance matinale d'En fanfare ! Néanmoins, pour un film qui est désormais à l'affiche depuis cinq semaines, la salle du multiplexe était tout de même remplie d'une vingtaine de spectateurs, dont certains étaient visiblement émus aux larmes par la fin de ce succès populaire indéniable.
Critique Express : Robuste
Si l'on regrette le manque de rythme dont fait souvent preuve "Robuste", on ne manque pas de se féliciter d'être confronté de temps à autre à de très belles scènes de cinéma.
Critique : Nous les coyotes
Pour beaucoup, les Etats-Unis font rêver, Los Angeles fait rêver, Hollywood fait rêver. Et si, après tout, ce n'était que des miroirs aux alouettes. C'est en tout cas ce que montrent Hanna Ladoul et Marco La Via, de façon parfois comique, parfois beaucoup plus sérieuse.
Critique Express : Comment devenir riche (grâce à sa grand-mère) ?
Malgré quelques longueurs et quelques maladresses dans la conduite du récit, le côté doux-amer de son film et l'irrésistible attachement qu'on ressent pour ses 2 personnages principaux sont à mettre à l'actif de Pat Boonnitipat et lui permettent, lui qui vient de la réalisation pour la télévision, de réussir son entrée dans le cinéma.
Critique : L’Empire
Depuis Petit Quinquin, une dimension comique dans les situations se dégage du cinéma de Bruno Dumont. Cette dérision trouve un formidable terrain de jeu dans L'Empire, relecture baroque de Star Wars dans le Nord-Pas-de-Calais.