Critique : Argylle
En matière de films d'espionnage, le haut du panier est constitué soit de spectacles à l'élégance luxurieuse et à la capacité d'adaptation bluffante en fonction des époques, bref de l'univers James Bond, soit de plongées moins étincelantes dans la grisaille quotidienne d'un métier sans gloire, croisées ces dernières années chez Tomas Alfredson (La Taupe) et Steven Spielberg (Le Pont des espions).
Critique : Hit Man
Surprise à nouveau que ce “Hit Man”, à la fois comédie bête comme ses pieds mais également réflexion nietzschéenne ; film d' “arnaque” et en même temps déconstruction du film hollywoodien.
Critique : City of darkness
Je ne peux pas me contenter d'écrire que je n'y ai trouvé aucun intérêt et que je m'y suis profondément ennuyé parce que je n'y ai vu qu'une succession de bastons entre triades rivales.