Critique : Deadpool
Deadpool, est l'anti-héros le plus atypique de l'univers Marvel. A l'origine, il s'appelle Wade Wilson : un ancien militaire des Forces Spéciales devenu mercenaire. Après avoir subi une expérimentation hors norme qui va accélérer ses pouvoirs de guérison, il va devenir Deadpool. Armé de ses nouvelles capacités et d'un humour noir survolté, Deadpool va traquer l'homme qui a bien failli anéantir sa vie, le méchant Ajax.
Critique : Top Gun (ressortie 3D 2015)
Peu de films définissent autant l’état d’esprit et l’esthétique cinématographique des années 80 que Top Gun. Sorti en plein milieu d’une décennie perçue comme creuse et ringarde, cette propagande nullement voilée pour l’armée américaine cumule les aspects excessifs de l’époque sans jamais les maîtriser.
From Paris with Love
Fidèle de l’écurie de Luc Besson, Pierre Morel nous propose ici un duo décalé, à l’opposé du solitaire Bryan de son film à succès Taken.
X-Men
Quand le réalisateur d’Usual Suspects s’attaque aux super-héros, cela donne le premier film d’une longue franchise, précurseur d’un phénomène à suivre…
Critique : Kingsman – Le cercle d’or
En 2015, Kingmsan : services secrets était une très bonne surprise, qui semblait sortir d'un peu de nul part. Petit blockbuster americano-anglais, ayant coÜté "seulement" 80 millions de dollars (plus ou moins le budget d'Astérix aux J.O., chaque pays a ce qu'il mérite !), il faisait office de rafraichissement, drôle et inventif, face à une formule Marvel Studios déjà éculée, et en l'absence d'autres long-métrages ayant un budget ne dépassant pas le P.I.B. d'un petit pays. Dans les faits, Kingsman fait partie des adaptations de comics du scénariste Mark Millar, qui depuis Kick-ass négocie le droit de ses adaptations parfois même avant que l'œuvre d'origine ne soit publiée. Le film, et sa suite, ne sont pourtant pas de simples adaptations réalisées par de simples faiseurs hollywoodiens. Elles sont dirigées par Matthew Vaughn qui a pu insuffler sa maîtrise visuelle de l'action. A t-il réussi, avec cette suite, à réaliser un film tout aussi sympathique que le premier ?
Mission impossible : protocole fantôme
Après un troisième volet qui s’avérait un modèle du film d’action, ce « Protocole fantôme » porte bien son titre. La franchise « M.I » n’est plus que le spectre d’elle-même avec cet épisode qui s’étire sur deux heures et quart et s’enlise dans des poncifs éculés.
Critique : San Andreas
Si le risque sismique faisait partie des craintes raisonnables en région parisienne, particulièrement tranquille de ce point de vue-là, nous aimerions qu’un homme beau et fort comme Dwayne Johnson vienne sauver l’humanité en cas de sinistre majeur. Par défaut, nous avions l’espoir sans doute démesuré que cet acteur au charme dévastateur revigore le genre du film catastrophe, retombé dans un état moribond depuis sa brève renaissance au tournant du siècle.
Taken 2
Dans Taken, Bryan Mills, ex-agent de la CIA aux compétences si particulières, a réussi à arracher sa fille des mains d’un gang mafieux. Un an plus tard, le chef du clan réclame vengeance. Cette fois-ci, c’est après lui qu’ils en ont.
Hunger Games
Chaque année, dans les ruines de ce qui était autrefois l'Amérique du Nord, le Capitole, l'impitoyable capitale de la nation de Panem, oblige chacun de ses douze districts à envoyer un garçon et une fille - les "Tributs" - concourir aux Hunger Games. A la fois sanction contre la population pour s'être rebellée et stratégie d'intimidation de la part du gouvernement, les Hunger Games sont un événement télévisé national au cours duquel les tributs doivent s'affronter jusqu'à la mort. L'unique survivant est déclaré vainqueur.
Le Roi Scorpion
Personnage mémorable du Retour de la Momie, le Roi Scorpion s’offre moins d’un an après la sortie de ce dernier son propre long-métrage. Et s’il n’y a ni momies ni de soldats à têtes de chacal, l’aventure est tout de même au rendez-vous !
Critique : Machete Kills
Le président des Etats-Unis confie une mission suicide à Machete : sauver le pays d'un redoutable chef de cartel mexicain, qui menace d'envoyer un missile nucléaire sur le sol américain.
Critique : Ben-Hur (Timur Bekmambetov)
Chaque époque a le Ben-Hur qu’elle mérite ! Certes, l’histoire d’un prince juif qui jure vengeance pour sauver in extremis son âme grâce au message altruiste du Christ n’a nullement marqué l’Histoire, ni d’un point de vue culturel, ni en s’inscrivant d’une façon indélébile dans les annales du cinéma.