L’actualité DVD – bluray de novembre 2015
Retrouvez ici les tests des principaux DVD et bluray sortis en novembre 2015 de nos rédacteurs Mickael Lanoye et Jean-Jacques Corrio, avec notamment les...
Test Blu-ray : Flash – Saison 1
Conçue pour élargir à l’écran l’univers DC Comics de la même manière que le fait Marvel depuis quelques années au cinéma et à la télévision, cette nouvelle série développée par Greg Berlanti et Geoff Johns (deux transfuges de Arrow) avec l’aide d’Andrew Kreisberg (habitué des dessins animés de chez Warner Premiere) s’adresse donc fort logiquement à un public adolescent,
Test Blu-ray : Space dandy – Saison 2
Difficile de décrire exactement les émotions ressenties par le spectateur qui se lance dans l’aventure Space dandy. Conçue comme un terrain d’expérimentations formelles et narratives complètement fou et décomplexé, la nouvelle série créée par Shinichiro Watanabe déroute et amuse, imposant son rythme soutenu, son humour très particulier et ses épisodes presque tous plus barrés les uns que les autres. Mélangeant des concepts de science-fiction
Test DVD : Curve
Mis en scène avec efficacité et même avec une certaine classe, le nouveau film de Iain Softley ne parviendra cela dit malheureusement pas à marquer les esprits de la même façon que son film d'horreur précédent. A sa décharge, Curve ne bénéficie pas de l'atout majeur de
Test DVD : Teach Me Love
Commençant en comédie romantique n'hésitant pas à faire de temps en temps quelques pas dans la comédie un peu lourdingue, "Teach Me Love" prend petit à petit de l'épaisseur et arrive même à procurer de l'émotion sans pour autant glisser dans le pathos.
Test Blu-ray : Le feu follet
En 1963, Louis Malle signe avec Le feu follet ce qui restera probablement son film le plus noir et le plus mortifère ; à travers les errances sans fin de son personnage principal suicidaire en pleine dépression (formidable Maurice Ronet), recherche la rencontre avec la mort, seule chose qu'il semble encore désirer. Comme incapable de sentiments, Ronet se heurte à plusieurs obstacles dans la vie comme dans le film, qui l'empêchent de communiquer et d'aimer
Test Blu-ray : Ascenseur pour l’échafaud
Avec son introduction qui pourrait faire office de leçon de cinéma (les vingt premières minutes, limpides, présentent tous les personnages avec maestria, imposant avec pourtant peu de dialogues deux personnages féminins inoubliables), ses formidables inventions graphiques (l'interrogatoire plongé dans le noir, la descente de l'ascenseur), ses pointes d'humour irrésistibles
Test DVD : Histoire de Judas
De ce film, austère et beau et dont l'action se déroule il y a 20 siècles, on retiendra deux plaidoyers très contemporains : le premier concerne tous les animaux et pas seulement les hommes et les femmes,« aucun être vivant ne mérite d'être mis en cage, pas même les poules », l'autre le danger que représente une lecture au premier degré de textes religieux écrits il y a de nombreux siècles, dans un contexte totalement différent.
Test DVD : La poudre à prout du Pr. Séraphin
Malgré leur incontestable universalité, et le fait qu'ils touchent toutes les classes et catégories sociales dans tous les pays du monde, les pets, prouts ou autres flatulences sont très rarement exploités au cinéma. Certes, chacun se souviendra à coup sûr de quelques gags marquants ayant tiré sur le filon anal dans différentes œuvres
Test Blu-ray : Dangerous people
Co-production internationale, réalisée par un danois au Royaume-Uni avec des acteurs américains et français, Dangerous people fait partie de ces films dont le titre original anglais a été traduit, pour sa sortie en France, par un autre titre anglais.
Test Blu-ray : Les envoûtés
Quand Les envoûtés arrive sur les écrans français fin 1987 (il s'appelait alors tout simplement Envoûtés, le déterminant étant arrivé avec la vidéo), beaucoup voient dans ce nouveau film de John Schlesinger une démarcation fantastique de son Marathon Man, sorti un peu plus de dix ans auparavant.
Test DVD : Black sea
Documentariste de formation, Kevin MacDonald semble vaguement gêné aux entournures quand il aborde par le biais de la fiction des sujets « importants », richement documentés. Dans ces cas là, son cinéma se met à crouler sous les informations véridiques qui le dépassent un peu, et en devient un peu lourd et démonstratif. De fait, le cinéaste au nom de fast-food n'est jamais meilleur au cinéma que quand il s'exprime par le prisme de la fiction pure et du divertissement