Test DVD : Qui a tué le chat ?
Réalisé par Gillian Greene, c'est à dire par la femme de Sam Raimi qui officie d'ailleurs en tant que producteur sur le film, Qui a tué le chat ? était, sur le papier, un pitch alléchant, laissant présager un très bon moment pour le spectateur. Étant donné qu'il met en scène un « geek » vivant chez sa mère, cloitré en robe de chambre devant sa TV se mettant en tête
Test DVD : Notre petite sœur
"Notre petite sœur", qui fait parfois penser à Yasujirō Ozu, peut être considéré comme un sommet dans l'œuvre de Hirokazu Koreeda.
Test DVD : Code Lisa – Saison 2
On l’a dit et on le répète, l’immense réussite de Code Lisa (probablement la série comique la plus énorme des années 90) est à mettre au crédit non pas de John Hughes et de son (mauvais) film de 1985, mais bel et bien à celui de Robert K. Weiss...
Test Blu-ray : Justin de Marseille
Film méconnu de Maurice Tourneur, Justin de Marseille s’approprie un genre généralement assez peu abordé par le cinéma français : le film de gangsters. A la façon des « grands » films américains des années 30 narrant la vie et l’œuvre de personnalités du crime emblématiques (Scarface, Little Ceasar, L’ennemi public…), le film de Tourneur met en scène une figure majeure du crime à Marseille, un gangster finalement sympathique puisqu’il s’agit d’un truand au grand cœur, qui protège les dames des macs indélicats entre deux bouillabaisses sur le vieux port.
Test Blu-ray : Le garçon et la bête
Quelques années après Ame et Yuki – Les enfants loups, voici donc le nouveau –et très attendu– film de Mamoru Hosoda. On y retrouvera naturellement l’esthétique sublime et les thèmes chers au cinéaste (filiation, sauvagerie, éducation) : très influencé par les mythes et légendes du folklore japonais (les kami, yokaï et autres animaux surnaturels),
Test Blu-ray : Au-delà des montagnes
On se demande comment ce film, qui faisait partie de la sélection 2015 du Festival de Cannes et dont les qualités sont évidentes, a pu repartir bredouille.
Test Blu-ray : Atlantic City
Atlantic City est un bien étrange film. Sous couvert de polar d’apparence très traditionnel, il s’agit surtout pour Louis Malle d’une occasion de se frotter au genre pour en briser les mythes, par l’intermédiaire d’un personnage pitoyable de petit gangster vieillissant, qui agira pendant tout le film comme un pauvre type, veule et lâche, sans gloire ni éclat. Une façon habile pour le cinéaste français de remettre à leur place les « valeurs » des truands
Test Blu-ray : Black moon
Grand amateur de Ionesco et du théâtre de l’Absurde, Louis Malle s’est lancé au milieu des années 70, avec l’aide de Joyce Buñuel, belle fille du légendaire Luis Buñuel, dans l’aventure Black moon, bizarrerie poétique et surréaliste, évoquant forcément un peu, à cause de son étrangeté de tous les instants et de son héroïne blonde et candide, le chef d’œuvre de Lewis Carroll
Test Blu-ray : Les amants
Lauréat du Prix du Jury lors du Festival de Venise en 1958, Les amants fait aujourd’hui figure de curiosité : ce film pour « grandes personnes », interdit aux moins de 16 ans à l’époque de sa sortie, est surtout connu aujourd’hui comme le premier film français à comporter une scène d’amour… Ce qui, plus d’une décennie avant la grande libération des mœurs en 1968, sonnait comme une véritable révolution.
Test Blu-ray : Trois classiques de Julien Duvivier
Quelques mois après une ressortie dans les salles ayant fait grand bruit dans le cœur de tous les cinéphiles, trois films importants de la carrière de Julien Duvivier, à savoir La belle équipe, La fin du jour et Voici le temps des assassins arrivent le 1er juin dans de superbes combos DVD / Blu-ray sous les couleurs de Pathé
[Sorties DVD / Blu-ray] Du lourd d’ici la fin de l’année !
Re-animator, Re-Animator II, Les banlieusards, Parker Lewis et 4 films de Van Damme : un deuxième semestre sous le signe de la re-découverte de pépites oubliées...
Test Blu-ray : Creed – L’héritage de Rocky Balboa
Creed s’avère être tout simplement le meilleur épisode de la saga, incontestablement plus profond et touchant que les précédents films. Ryan Coogler nous transporte de combats en combats jusqu’à un final séduisant, que l’on peut voir comme un subtil adieu mélancolique…