Test Blu-ray : Le musée des merveilles

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Le musée des merveilles est adapté d’un livre de Brian Selznick, qui signe d’ailleurs le scénario pour la mise à l’écran. Auteur de Hugo Cabret, adapté il y a quelques années par Martin Scorsese, l’auteur se met encore à hauteur d’enfants. Todd Haynes, dont le Carol était en compétition il y a deux ans, se charge de transposer en images un récit qui avait la particularité d’être en écrit en prose pour une certaine époque (la fin des années 1970) et d’être dessiné pour une autre (la fin des années 1920).

Test DVD : La jeune fille et la brume

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Tendu, intense et volontiers glauque, La jeune fille et la brume fait partie de ces polars dont l'influence majeure est ouvertement « littéraire » : le film d'Andrés M. Koppel prend en effet le temps d'installer une série de personnages à la psychologie fouillée se débattant autant -si ce n'est plus- avec leurs propres démons qu'avec les arcanes d'un crime sordide resté impuni depuis de nombreuses années, et dont les tenants et les aboutissants impliquent des protagonistes affichant des personnalités aux multiples (et sombres) facettes.

Test Blu-ray : Justice League

Un peu à la traine dans le développement au cinéma et à la télévision de son « univers étendu », DC Comics semble aujourd’hui rencontrer toutes les peines du monde afin de proposer une alternative à la domination de Marvel sur le petit monde du divertissement familial.

Test Blu-ray : Les ruelles du malheur

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Sur le papier, et avec soixante-dix ans de recul temporel, on ne pouvait que s’enthousiasmer devant le générique artistique des Ruelles du malheur, qui marquait, en 1949, la rencontre entre deux « monstres sacrés » du Cinéma Hollywoodien : Nicholas Ray et Humphrey Bogart. Le réalisateur de Johnny Guitar et de La fureur de vivre rencontrait donc l’interprète mythique du Faucon maltais et de Casablanca : de quoi enflammer l’imagination de tous les cinéphiles ! A la découverte du fruit de leur collaboration cependant, on ne pourra que se rendre à l’évidence : l’attente générée par le film, se créant presque « malgré lui » dans l’esprit du cinéphile, se place automatiquement à un niveau irrémédiablement trop élevé, au point que l’on en finisse par se remémorer cette fameuse expression mettant en scène de façon imagée, une montagne et une souris.

Test Blu-ray : Guilt – Saison 1

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Si le cinéma est un Art « sexué » dans le sens où certains films s’adressent, depuis toujours, à un public « cible » plutôt masculin ou féminin, cette division se retrouve de façon encore un peu plus spectaculaire dans le petit monde de la série TV, certains shows s’adressant à une cible représentée par la fameuse « ménagère de moins de 50 ans » (rebaptisée en « responsable des achats » pour être un peu plus politiquement correct), voire à un public de jeunes filles –ados, pré-ados– et excluant clairement le public masculin par leurs thématiques et le traitement général de leurs intrigues. Les exemples sont très nombreux : on pense forcément à des séries telles que Grey’s anatomy, Revenge, Vampire diaries, Pretty little liars…

Test Blu-ray : Phoenix forgotten

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Produit par Wes Ball et co-écrit par T.S. Newlin, le duo réalisateur / scénariste se cachant derrière la réussite de la trilogie Le labyrinthe, Phoenix forgotten impressionne surtout par son impressionnante rigueur technique. Bénéficiant également par sa production de l’expérience et du soin du détail de Ridley Scott (via Scott Free), ce found footage se révèle en effet crédible sur toute la ligne : alternant les passages tournés en caméra numérique ultra moderne et les nombreuses séquences tournées à l’aide de DV et autres camescopes des années 90, le film de Justin Barber ne cherche jamais à épater la galerie avec de « jolis » plans, et garde au cœur de son récit une notion de crédibilité vraiment saisissante, refusant le crescendo dans le grand spectacle habituellement de mise dans ce genre de spectacle.

Test DVD : Happy Birthdead

Happy Birthdead s’impose avec un concept fort, mélangeant le slasher à une notion très « science-fiction » de boucle temporelle, l’héroïne du film se voyant contrainte de revivre sans cesse le jour de sa mort.

Test DVD : Un chat pour la vie

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Derrière Un chat pour la vie se cache le nom de Roger Spottiswoode : un cinéaste que l'on ne s'attendait pas forcément à voir débarquer aux commandes d'un film adapté d'une histoire vraie, dans le sens où pour la plupart des cinéphiles, le nom de Roger Spottiswoode est automatiquement associé à une certaine idée, populaire et généreuse, du cinéma d’action. S’étant fait connaître avec le scénario de 48 heures de Walter Hill, il reviendrait en effet tout au long de ses presque quarante ans de carrière régulièrement aux blockbusters orientés « action familiale », avec des films tels que Turner et Hooch (1990), Arrête ou ma mère va tirer (1992) ou, plus récemment, avec Demain ne meurt jamais (1997) et A l’aube du sixième jour (2000). A partir des années 2000, Roger Spottiswoode se ferait un peu plus rare derrière la caméra, ne retrouvant le chemin des studios qu’en de rares occasions. En 2016 néanmoins, il trouverait la motivation nécessaire afin de mettre en images une histoire vraie : celle des liens tissés entre un ex-toxicomane et son chat, sur laquelle de James Bowen est revenu dans une série de bouquins (les deux premiers d'entre eux, Un chat des rues nommé Bob et Le monde selon Bob, sont d'ailleurs disponibles en France).

Test DVD : L’homme à l’affût

Puissant, immersif, vénéneux, L’homme à l’affût surprendra à coup sûr plus d’un spectateur par la modernité déployée par Edward Dmytryk afin de donner vie à son psychopathe luttant contre ses propres pulsions. Incroyablement malsain pour l’époque (1952), le film suit littéralement le personnage principal au plus près de sa psyché dérangée, au plus près de ses doutes, de sa tension, de sa fièvre meurtrière. D’une façon très étonnante, L’homme à l’affût préfigure ainsi par son ambiance morbide plusieurs films qui marqueront fortement le spectateur dans les 20 / 30 ans qui suivraient. On pense par exemple non seulement à des films tels que L’inspecteur Harry (Don Siegel, 1971) – difficile de ne pas se remémorer la scène d’ouverture du film de Don Siegel quand le héros de Dmytryk suit, depuis le viseur de son fusil à lunette, la future victime innocente à qui il va coller, le plus arbitrairement du monde, une balle dans la tête – mais également quelques grands « psycho-killers » des années 80, comme les très immersifs et malsains Maniac (William Lustig, 1980), Cauchemars à Daytona Beach (Romano Scavolini, 1981) ou Henry, portrait d’un tueur en série (John McNaughton, 1986).

Livre : Christopher Nolan, la possibilité d’un monde

Titre : Christopher Nolan, la possibilité d'un monde Auteur : Timothée Gérardin Editeur : Playlist Society Date de publication : 13 mars 2017 Nombre de pages : 128 Format...

Test DVD : Woody Woodpecker

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Au cœur de l’industrie cinématographique contemporaine, certains réalisateurs sont parvenus à se créer de véritables noms en ne signant pourtant que des œuvres destinées au marché de la vidéo : les fameux « DTV » ou Direct-To-Video qui ont fait les grandes heures des vidéo-clubs en leur temps, et que les gens s’arrachent de nos jours en Blu-ray, DVD ou VOD. On pense par exemple à des cinéastes tels que Isaac Florentine ou Roel Reiné dans le domaine du film d’action, ou à des réalisateurs tels que Ti West, Jim Mickle ou encore Rob Zombie, dont le gros de l’œuvre n’a jamais connu non plus le frisson des salles obscures…

Test Blu-ray : En marge de l’enquête

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Si par essence, le genre du Film Noir pourra volontiers être considéré comme déjà très enclin à la misogynie d’une façon générale, certains films s’illustrant dans le genre s’affirmeront tout particulièrement comme de vibrants plaidoyers machistes qui auraient de quoi, avec le recul, faire s’arracher les cheveux à tou(te)s les féministes. Sorti sur les écrans en 1947, En marge de l’enquête fait partie de cette poignée de films proposant une « réflexion » sur la place de la femme dans la société qui pousse tellement le bouchon au niveau de la provocation que l’on en viendrait presque à douter de son sérieux. Pourtant, le film de John Cromwell, écrit par Oliver H.P. Garrett et Steve Fisher, ne quitte jamais les rails du premier degré et, encore pire, donne finalement dans le déroulement de son intrigue tout à fait raison au personnage d’Humphrey Bogart, qui s’avérait être le protagoniste ayant proféré tout au long du film une longue série d’énormités concernant l’abjection et la perfidie intrinsèques à la nature profonde de la « Femme ».

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Test Blu-ray 4K Ultra HD : 1984

Écrivain engagé et témoin de son époque, George Orwell a principalement marqué les mémoires grâce à deux œuvres : « La Ferme des animaux » et « 1984 », roman dans lequel il créait le concept de « Big Brother », depuis passé dans le langage courant.

Les sorties du 8 janvier 2025

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Test Blu-ray 4K Ultra HD : I Spit on Your Grave – Édition Limitée...

Sorti en France en 1981 sous le titre Œil pour œil, ainsi qu'en Belgique sous le titre La Vengeance de la femme violée, le film de Meir Zarchi s'est surtout fait connaître par la suite sous les titres anglais I Spit on Your Grave et Day of the Woman.