Test Blu-ray : Dragon Ball Super – Broly
Vingtième film d'animation à évoluer dans l'univers du manga Dragon Ball, créé en 1984 par Akira Toriyama, Dragon Ball Super : Broly s’est imposé, d’une façon finalement assez étonnante, comme un véritable événement cinématographique à travers le monde entier. Avec plus de 820.000 entrées en seulement trois jours d’exploitation au Japon (et un milliard de yen de recettes), le film a littéralement cassé la baraque, et s’est peu à peu forgé une excellente réputation dans le reste du monde, affichant notamment actuellement une note moyenne de 8/10 sur le site de référence IMDb, calculée sur les votes de plus de 17.000 cinéphiles. Il faut dire aussi qu’en l’espace de 35 ans, les multiples mangas et séries Dragon Ball nés de l’imagination d’Akira Toriyama ont eu le temps de faire leur trou, au point de devenir une référence culturelle aussi majeure qu’incontournable.
Test Blu-ray : Miss
Miss n’est pas réellement une comédie au sens propre du terme. Ou du moins pas seulement. A l’image de son personnage principal, brillamment interprété par Alexandre Wetter, le film de Ruben Alves refuse tout étiquette, et évite d’évoluer dans une « case » précise et définie…
Test Blu-ray : The endless
Écrit, réalisé et interprété par Aaron Moorhead et Justin Benson, The Endless est un film fantastique / science-fiction indépendant, proposant de plonger le spectateur au cœur d’un univers étrange, peuplé de séquences oniriques, décalées ou franchement irrationnelles.
Test Blu-ray : Breathe
En 2019, le scénario de Breathe signé Doug Simon figurait déjà sur la prestigieuse « Black List » Hollywoodienne, recensant les meilleurs scénarios n’ayant pas encore été produits. Cinq ans plus tard, il débarque en Blu-ray chez M6 Vidéo.
Test Blu-ray : L’emmurée vivante
L'emmurée vivante, c'est le chef d’œuvre absolu de Lucio Fulci. On peut pas faire mieux, il n'y a rien à redire. Point. Bonne nouvelle : il vient de ressortir en Blu-ray chez Le chat qui fume.
Test Blu-ray : Marie Stuart, reine d’Écosse
A en lire certaines critiques ailleurs sur le Net, on en viendrait parfois à se demander si certains confrères n'ont pas tendance à confondre une œuvre de cinéma, qui plus est Hollywoodienne – dont l'objectif premier est le divertissement – et un manuel scolaire d'histoire, à visée évidemment pédagogique. Ainsi, on aurait envie de leur expliquer que la vocation première de Marie Stuart, reine d’Écosse n’est certainement pas de dresser un tableau historique, économique et politique fidèle et rigoureux de l’Europe du XVIème siècle.
Test Blu-ray : Jurassic World – Le monde d’après
Après presque trente ans d’existence, la franchise Jurassic Park ne montre pas réellement de signes de faiblesse au box-office : Jurassic World : Le monde d’après a flirté de près avec le milliard de dollars de recettes...
Test Blu-ray : Licorice Pizza
Petit chef d’œuvre de sensibilité, de romance et d’humour, Licorice Pizza marque le grand retour aux affaires de Paul Thomas Anderson. Fascinant de la première à la dernière image, le film a pour toile de fond la vallée de San Fernando, au début des 70s.
Test Blu-ray : Summertime
Faisant se croiser un peu plus de 25 jeunes gens à l’écran, Summertime ne suit pas de réelle intrigue : nous passons d’un groupe de personnages à un autre, sans évolution narrative, restant pendant trois à cinq minutes aux côtés de chaque personnage.
Test Blu-ray : Watch out
Venu de nulle part, Watch out est une excellente surprise de DTV dont la nature curieuse nous impose le silence le plus total. Il s'agit en effet d'un film dont le scénario nous réserve, à la façon d'un film tel que Usual suspects par exemple, un retournement de situation ou « twist » tellement inattendu qu'il vaut probablement, à lui-seul, le coup de découvrir le film. Aussi nous faudra-t-il tenir notre langue afin de ne pas vous dévoiler le pot aux roses.
Test Blu-ray : Une hache pour la lune de miel
On l’a déjà évoqué à l’occasion de notre test Blu-ray de La baie sanglante : si Mario Bava peut – et doit – être considéré comme un des pères fondateurs du giallo, l’explosion populaire du genre semble l’avoir laissé de marbre, à tel point qu’avec ses films du début des années 70, il semblait plutôt volontiers s’amuser à prendre le contre-pied du genre, à en contourner les codes afin de ne point se laisser influencer par la « mode » du moment et, surtout, de surprendre le public. Ainsi, si le giallo était le plus souvent conçu sur le modèle du whodunit, avec un tueur dont l’identité ne serait révélée qu’à la toute fin de l’intrigue, Une hache pour la lune de miel s’ouvre au contraire sur un double meurtre perpétré par le héros du film (Stephen Forsyth), et Bava ne fera pas le moindre mystère sur le fait qu’il soit effectivement coupable, puisque ce dernier confessera ses crimes ainsi que d’autres dès la séquence suivante… L’ambiguïté n’est de fait absolument pas permise, le personnage évoquant avec un grande lucidité ses difficultés à refréner ses pulsions meurtrières, qui semblent intrinsèquement liées à un vêtement bien particulier : la robe de mariée. Et si on considère que le tueur tient une « maison de couture » spécialisée dans les robes de mariées, sa psychose ne semble pas là de s’arranger.
Test DVD : Les mutinés du Téméraire
Doit on parler de coïncidence ou bien y a-t-il une bonne explication ? Toujours est-il que, la même année, en 1962, le cinéma de langue anglaise a sorti 3 films d'aventure dont l'action se déroule à la fin du 18ème siècle sur des navires de guerre britanniques