Test Blu-ray : Unfriended – Dark web
Unfriended : Dark web, suite écrite et réalisée par Steven Susco, utilise le même dispositif statique que le film de 2015, mais on admettra sans peine que cette suite va plus loin que son modèle.
Test Blu-ray : Ton heure a sonné
Avec son personnage principal en quête de vengeance, pour qui seules de sanglantes représailles permettront de retrouver enfin la paix, Ton heure a sonné semble, avec le recul, avoir permis à Randolph Scott de créer un nouvel « archétype » au sein du western : celui d’un personnage âpre, taciturne et impitoyable, uniquement mû par le désir d’appliquer la loi du talion, et n’hésitant pas à traquer son ennemi à travers l’Ouest tout entier. Ce personnage-là deviendra d’ailleurs par la suite un véritable cliché, non seulement au cœur de la carrière de Scott, mais également dans le western dans sa totalité.
Test Blu-ray : La vallée maudite
Comme beaucoup de films mettant en scène Randolph Scott, acteur ayant voué l’essentiel de sa carrière au western, La vallée maudite fait partie de ces petits films de cowboys imparfaits mais attachants, de ces solides représentants du « petit » western, désuet et plein de charme, que les afficionados du genre se régalent à voir et à revoir malgré le temps qui passe. Tourné en couleurs selon le procédé du Cinecolor, le film de George Waggner multiplie les jolies séquences et les bonnes idées, mais manque malheureusement toujours un peu de l’étincelle de folie et du dynamisme qui auraient été nécessaires pour que ce dernier atteigne le statut de véritable réussite.
Test Blu-ray : L’équipage
L’équipage (1935), réalisé par le russe Anatole Litvak, nous propose de voir des avions, mais de guerre cette fois, au cœur d’une reconstitution extrêmement soignée de la Première Guerre Mondiale sur fond de mélo plus ou moins sirupeux.
Test Blu-ray : Les animaux fantastiques – Les crimes de Grindelwald
Longtemps avant l’arrivée de Harry Potter à Poudlard, les magiciens vivaient déjà parmi nous, à commencer par Norbert Dragonneau, défenseur de créatures mal aimées et marginal au sein de sa communauté.
Test Blu-ray : Miraï ma petite soeur
En l’espace de quelques années, le japonais Mamoru Hosoda est devenu une référence incontournable dans le domaine de l’animation internationale, au point même que ses films sont de nos jours très attendus par les cinéphiles.
Test Blu-ray : Le retour de Mary Poppins
Plus de cinquante ans après ses premières aventures, la nounou la plus célèbre du monde revient sous les traits d’Emily Blunt dans Le retour de Mary Poppins, pour de nouvelles aventures trépidantes en chansons et en danses !
Test Blu-ray : Paris au mois d’août
Paris au mois d’Août emporte le spectateur dans une espèce de tourbillon de sentiments au cœur d’une suite de moments volés dont la modernité n’aura de cesse de nous surprendre...
Test DVD : Une affaire de famille
Un conte doux-amer, où ni les enfants, ni les adultes n’ont le droit de cultiver outre mesure leurs aspirations à un peu de bonheur.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Alien
Il existe une poignée de films au sujet desquels on rencontre une espèce de consensus critique, et que tout le monde considère comme des chefs d’œuvres absolus. Alien – Le huitième passager fait partie de ces longs-métrages touchés par la grâce.
Test Blu-ray : High life
Claire Denis et le cinéma de genre, c’est une longue histoire, entamée il y a bien des années – en 2001 pour être précis – avec le film de vampires Trouble every day. Cette première expérience dans les eaux très codifiées du cinéma horrifique n'avait d'ailleurs pas forcément fait l'unanimité au sein de la communauté des amateurs de fantastique : on se souvient par exemple des propos de Lloyd Kaufman, président de Troma, qui avait quitté la projection cannoise du film au bout de 30 minutes en déclarant « It was unbelievably boring, you can’t imagine how boring this movie was. This movie sucks… ».
Test Blu-ray : Sale temps à l’hôtel El Royale
La jaquette du Blu-ray de Sale temps à l’hôtel El Royale affiche, sans complexe, un néologisme imaginé par nos confrères des Fiches du cinéma : le film de Drew Goddard y est en effet qualifié de « Tarantinesque ». Donc, bien entendu, sous perfusion du style développé depuis des années maintenant par Quentin Tarantino. Il est vrai que le script de Drew Goddard a des airs de « petit malin », et multiplie les similitudes avec le cinéma du papa de Pulp fiction : découpage en chapitres, récit organisé autour de plusieurs personnages d’égale importance, tunnels de dialogues décontractés, soudains éclairs de violence, narration allant et venant d’avant en arrière pour coller au point de vue de tel ou tel personnage, attachement à la Motown et plus globalement à la soul music des années 50/60…