Test DVD : L’ange noir
Sorti à l'été 1946, L'ange noir est un des derniers films de Roy William Neill, disparu en décembre de la même année. Si son rayonnement auprès des cinéphiles n'est décidément plus ce qu'il était (il est en effet surtout connu pour avoir réalisé une longue série de Sherlock Holmes avec Basil Rathbone), la ressortie de L'ange noir en DVD remet un petit coup de projecteur sur sa (prolifique) carrière, tout autant qu'un petit coup de polish à sa renommée.
Test DVD : Histoires fantastiques – L’intégrale
D’Histoires fantastiques, le public français connaît principalement trois épisodes, qui s’étaient vus compilés sous la forme d’un film à sketches sorti en salles en 1987 : Papa momie, La mascotte et La mauvaise tête.
Test Blu-ray : Une messe pour Dracula
Commençant pile poil là où s’arrêtait Dracula et les femmes, le film de Peter Sasdy Une messe pour Dracula s’avère contre toute attente extrêmement différent de son prédécesseur, pourtant tourné seulement un an plus tôt. D’une esthétique gothique sophistiquée, on passera ici à une ambiance et un style baroque décomplexé, à tendance vaguement foutraque. On n’hésitera pas non plus à se vautrer dans les excès en tous genres
Test Blu-ray : L’attaque des titans – Intégrale Saison 1
Succès monstre au Japon, ayant provoqué un véritable raz-de-marée des ventes et tenant quasiment du phénomène de société, le manga L’attaque des titans créée en 2009 par Hajime Isayama s'est rapidement vu adapté pour le petit, puis pour le grand écran. Se déroulant dans un univers post-apocalyptique dans lequel les humains sont retranchés au cœur d'une ville-forteresse afin de résister aux attaques des « Titans », gigantesques et terrifiantes créatures qui dévorent les hommes, la première saison de la série suit, comme le manga, le parcours du jeune et déterminé Eren Jäger et de sa sœur adoptive Mikasa au sein d'une armée censée combattre les monstres et protéger l'humanité.
Test DVD : L’affaire Dominici
Grand artisan du cinéma populaire français, Claude Bernard-Aubert, également connu sous le nom de Burd Tranbaree entre 1976 et 1983, était un adepte de la frontalité, d’un cinéma net et direct, ne s’embarrassant pas de précautions intellectuelles et ne tournant pas autour du pot… comme le sous-entend clairement sa carrière de quelques années dans le cinéma X, qui ont par ailleurs ruiné sa carrière dans le cinéma traditionnel.
Test Blu-ray : Astérix – Le domaine des Dieux
Avec Astérix – Le domaine des Dieux, Louis Clichy et Alexandre Astier(ix) nous livrent une brillante adaptation des aventures de nos irréductibles gaulois, portée par l'humour et la patte du créateur de Kaamelott. Avec un respect total pour l'œuvre de René Goscinny et Albert Uderzo
Test DVD : The duel
Depuis un peu plus de vingt ans et la révélation de son charisme animal dans Tueurs nés (Oliver Stone, 1994), Woody Harrelson s’est spécialisé dans les rôles troubles, propres à mettre en avant ses allures de fauve imprévisible et dangereux. De Bienvenue à Zombieland (Ruben Fleischer, 2009) à Rampart (Oren Moverman, 2011) en passant par sa prestation très remarquée dans la série True detective (2014), on ne compte en effet plus ses compositions de psychopathes et autres inadaptés sociaux, ne parvenant à s’exprimer que dans la violence. Souvent à la limite du cabotinage, mais toujours réellement impressionnant et charismatique, l’acteur porte parfois littéralement les films dans lesquels il joue sur ses épaules, la fièvre de son interprétation emportant tout sur son passage.
Test DVD : Bandits, bandits
Mettant en scène un groupe de nains voyageant d’époque en époque pour piller les richesses des grands moments de l’Histoire, le film fait en effet montre d’un mauvais esprit revigorant, proposant des idées sombres et brillantes, parfois presque abstraites, et de mémorables séquences décalées et/ou effrayantes qu’aucun producteur...
Test Blu-ray : Intruders (2015)
A ne pas confondre avec le film d’horreur mettant en scène Clive Owen, Intruders est un thriller « à twist » sur fond de home invasion. Huis clos intéressant, dans la bonne moyenne du DTV à tendance horrifique, ce premier film d’Adam Schindler (aucun lien avec les ascenseurs, ni avec la « liste » du même nom)
Test Blu-ray : Crazy day
Si certains cinéastes parviennent, dès leur premier film, à livrer une œuvre aboutie et imparable, force est de constater que d'une façon générale, les jeunes réalisateurs livrent avec leur premier long-métrage ce qui apparaîtra avec le recul, au mieux, comme un brouillon de leur œuvre future, contenant à l'état embryonnaire les bases de ce qui fera les bases de leur filmographie à venir. Autrement dit : on ne peut être pas toujours au top – et cette assertion conviendra parfaitement à un premier comme à un dernier film, en passant bien sûr par le film du milieu et les intermédiaires.
Test Blu-ray : 3 films de Jess Franco chez Artus Films
Avec 60 ans de carrière et plus de 200 films répertoriés sur le site de référence IMDb, Jess Franco est un des artisans du « bis » les plus prolifiques des années 60/70. Régulièrement traitée avec la condescendance traditionnellement réservée au cinéma d’exploitation de l’époque, la filmographie de Jess Franco contient pourtant une véritable série de petits chefs d’œuvres, qui transcendent littéralement la notion de cinéma « bis ». Les éditeurs vidéo semblent d’ailleurs en être parfaitement conscients : comme pour fêter les cinq ans de la disparition du cinéaste, 2018 sera l’année Franco ! Après la sortie au mois d’avril chez Gaumont des Blu-ray de Cartes sur tables et du Diabolique docteur Z et Cartes sur table, le cinéaste est désormais à l’honneur chez Artus Films, avec la sortie début juin de La fille de Dracula (1972), Les démons (1973) et Les expériences érotiques de Frankenstein (1973), également en Haute Définition. Et en juillet, ce sera au tour du Journal intime d'une nymphomane (1973) et des Possédées du diable (1974) de débarquer dans de superbes éditions Blu-ray sous les couleurs du Chat qui fume…
Test Blu-ray : Bohemian Rhapsody
On retrouve dans Bohemian Rhapsody les tics physiques du chanteur, mais l’intériorité de cet homme complexe, tiraillé entre son amour pour Mary Austin et son homosexualité, nous échappe. Le rôle central de ses partenaires dans sa réussite n’est pas oublié, une initiative surprenante. La performance de Queen lors du concert caritatif Live Aid