Restless

Test DVD : Restless

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Gus van Sant retrouve deux thèmes qui lui sont chers : l’adolescence et la mort. Restless est donc la vision du cinéaste d’une adolescence sombre empreinte de mélancolie. En comparaison à Elephant ou Paranoid Park, il s'agit du film sur ce thème le plus faible du réalisateur. Difficile d'être emporté par la romance que l’on découvre un peu trop plate et souffrant de nombreux temps morts. On attendait plus de la part de ce réalisateur atypique.
Hommage à Whitney Houston : Les films où elle a joué

Hommage à Whitney Houston : Les films dans lesquels elle a joué

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A la veille des Grammy awards, une star planétaire s’est éteinte. Whitney Houston fut l’une des divas de la soul les plus talentueuses. Possédant...
Deep End photo du film

Deep End

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Un jeune garçon trouve un job dans une piscine et tombe amoureux de sa collègue, laquelle se livre à des arrondissements de fin de mois peu avouables avec la mâle clientèle… Considéré comme un des sommets de l’art de Jerzy Skolimovski, ce chant d’amour désespéré ponctué d’un déterminisme tragique par petite touches pointillistes tout au long du film, est enfin en dvd. Une œuvre film majeure, dérangeante, déroutante mais à l’indéniable beauté plastique. A voir mais surtout à revoir. Et à écouter grâce à la musique de Cat Stevens qui colle magnifiquement à l’ambiance seventies du sujet.
Omar m'a tuer de Roschdy Zem l'affiche

Omar m’a tuer

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C’est un peu l’affaire Renucci des années post abolition de la peine de mort. Omar Raddad est accusé de meurtre alors que tout semble concourir vers son innocence. Roschdy Zem, pour son deuxième film de cinéaste, rouvre le dossier et livre un film de belle facture, d’une grande dignité et offre à Sami Bouajila un de ses meilleurs rôles. Sans misérabilisme et avec une certaine objectivité, il donne à réfléchir sur la fragilité d’un système judiciaire qui se grippe tout seul et finit par s’acharner sur un individu.
La Femme aux 5 éléphants photo

La Femme aux 5 éléphants

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Après une vie bousculée par l’Histoire et transportée par la littérature, Sweltana Geier s’attelle depuis 1992 à la traduction des cinq œuvres de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski : Crime et Châtiment, L'Idiot, Les Démons, L'adolescent et Les Frères Karamazov. Ces 5 éléphants l’accompagnent tout au long de ce récit qui dessine les traits de sa mémoire. Un voyage dans le texte et les mots qui nous apprend que la traduction doit atteindre au cœur de l’œuvre le souffle de son inspiration.
Les Chaussons rouges photo HD

Les Chaussons rouges

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Vicky, danseuse, et Julian, compositeur, sont engagés dans une troupe de ballet. Tyrannique, le directeur pousse Vicky à s'identifier à l'héroïne du ballet "Les Chaussons rouges". Elle y sacrifie tout, même son amour pour Julien.

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Les sorties du 16 avril 2025

En cette semaine de festivités pascales, les sorties d'envergure se font rares. Certes, côté américain, nous avons droit à la cinquième collaboration de suite entre le réalisateur Ryan Coogler et l'acteur Michael B. Jordan. Cette fois-ci, ce sera en mode vampires dans un film de gangsters à l'ancienne.

Critique Express : Familia

"Familia" apporte une nouvelle preuve que le cinéma italien est loin d'être mort et on s'en félicite !

Critique : Le Mélange des genres

Ces dernières années, les hommes ont eu la vie plus difficile que d'habitude. Grâce à la parole des femmes qui s'est libérée tant soit peu dans le sillage du mouvement #MeToo, les propos et les comportements les plus abjects du passé de la part des hommes n'ont plus droit de cité dans l'espace public vaguement plus éclairé.

Critique : Le Routard

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Pour quiconque rêve seulement d'un grand voyage à travers le monde ou qui se met d'ores et déjà à sérieusement y réfléchir, le Guide du routard est une véritable référence. Depuis un demi-siècle, ses auteurs sillonnent les continents, afin de fournir aux aventuriers dans l'âme des informations exclusives et vérifiées sur place.

Critique Express : Kyuka – Avant la fin de l’été

"Kyuka", film sur l'abandon, la jalousie et le pardon  venant perturber la légèreté et la langueur d'un bel été grec, arrive à toucher les spectateurs avec, en particulier, une très belle scène finale accompagnée par la voix chaude de Tonis Maroudas.