Test Blu-ray : Lumière ! Le cinématographe 1895-1905
En complément de l'exposition Lumière ! Le cinéma réinventé au Grand Palais, dont on vous narrait récemment les qualités, France Télévisions Distributions nous propose aujourd'hui de découvrir Lumière ! Le cinématographe 1895-1905, film documentaire de Thierry Frémaux remettant en contexte 114 films restaurés des frères Lumière ou de leurs opérateurs, tournés entre 1895 et 1905.
Test DVD : Le Président
"Le président" pose une question très forte : une révolution qui voit la violence et la vengeance l'emporter sur la justice et une certaine forme de pardon est-elle une révolution réussie ?
Test DVD : Louise
Se revendiquant du cinéma anarcho-poétique de René Clair ou de Jacques Rozier, le réalisateur et comédien Jean-François Gallotte ("Carbone 14 le film", c'est lui !) apporte au spectateur, avec "Louise", une fraîcheur, une spontanéité et une poésie qui se font rares dans le cinéma français contemporain.
Test Blu-ray : Firestorm
Braquages, infiltrations, gunfights bien bourrins, courses-poursuites à pieds et en voiture, bastons destructrices, final dantesque... Firestorm affiche une générosité assez incroyable, sans une ombre de second degré à l'horizon
Test Blu-ray : Connasse, princesse des coeurs
Connasse, bouffonne, pétasse ou tout simplement conne... Tel est l'odieux personnage télévisuel créé par Camille Cottin pour Canal + dans la série Connasse. La « connasse » en question était donc l'héroïne d'un format court, nous donnant à découvrir un personnage de femme égocentrique et insupportable
Test DVD : Jamais de la vie
D'une façon ou d'une autre, un film de Pierre Jolivet a toujours au moins un pied dans le social. C'est encore le cas dans "Jamais de la vie", mélange de polard, de film d'atmosphère et de film social. Toutefois, l'adjectif qui qualifie le mieux ce film, c'est "noir" ! Un film noir, à tous les sens du terme. Un film dans lequel le réalisateur fait preuve, pour une fois, d'un pessimisme exacerbé.
Test DVD : Eating Raoul
Provocateur et amusant, Eating Raoul porte en lui toutes les stigmates des films des années 70, qui met en scène à la façon d'une suite de sketches présentant à chaque fois un nouveau fétichisme, perversion ou jeu érotique...
Test DVD : 1001 grammes
Est-il possible de réaliser un film qui soit à la fois scientifiquement « pointu » tout en étant plein d'émotion, de cocasserie et de poésie ? La réponse est oui, et ce film, "1001 grammes", on le doit au norvégien Bent Hamer, ce réalisateur à qui on devait déjà quelques pépites comme "Eggs", "Kitchen Stories" et "Home For Christmas".
Test Blu-ray : L’aventure intérieure
L'aventure intérieure : un melting pot burlesque partant dans mille directions, une comédie fantastique cartoonesque en diable doublée d'un trépidant film d'aventures. Cette « générosité » là, c'est à la fois la qualité et le défaut du film de Joe Dante, qui suit volontiers quelques digressions
Test DVD : Fièvres
On pourrait s'attendre à un film de plus sur la banlieue, avec, bien entendu, son traditionnel cortège de dealers et sa bande-son à base de rap : il n'en est rien. En réalité, "Fièvres" montre une vision presque poétique de la banlieue, à l'opposé de ce que l'on a l'habitude de voir sur ce sujet. A mi chemin entre réalisme et conte urbain, "Fièvres" est un film attachant et parfois très fort sur la recherche d'identité d'un gamin perturbé,
Test DVD : Destination planète Hydra
La carrière de Pietro Francisci, peu prolifique par rapport à beaucoup d'artisans italiens du bis des années 50-60, fut essentiellement placée sous le signe du péplum. On lui doit notamment quelques bons petits représentants du genre, comme La reine de Saba ou quelques aventures d'Hercule avec Steve Reeves et photographiées par Mario Bava. Sous l'influence de La planète des vampires du même Mario Bava (1965), Francisci s'est néanmoins laissé tenter par la science-fiction en 1966, avec Destination planète Hydra, petit délice de sucrerie bis autant influencée par le serial que par la bande dessinée.
Test Blu-ray : Sea fog – Les clandestins
Comme dans Memories of murder, Shim Sung-bo et Bong Joon-ho nous plongent aux côtés de personnages lunatiques, imprévisibles, obligés d'agir car ils sont au pied du mur ; ces personnages évoluent dans un univers très noir et misérable, et leur existence est parsemée d'accès de violence incontrôlable.