Test Blu-ray : Pattaya
Quelques années après Les Kaïra, Franck Gastambide démontre à nouveau avec Pattaya qu’il est une des valeurs sûres du rire « à la française », comme ses camarades de La bande à Fifi et leur diptyque Babysitting.
Test Blu-ray : La chute de Londres
La chute de Londres réintègre les survivants du premier film pour un nouveau baroud d’honneur, placé cette fois, événements récents obligent, sous le signe du « terrorisme global ». Intense, viril, jouissif et vraiment décomplexé !
Tests Blu-ray : Jean Marais en mode « Bis »
Fantomas (1964) et Le gentleman de Cocody (1965) s’inscrivent dans la mouvance d’un cinéma populaire chaleureux et sans complexes. Étrangement, l’histoire du cinéma n’en aura retenu qu’un seul…
Test Blu-ray : C’est pas moi c’est lui
Aussi surprenant que cela puisse paraître aujourd’hui (les stars du rire au cinéma sont autant d’étoiles filantes dans la mémoire du spectateur), quand Aldo Maccione et Pierre Richard tournaient C’est pas moi c’est lui en 1980, ils étaient tous deux au firmament de leur gloire, et attiraient à chaque nouveau film des millions de fidèles dans l’hexagone. Deux ans après Je suis timide mais je me soigne, Pierre Richard s’octroyait donc à nouveau les services de l’hilarant italien et à eux deux, ils réuniraient à nouveau 2,2 millions de spectateurs hilares dans les salles françaises. C’est bien éloigné des 7 millions que réaliserait La chèvre l’année suivante, mais les deux collaborations du duo Aldo Maccione / Pierre Richard ont néanmoins plutôt bien rempli leur contrat dans les salles obscures.
Test Blu-ray : La nuit des diables
Pour ceux qui l’ignoreraient, La nuit des diables est l’adaptation d’une nouvelle de Alexis Nikolaïevitch Tolstoï intitulée « La famille du Vourdalak », récemment rééditée en France sous le titre « Une famille de vampires » (2011, éd. de L’Herne).
Test Blu-ray : Exorcisme tragique
Vous pouvez tenter l'expérience autour de vous : à l'annonce du doux nom de Romano Scavolini, les oreilles de l'amateur de bis craspec et de « video nasties » ayant fait les beaux jours des vidéo-clubs des années 80 se dressent immédiatement, comme irrémédiablement attirés par un radar mystérieux, que seul semble animer le goût du sang et de l'étrange.
Test Blu-ray : Les Tuche 2 – Le rêve américain
Avec 4,6 millions d’entrées en France en quelques semaines, on peut d’ores et déjà affirmer que Les Tuche 2 – Le rêve américain sera l’un des gros succès de la comédie franchouillarde de l’année 2016. A titre de comparaison, le film a réalisé deux fois plus d’entrées que Les visiteurs 3, qui ne parviendra à priori pas, même avec les ventes internationales, à rembourser ses 25 millions d’euros de budget.
Test Blu-ray : Alvin et les Chipmunks 4 – A fond la caisse
On trouve au cœur de Alvin et les Chipmunks 4 - A fond la caisse ! quelques excellents passages musicaux ; on notera que la séquence d'ouverture est marqué par la présence de Redfoo, le chanteur des LMFAO - le nouveau Johnny Cash.
Test Blu-ray : Point break
Petit classique du film d'action des années 90, Point break avait fait exploser en son temps les carrières de Kathryn Bigelow et de Keanu Reeves, tout en confirmant le statut de superstar de l'époque pour Patrick Swayze.
Test Blu-ray : Les 8 salopards
Les films de Tarantino se suivent et nous proposent toujours de sacrés beaux morceaux de péloche. Combien de cinéastes seraient en effet capables de signer des films de trois heures ne distillant pas le moindre sentiment d’ennui pour le spectateur ?
Test Blu-ray : Tartarin de Tarascon
Comme pour s’octroyer une pause entre deux tournages des films composant la fameuse « trilogie marseillaise », Marcel Pagnol et Raimu se sont retrouvés, en 1934, aux côtés de Raymond Bernard sur le tournage de Tartarin de Tarascon. Adaptant avec truculence le roman d’Alphonse Daudet, Pagnol et Bernard donnent à Raimu un rôle extraordinaire, au cœur duquel il peut faire exploser toute sa fantaisie. Gestuelle, phrasé, dialogues : tout est devenu « légendaire » chez ce Tartarin-là.
Test Blu-ray : Justin de Marseille
Film méconnu de Maurice Tourneur, Justin de Marseille s’approprie un genre généralement assez peu abordé par le cinéma français : le film de gangsters. A la façon des « grands » films américains des années 30 narrant la vie et l’œuvre de personnalités du crime emblématiques (Scarface, Little Ceasar, L’ennemi public…), le film de Tourneur met en scène une figure majeure du crime à Marseille, un gangster finalement sympathique puisqu’il s’agit d’un truand au grand cœur, qui protège les dames des macs indélicats entre deux bouillabaisses sur le vieux port.