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Fier représentant de la période « érotico-exotique » de Joe D'Amato, La Nuit érotique des morts-vivants constitue, avec Porno Holocaust (1981), le premier film nous donnant à voir ce curieux mélange de porno et d’horreur.

Old emmène le spectateur sur une plage « privée » en compagnie d’une petite poignée de personnages. Il ne faudra pas longtemps pour que les vacanciers se rendent compte que quelque chose ne va pas sur cette plage...

Tralala est une comédie musicale rythmée par des chansons de Philippe Katerine, Jeanne Cherhal, Bertrand Belin, Étienne Daho, Dominique A ou encore Sein, groupe rap / électro composé de Joseph Brisset et Balthazar Gibert, qui jouent également dans le film.

Véritable rareté, Zenabel faisait partie de ces nombreux « introuvables du Bis » que l’on est vraiment content de pouvoir enfin découvrir, 50 ans après leurs sorties dans les salles, et alors qu’on les pensait perdus dans les limbes de la mémoire collective.

Troisième et dernier film de la trilogie « Maigret » interprétée par Jean Gabin, Maigret voit rouge est malheureusement le moins bon de la série. Que les choses soient claires : il s'agit d'un bon petit film, typique du cinéma policier français des années 60, c'est à dire sous influence de « série noire » et de romans de gare type SAS – le film met en effet en scène les rapports teintés de politique et de diplomation entre forces de police françaises et américaines.

Gros échec commercial à travers le monde, Kin n’a même pas rapporté dix millions de dollars avec son exploitation dans les salles obscures, pour un budget de 30 millions de dollars, auxquels on peut ajouter 30 autres millions qu’a déboursé Lionsgate pour acquérir les droits du film.

Pierre Morel connaît et maîtrise les us et coutumes du DTV, et il n'y a rien d'étonnant à ce que sa carrière se tourne aujourd'hui vers les films d'action à destination de la vidéo. Et dans son créneau, Freelance s'impose comme un pur DTV des familles.

On aurait tendance à l'oublier tant ses films américains ont marqué les mémoires, mais Ang Lee a commencé sa carrière avec deux films sortis en France au début des années 90, qui avaient d'ailleurs rencontré un joli petit succès d'estime avant de retomber dans l'oubli, tandis que les films Hollywoodiens du cinéaste d'origine taïwanaise (entre autres Chevauchée avec le diable, Brokeback Mountain ou L'odyssée de Pi) prenaient l'ascendant sur toutes les mémoires.

Les rescapés du futur est la suite directe de Mondwest, alias Westworld. Les deux films seront d'ailleurs suivis par deux séries TV, l'une en 1980, l'autre en 2016.

Adieu ma concubine a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes en 1993 - une récompense qui a contribué à révéler au public occidental le cinéaste Chen Kaige ainsi que la comédienne Gong Li, qui deviendrait vite une star internationale.

Le polar de pieds nickelés a refait son apparition courant 2016 à Taïwan avec Godspeed, le quatrième film de Chung Mong-hong, dont on avait suivi avec le plus vif intérêt les débuts fracassants avec la comédie noire Parking (2008), réalisée près de dix ans auparavant.

Déplacée de CBS vers The CW lors de sa deuxième saison, la série Supergirl a vu ses audiences chuter en flèche de façon assez spectaculaire.