Test Blu-ray : Les cadavres ne portent pas de costard
Même si leurs noms sont un peu retombés dans l’oubli depuis le tournant de l’an 2000, la collaboration entre Steve Martin (acteur) et Carl Reiner (réalisateur) a véritablement donné naissance à trois chefs d’œuvres de la comédie américaine entre 1979 et 1983 : Un vrai schnock, Les cadavres ne portent pas de costard et L'homme aux deux cerveaux. Trois films absolument indispensables, touchés par la grâce du génie comique, que l’on serait bien en peine de départager tant ils nous proposent de purs moments de rire et d’idées absolument folles. Trois films également trop méconnus de nos jours, et qu’il faudrait de toute urgence remettre sur le devant de la scène, afin que les cinéphiles parmi les plus jeunes d’entre nous puissent, comme leurs aînés, vouer à Steve Martin le culte qu’il mérite.
Test Blu-ray : Les Maléfices de la momie
Profondément typique du soin apporté par la Hammer à ses productions, même les plus modestes, tout au long des années 60, Les maléfices de la momie remet, comme son titre l’indique clairement, le personnage de « la momie » sur le devant de la scène.
Test Blu-ray : Maléfique 2 – Le pouvoir du mal
Les films produits par Disney se suivent et ne se ressemblent pas : après le carton international du Roi lion en 2019 (1,65 milliard de dollars de recettes, 9,7 millions d’entrées en France), qui précédait de peu l’autre carton constitué par La reine des neiges II (1,43 milliard de dollars de recettes, 7,4 millions d’entrées en France), on avait vu débarquer sur les écrans Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal, une nouvelle aventure d’Angelina Jolie dans la peau de la sorcière la plus iconique de la maison Disney – une fausse méchante qui, on le rappelle, avait sorti elle-même la Belle au bois dormant de son sommeil forcé dans le film de 2014. Maléfique en 2014, c’était 760 millions de dollars de recettes (830 après l’exploitation du film en vidéo), et deux millions de spectateurs en France. En 2019, Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal n’a quant à lui cumulé « que » 477 millions de dollars, et réuni 2,6 millions de français dans les salles. Les adeptes hexagonaux augmentent, mais paradoxalement, le film a rapporté moitié moins que l’original aux Etats-Unis. Les chiffres sont déjà fracassants, mais on suppose qu’avec l’habitude des recettes dépassant régulièrement le milliard, la boite à Mickey doit franchement tirer la gueule à moins de 300% de rentabilité de nos jours. Dans les bureaux de Disney, des têtes vont tomber !
Test Blu-ray : Une baraque à tout casser
Trop occupés à se lamenter sur leur âge grandissant et le fait d’être passés du statut très convoité de « jeune » à celui, plus infamant, de « ieuv », les cinéphiles nés, grosso modo, entre 1970 et 1985 – et donc âgés aujourd’hui de 35 à 50 ans – ne mesurent qu’en de très rares occasions la chance qu’ils ont eue de découvrir durant leur enfance ou leur adolescence les trésors de la comédie américaine des années 80. Si beaucoup de ces comédies ont certes mal vieilli, la nostalgie reste, et surtout, les ieuv d’aujourd’hui peuvent se targuer d’avoir connu, en leur temps, des acteurs aujourd’hui complètement oubliés (Dudley Moore, John Candy, John Belushi) ou en passe de le devenir (Steve Martin, Chevy Chase, Dan Aykroyd, Eddie Murphy). Mieux encore : ils sont les mieux placés pour avoir pu assister au changement de registre complet d’une petite poignée d’acteurs, passés du jour au lendemain et sans réel signe avant-coureur de la pignolade et des interprétations ouvertement comiques à des rôles plus sérieux – on pense par exemple à Bruce Willis, Michael Keaton ou bien sûr à Tom Hanks, qui nous intéresse aujourd’hui.
Test Blu-ray : Le Temps du châtiment
Cela peut paraître étonnant étant donné la maîtrise formelle déployée par le cinéaste, mais Le temps du châtiment n’est que le deuxième long-métrage de cinéma de John Frankenheimer.
Test Blu-ray : Portrait de la jeune fille en feu
Comme Zinedine Zidane face à l’équipe du Brazil – Si, comme mes deux filles de cinq et dix ans, vous vous attendiez à voir Adèle Haenel danser autour d’un feu de camp en chantant à tue-tête le tube de Soprano « crois-moi ce soir je suis en feu, j’suis en feu, j’suis en feu », il y a de fortes chances que Portrait de la jeune fille en feu, j’suis en feu, j’suis en feu, ne vous déçoive profondément.
Test Blu-ray : Joker
La campagne promo et marketing de Joker a commencé sur les chapeaux de roues en septembre 2019, alors que le film de Todd Phillips remportait le très prestigieux « Lion d'Or » à Venise.
Test Blu-ray : Les sous-doués en vacances
Les sous-doués en vacances fait partie de ces petits plaisirs complètement désuets qui essaient, le plus souvent en vain, de vous faire rire, mais qui font preuve d’une telle énergie pour brasser du vide qu’elles en deviennent immédiatement attachantes. Développant avec plus ou moins d'inspiration un scénario-prétexte propre à enchaîner les gags plus ou moins stupides / plus ou moins efficaces
Test Blu-ray : El perdido
Robert Aldrich à la réalisation, Dalton Trumbo au scénario, Kirk Douglas et Rock Hudson en têtes d’affiche… Sur le papier, El perdido vendait du rêve. Et tous les amateurs de westerns l’affirmeront en cœur : le film ne sera pas à la hauteur de nos folles espérances, peut-être en partie à cause d’un tournage houleux, devenu la scène de la confrontation entre deux personnalités fortes. Les violents conflits entre Kirk Douglas et Robert Aldrich ayant émaillé le tournage sont en effet entrés dans la légende, au point d’en devenir au fil des années peut-être même plus connus que le film lui-même.
Test Blu-ray : Ça – Chapitre 2
En ne se dirigeant pas tout à fait là où on les attendait, Muschietti et son Dauberman de scénariste n’ont-ils pas choisi le meilleur angle d’attaque pour rendre hommage au roman de Stephen King avec Ça – Chapitre 2 ?
Test Blu-ray : Grosse fatigue
Michel Blanc a déjà expliqué la façon dont il avait « co-écrit » la première mouture du scénario de Grosse fatigue avec Bertrand Blier, avouant qu'il se rendait aux séances de travail en simple « spectateur » de l'imagination de Blier.
Test Blu-ray : Sunday in the country
C’est sous les couleurs d'Artus Films que l’on pourra aujourd’hui découvrir ou revoir Sunday in the country, qui fut un temps disponible en France en VHS, sous le titre Self defense.