StreetDance 2

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StreetDance 2 Britannique : 2012 Titre original : StreetDance 2 Réalisateur : Max Giwa Scénario : Dania Pasquini , Jane English Acteurs : George Sampson, Falk Hentschel, Sofia Boutella Distribution...

Critique : 45 ans

Ce film n’est ni plus, ni moins qu’un miracle ! D’abord parce qu’il a su combler toutes les attentes que nous avions à son égard depuis qu’il a gagné un double Ours d’argent de l’interprétation au dernier festival de Berlin il y a un an. Et puis, d’une façon encore plus enthousiasmante, grâce à la confirmation du talent considérable de son réalisateur Andrew Haigh, qui avait su nous subjuguer avec son film précédent Week-end, ou la sublime naissance d’un amour gay.

Critique : Truth Le Prix de la vérité

Deux films sortis aux Etats-Unis à la fin de l’année dernière ont traité de front des affaires récentes, qui mettent en lumière l’état actuel du journalisme américain. Il y est question de la responsabilité morale des membres de la presse d’investigation, ainsi que de leurs méthodes de travail pas toujours entièrement respectueuses de leur déontologie.

Arras 2017 : Marie Curie

Marie Curie était une femme d'exception : la première à prouver que la science n'était pas le domaine exclusif des hommes, ce qui lui a valu de nombreux honneurs, parfois attribués tardivement, comme cette inclusion dans le Panthéon national, des décennies après sa disparition, alors que ses contemporains masculins y reposaient depuis longtemps.

Arras 2019 : Les Parfums

Les chemins sont si courts à Arras, la ville du Pas-de-Calais qui devient depuis vingt ans au mois de novembre un véritable pays de cocagne du cinéma, qu'il serait inconscient d'un point de vue environnemental et nullement efficace d'y utiliser un autre moyen de locomotion que ses propres jambes.

Arras 2017 : Marvin ou la belle éducation

Qu'est-ce qu'il est précieux, ce cher Marvin ! Sur une thématique qui aurait dû nous toucher profondément, la réalisatrice Anne Fontaine réussit en effet à nous concocter un film qui a au moins une dizaine d'années de retard sur son temps. Tandis que des récits édifiants à la Billy Elliot sur de jeunes homos persécutés chez eux, en province prolétaire, avaient encore de quoi passer pour progressistes au début du siècle, l'évolution sociale en Europe a depuis fait de tels progrès que ce chapitre essentiel de l'émancipation gaie semble désormais être clos, voire caduc.

Arras 2017 : Gaspard va au mariage

Normalement, nous ne sommes guère adeptes des comédies de mariage. Dans ce sous-genre sirupeux de la comédie romantique, tout est fait pour que deux personnes se retrouvent en fin de compte devant le maire ou le curé, après maintes péripéties qui ont tout de la publicité, voire de la propagande, pour le pouvoir irrésistible de l'amour passionnel.

Albi 2022 : Dalva

De gré ou de force, le cinéma belge dans son incarnation tant soit peu sociale évolue sous le patronage plus ou moins heureux des frères Dardenne. Ainsi, ce n'est pas par hasard que l'invité du 26ème Festival d'Albi avait cru bon de citer le nom des réalisateurs à la renommée internationale, dès que les lumières s'étaient rallumées dans la salle après la projection de Dalva.

Albi 2022 : Ailleurs si j’y suis

Il paraît que l'acteur belge Jérémie Renier – invité d'honneur de la 26ème édition du Festival d'Albi et déjà avec une filmographie imposante à son actif, malgré son jeune âge de bientôt 42 ans – envisage de prendre du recul par rapport à sa carrière devant la caméra, afin de se consacrer à la cause environnementale.

Critique : La Mécanique de l’ombre

François Cluzet a du flair. Il a beau ne pas toujours apparaître dans les plus gros succès publics – Intouchables mis à part –, la filmographie de cet acteur d’exception reflète parfaitement son talent et, mieux encore, son incroyable lucidité dans la quête d’un challenge raisonnable, qui ne vire jamais à l’erreur de casting.

Berlinale 2016 : Maggie a un plan

Greta Gerwig, la nouvelle coqueluche de New York, a plus d’une corde à son arc. Alors qu’on l’adorait déjà en tant que héroïne désordonnée de l’univers de Noah Baumbach, elle s’essaye à une variation plus compétente du même type de personnage dans Maggie a un plan. Ce film confirme donc le talent pétillant de l’actrice principale et nous gratifie de surcroît de la bonne surprise que Rebecca Miller sait faire autre chose que des drames.

Critique : Sème le vent

A quoi bon rentrer au bercail, quand plus rien ne vaut la peine d'y être retrouvé ? La figure du retour aux sources d'emblée rendu inutile, le cinéma l'a conjuguée sous toutes ses facettes au cours de sa longue histoire.

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Critique Express : Les linceuls

Là où le bât blesse dans "Les linceuls", c'est que cette idée de connexion entre un(e) défunt(e) et une personne vivante aurait apporté une réflexion beaucoup plus riche sur le travail de deuil qui pourrait en être tiré si elle ne s'était pas limitée au suivi de la décomposition du corps.

Paris sportifs hors ARJEL : comment trouver les meilleures plateformes fiables ?

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Critique : Aimons-nous vivants

Contrairement à ce que la bande-annonce pourrait laisser supposer, Aimons-nous vivants n'est pas tout à fait une farce romantique dans laquelle ses deux vedettes, Valérie Lemercier et Gérard Darmon, resteraient entièrement fidèles à leurs registres respectifs. Il y a certes un peu de cela dans le quinzième long-métrage de Jean-Pierre Améris.

Critique : Ma mère, dieu et Sylvie Vartan

A l'heure du choix de la date de sortie de Ma mère dieu et Sylvie Vartan, la Gaumont a dû se trouver face à un dilemme. Valait-il mieux profiter de la période des vacances de Pâques, propice aux entrées, ou bien attendre jusqu'à la prochaine fête des mères fin mai, afin d'inciter à ce moment-là les familles à rendre hommage à leur pilier officieux par voie de sortie au cinéma ?

Critique : Mexico 86

Présenté sous la forme d'un passionnant thriller d'espionnage et bénéficiant de l'interprétation XXL de Bérénice Béjo, ce drame sur les choix cornéliens que doit faire une mère engagée dans la résistance contre une dictature a tous les atouts pour plaire à un très vaste public.