Critique : Nos patriotes
Le peuple français ou au moins les institutions qui le représentent aiment bien se souvenir avec une nostalgie valorisante des combattants de la Résistance. En témoignent à la fois les plaques commémoratives que l'on trouve par exemple dans bon nombre des rues parisiennes et la Journée nationale qui leur est consacrée depuis trois ans seulement et qui vient d'avoir lieu fin mai. Du côté du cinéma, cette ferveur patriotique s'est montrée sensiblement plus discrète.
Stars des années 80
Stars des années 80
France : 2010
Titre original : Stars des années 80
Réalisateur : Frédéric Forestier
Scénario : Karine Angeli , Pascal Bourdiaux
Acteurs : Richard Anconina,...
Cannes 2018 : Amin
Que serait le cinéma français sans Philippe Faucon ? Ce n'est pas un réalisateur qui déplace les foules et les médias ne lui prêtent réellement attention que depuis son sacre aux César pour Fatima il y a deux ans. Or, depuis un quart de siècle et désormais une petite dizaine de longs-métrages, Faucon est l'un des rares cinéastes à mettre les Français face à leurs responsabilités, à la fois en tant que communauté historique et au niveau individuel de membre d'une société aux dysfonctionnements difficiles à ignorer.
Critique : Good boys
L'adolescence, c'est cet âge de passage qui constitue un formidable avant-goût de la vie d'adulte, tout en laissant de terribles souvenirs causés par un nombre incalculable de bêtises commises pendant cette parenthèse de l'irresponsabilité.
Le Pacte
Jusqu'où iriez-vous pour venger votre femme ? C'est la question que se pose Nick Gerard après la terrible agression de sa femme. Tandis qu'elle est entre la vie et la mort, il est contacté par l'énigmatique Simon, qui lui propose d'éliminer le coupable contre un petit service. Un mois plus tard, l'agresseur est retrouvé mort. Alors que Nick et sa femme essaient de reprendre une vie normale, Simon vient alors réclamer son dû : il veut que Nick assassine quelqu'un.
Black Butterflies
Afrique du Sud, années 60. Ingrid Jonker est la fille du Ministre de la Censure. Son père ne la comprend pas et la rejette. Indépendante, elle ne trouve réconfort et liberté que dans la poésie. Lorsqu'elle rencontre Jack Cope, écrivain déjà célèbre, c'est le coup de foudre. À ses côtés, elle s'engage contre le régime de l'Apartheid. Mais, rattrapée par son destin, Ingrid sombre progressivement dans la dépression puis, la folie...
Une éducation norvégienne
1979. Nikolaj a 14 ans et vit une existence idyllique avec son frère et ses parents hippies, Magnus et Lone. Lorsque Lone meurt dans un accident de voiture, Magnus fait une grave dépression. Nikolaj ne sait pas vers qui ou quoi se tourner jusqu’à ce que son meilleur ami lui fasse découvrir l’album “Never Mind the Bollocks” des Sex Pistols. Mais il est difficile d’être en rébellion lorsque votre père écoute la même musique que vous...
Jeu concours Rec 3 Genesis
À l’occasion de la sortie en DVD et Blu-ray de Rec 3 Genesis le 08 août prochain, Critique-film.fr et Wild Side vous propose de participer au jeu concours pour gagner des DVD du troisième volet de cette trilogie horrifique réalisée par Paco Plaza.
Polluting Paradise
Polluting Paradise
Allemagne : 2012
Titre original : Der Müll Im Garten Eden
Réalisateur : Fatih Akın
Scénario : Fatih Akın
Acteurs : Inconnu
Distribution : Inconnu
Durée : 1h25
Genre :...
StreetDance 2
StreetDance 2
Britannique : 2012
Titre original : StreetDance 2
Réalisateur : Max Giwa
Scénario : Dania Pasquini , Jane English
Acteurs : George Sampson, Falk Hentschel, Sofia Boutella
Distribution...
Bye Bye Blondie
Bye Bye Blondie
Français : 2010
Titre original : Bye Bye Blondie
Réalisateur : Virginie Despentes
Scénario : Virginie Despentes
Acteurs : Béatrice Dalle, Emmanuelle Béart, Pascal Greggory
Distribution :...
Critique : K.O
Imaginez-vous, un jour, au réveil, vous êtes toujours vous-mêmes, vous reconnaissez les gens de votre entourage et vice-versa, mais votre situation professionnelle et privée a changé de fond en comble ! C'est à ce genre de prémisse, mi-fantastique, mi-cauchemardesque que nous convie le deuxième long-métrage de Fabrice Gobert. K.O s'inscrit dans un métissage thématique entre La Vie est belle de Frank Capra, à la différence près que ce n'est pas l'anonymat qui turlupine le protagoniste mais la dégringolade sociale, et Un jour sans fin de Harold Ramis, dans la mesure où c'est un recommencement cyclique avec des passerelles de gestes et de paroles qui rythme le récit.