Kalevet
Avec des films comme Tu marcheras sur l'eau ou Frozen Days, le cinéma Israélien rayonne de plus en plus à l’international, proposant un cinéma différent mais toujours de qualité. Kalevet est la première tentative de slasher d'un cinéma encore timide, une petite révolution avec une œuvre qui se veut avant tout fun, le duo de réalisateurs avouant qu'il n'y a pas de message à faire passer, juste un film dans la plus pure tradition du cinéma de genre.
Saint (Sint)
Pour certains le Saint Nicolas n’évoque qu’un folklore lointain de barbu à mitre essayant de piquer la vedette à Santa Claus. Pour les petits Alsaciens et Lorrains, le 5 décembre est synonyme de friandises déposées au pied du lit par le Saint patron des écoliers. Mais pour le réalisateur Dick Maas, Sinterklaas fut un évêque malfaisant, pilleur de villages, revenu d’entre les morts pour perpétuer ses massacres chaque 5 décembre de pleine lune.
All she can
Présenté en compétition au Festival de Deauville 2011, All she can est le premier film produit et réalisé par Amy Wendel (et son mari). Une histoire sportive peu banale sur un sujet de fond pourtant traité maintes fois font de ce film une belle représentation du nouveau rêve américain...
Polisse
Après un premier film documentaire autobiographique, Pardonnez-moi (2006) et une comédie sur la face cachée du métier de comédienne, Le bal des actrices (2009), Maïwenn revient avec Polisse, face cachée documentée de la Brigade de Protection des Mineurs. Ce nouveau long-métrage, sur les écrans le 19 octobre, a remporté le prix du jury au Festival de Cannes 2011.
Stake Land
Les États-Unis sont devenus des terres de désolation. Une infestation massive de vampires putrides a plongé le pays dans un fondamentalisme sectaire tout aussi ravageur. Ce triple danger qui guette en permanence les protagonistes de Stake Land dépeint le traditionnel triptyque du film post apocalyptique : une poignée de survivants évoluant dans le chaos de la civilisation, en proie à l’extinction de l’espèce humaine et à la folie des hommes.
Critique : Bellflower
Bellflower, c'est le film d'une vie, celle d'Evan Glodell qui endosse ici les casquettes de réalisateur, producteur, scénariste, monteur et acteur principal. Un premier film qui se veut forcément autobiographique, ce qui est positif et négatif à la fois...
Super
Pour peu que vous ne soyez pas encore gavé par les combinaisons en lycra et les voix caverneuses nous susurrant leur obsession de la justice, vous risquez d'être intéressé par Super, le film projeté en ouverture du 4e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, le 11 septembre 2011.
L’art d’aimer
Emmanuel Mouret aime mettre en scène l’amour. L’amour sous toutes ses formes. Encore une fois, Mouret réinvente l’amour dans son sixième long métrage L’art d’aimer. Un film choral peu commun qui met en situation les 12 personnages (brillant casting) dans des situations plutôt cocasses et originales.
Hommage naomi watts
Vendredi 9 septembre, 18h : l'heure est venu de rendre un dernier hommage sur les planches Deauvillaise. Et pour cette ultime rencontre, les gens se bousculent pour accueillir la plus jeune des artistes « honorés », Naomi Watts.
Palmarès du Festival de Deauville 2011
Samedi 10 septembre 2011. Il est temps de mettre un terme à cette 37ème édition du Festival du film américain de Deauville. Beaucoup de monde se pressera pour essayer de rentrer dans l'auditorium et savoir qui a enfin gagné le Grand Prix.
Trust
Produit et réalisé par David Schwimmer, le fameux « Ross » de la série Friends, Trust a le mérite de se démarquer des autres films dans la compétition du Festival de Deauville 2011 par son sujet d'actualité : les dangers d'Internet. Un film réussit qui met pourtant mal à l'aise et risque de changer des comportements chez certains.
Detachment
Tony Kaye, le papa d'American History X nous assène un nouveau coup de poing en pleine tête avec son Detachment. Pourtant beaucoup moins violent que le premier, Tony Kaye réinvente le film d'éducation à mille lieux d'Esprit Rebelle.