Hansel & Gretel : Witch Hunters

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Liés par le sang, Hansel et Gretel ont aujourd’hui soif de vengeance, et ils s’en donnent à cœur joie. Pourtant, sans le savoir, ils sont désormais victimes d’une menace bien plus grande que leurs ennemis : leur passé.

Test Blu-ray : L’au-delà

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Certains cinéastes ont réellement acquis leur statut ainsi que leurs lettres de noblesse non pas dans les salles de cinéma mais avec l'avènement de la VHS domestique. A force de bouffer de la K7 vidéo et de traîner leurs guêtres dans les vidéo-clubs les plus douteux au fil des années 80, une nouvelle race de cinéphages (âgés de quarante à cinquante ans aujourd'hui) a en effet érigé un culte ardent autour de certains réalisateurs généralement oubliés par la critique, et dont les films figuraient sur la liste des tristement célèbres « video nasties », cette fameuse liste gouvernementale anglaise recensant les films trop gore, obscènes, malsains ou dérangeants pour être exploités en vidéo de l'autre côté de la Manche. Dans la liste des 72 video nasties, le nom d'une poignée de cinéastes aujourd'hui « cultes » avait l'insigne honneur (horreur) d’apparaître plusieurs fois : on recensait en effet deux films de Dario Argento, de Tobe Hooper, d'Umberto Lenzi, de Joe D'Amato ou encore de Ruggero Deodato. Mais seulement deux metteurs en scène apparaissaient à TROIS reprises sur la liste : Jess Franco et Lucio Fulci.
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Hommage au réalisateur Pierre Schoendoerffer : focus sur les films qu’il a réalisés

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Pierre Schoendoerffer s'est éteints le 14 mars 2012 à l'âge de 83 ans. Réalisateur de génie et écrivain engagé,  il a bien souvent marqué l'histoire...

Critique : Hector

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Grâce à un scénario solide qu'il a lui-même écrit, grâce une réalisation sachant générer l'émotion sans verser dans le pathos et grâce à la prestation pleine de vérité et de sensibilité de Peter Mullan, Jake Gavin a pleinement réussi son premier film en tant que réalisateur.

Critique : Propriété Privée

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Depuis l’implantation d’une succursale aux Etats-Unis, Carlotta a initié un travail d’exhumation du cinéma américain indépendant. Dans cette optique de travail de défrichage, Carlotta opte généralement pour des œuvres peu connues du public cinéphilique français. Ainsi, en juin 2016, ils ont été à l’origine de la réédition du documentaire The Endless Summer consacré au surf qui, sous son aspect léger et solaire, ne se départ pas d’une vision légèrement ethnocentriste – un trait que l’on retrouve souvent au sein de la mentalité américaine – dans sa description des mœurs de par le monde. En dépit de cet état de fait, The Endless Summer a ce charme suranné, une forme d’ingénuité qui est surtout la vision fantasmée d’une époque et d’un lieu en particulier : la Californie, à l’orée des années 60. Une humeur désuète et innocente, que l’on peut également ressentir à l’écoute des premiers albums des Beach Boys : soleil, plage, filles en bikini, danse et surf… Dans le cadre de leur nouvelle ressortie, Propriété Privée, le ton est tout autre. Plus sombre, plus vénéneux, le long-métrage de Leslie Stevens préfigure, d’une certaine manière, Charles Manson et la perte d’innocence de l’ère Hippie, lorsque les premières remontées d’acide LSD 25 eurent un effet dévastateur sur certaines psychés fragiles et torturées.

Critique : L’Idiot

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La Russie va mal. Il n’y en a pas à douter, si l’on se fie exclusivement à l’information émise depuis le point de vue occidental, qui voit depuis toujours en l’empire de l’Est un ennemi potentiel. Et encore, dans le mitraillage de reportages sur les frasques du président Poutine et ses élans belliqueux à l’étranger, le sort de la population ordinaire passe souvent à l’arrière-plan, où les stéréotypes sur les mémés nostalgiques de l’époque soviétique et les nouveaux riches sans scrupules ont bon dos.

Livre : Punisher, l’histoire secrète

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Le Punisher est un personnage qui fascine par son rapport radical et sentencieux à la morale et à la justice. Souvent confondu et identifié à travers sa violence et sa noirceur placée aux confins de la folie, il est intéressant de constater qu’au caractère extrême et sulfureux du personnage répondait une popularité éclatante.

The Woman

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The Woman est un film basé sur un roman de Jack Ketchum co-écrit avec le réalisateur Lucky McKee, où une femme vivant à l'état sauvage est capturée par un père de famille avec l'objectif troublant de la "civiliser". Un long métrage qui met en scène le pire fait divers que vous puissiez imaginer...

Critique : L’étreinte du serpent

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La présence de "L'étreinte du serpent" dans la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2015, couronnée par l'obtention de l'Art Cinema Award, ainsi que le bon accueil réservé par le public cannois, justifiaient qu'un distributeur s'intéresse à ce film et le présente sur nos écrans.

Jeu concours Blu-ray / DVD : LUCKY MAN – SAISON 1

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À l’occasion de la sortie de LUCKY MAN - Saison 1, la dernière série créée par le mythique Stan Lee - disponible à partir du 27 février 2019 en coffrets Blu-ray et DVD, Koba Films et critique-film.fr vous proposent de participer à un jeu concours pour gagner des Blu-ray et DVD de la série...

Test Blu-ray : Cop

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Cop est donc l'adaptation de « Lune sanglante », le premier roman d'Ellroy mettant en scène le personnage de Lloyd Hopkins : un roman si cru et violent qu'il s'était vu refusé par 17 maisons d'édition aux États-Unis avant, finalement, d'être publié en 1984.

Test Blu-ray : San Babila, un crime inutile

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Sorti en 1976 en Italie (et possiblement distribué sur une partie du territoire français dans la première moitié des années 80 sous le titre Tuer pour tuer), San Babila : Un crime inutile est un film pour le moins singulier, qui dut poser quelques problèmes de conscience à ses producteurs lors de sa sortie dans les salles de cinéma. Ne sachant probablement pas trop comment « vendre » le film de Carlo Lizzani, les producteurs ou les distributeurs ont choisi d’opter pour une affiche bien agressive. Etant donné que le casting du film était quasi-uniquement composé d’inconnus du grand public, cette dernière nous montrait deux pognes serrées sur des flingues (à priori des Walther P38), ceux-ci étant pointés en direction de silhouettes aux formes suggestivement féminines, présentant la particularité de proposer des cibles placées sur les zones les plus sensibles de leur anatomie (poitrine, région pelvienne). Cette affiche, subtil mélange de violence et de provocation, nous ramène directement aux grandes heures du « poliziottesco » ou néo-polar italien, genre très populaire durant la décennie 70. Ce grandiose sous-genre du bis mettait le plus souvent en scène des faits divers sordides dans l’Italie des « années de plomb », et était peuplé de personnages borderline, anti-héros anarchistes et/ou inadaptés.

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Critique Express : On the go

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A la fois rationnel dans son discours plutôt féministe et foutraque dans sa réalisation, "On the go" n'est pas sans faire penser aux premiers films d'Almodovar.

Test Blu-ray : Ben & Charlie

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Sorti dans les salles françaises en 1973 sous le titre Méfie-toi Ben, Charlie veut ta peau, puis distribué en DVD sous son titre américain, Ben & Charlie est un western spaghetti réalisé par Michele Lupo, mettant en scène Giuliano Gemma et George Eastman.

Les sorties du 15 janvier 2025

Les différents programmes de rattrapage des grands réseaux de salles de cinéma ont beau lui faire de l'ombre, le programme des sorties de ce mercredi de la mi-janvier 2025 n'a point à rougir. Comme souvent, on y trouve des films pour tous les goûts avec, enfin, plusieurs titres destinés à un public plutôt adulte, absence de vacances scolaires pour les quatre semaines à venir oblige.

Test Blu-ray : Absolution

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Liam Neeson nous revient aujourd’hui avec Absolution, un thriller ambitieux qui lui permet de trouver un rôle fort et très éloigné de son habituelle composition de Papa Bastonneur.

Pathé Best of 2025 : 16 films à 5 € la place

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L'offre cinématographique en début d'année est-elle si rachitique qu'il y a besoin de ressortir pendant la deuxième moitié du mois de janvier les plus gros succès de l'année précédente ? Pas forcément. Pourtant, il existe en France depuis un certain temps cette tradition – pas déplaisante au demeurant – de permettre aux spectateurs moyennement assidus de se mettre à jour à moindre frais pendant une ou deux semaines.